News WEB

le 13/12/2010 à 00:00
11 éditeurs en lignes
Lorsque vous développez des pages internets, il peut être utile de continuer votre projet directement à travers le web.

Il existe de nombreux éditeurs, qui proposent à travers votre navigateur, l'édition de vos fichiers pour vous permettre de continuer votre développement.

Le site « smashing apps » présente 11 éditeurs libres qui sont :
- Kodingen
- PHPanywhere
- CodeRun Online IDE
- Codeita
- Drawter
- ecoder
- ShiftEdit
- jsFiddle
- ideone
- Amy Editor
- jsdo.it

Certains sont plus adaptés pour un langage comme PHP, Javascript, HTML et même pour le débogage.

- 11 Robust Web Based Editors To Code Directly From Your Browser
L'allemand Xing a annoncé le 9 décembre dernier l'acquisition prochaine de son compatriote Amiando, spécialisé dans la gestion d'évènements en ligne. La transaction, qui sera effective au 1er janvier prochain, porte sur un montant initial de 5,1 millions d'euros, auxquels pourront s'ajouter jusqu'à 5,25 millions supplémentaires d'ici 2013, en fonction de la réalisation de certains objectifs.

Amiando, décliné en français, propose notamment aux organisateurs d'évènements de gérer leur billetterie de façon centralisée, quelles qu'en soient les modalités d'accès. Très populaire dans le milieu des nouvelles technologies, le service d'Amiando a par exemple été utilisé pour la conférence LeWeb qui se tenait à Paris les 8 et 9 décembre dernier. Proposé en mode Saas (software as a service), il permet de gérer l'inscription, l'émission d'un billet et la facturation.

Dans un communiqué (anglais), Xing indique que l'acquisition d'Amiando lui permettra de couvrir l'intégralité de la chaîne de valeur de la gestion d'évènements en ligne. Basé à Munic, Amiando emploie aujourd'hui quelque 35 salariés.
Des limites de l'anonymat permis par Internet ? Un adolescent de 16 ans a été interpellé dans la nuit de mercredi à jeudi à La Haye (Pays-Bas) pour avoir conduit des attaques informatiques contre les services de Mastercard et de Paypal dans le cadre des mouvements de protestation organisés en faveur du site Wikileaks. Selon la police hollandaise, qui a saisi son matériel informatique, le jeune homme aurait admis avoir participé à ces attaques.

Dans un communiqué, le parquet hollandais indique que l'enquête se poursuit, au motif que le jeune homme « fait probablement partie d'un plus grand groupe de hackers ». Il évalue à « plusieurs milliers » le nombre d'ordinateurs impliqués.

Bien qu'aucun lien ne puisse formellement être établi pour l'instant, l'adolescent devant être présenté devant un juge de Rotterdam lors d'une audience à huis-clos vendredi matin, impossible de ne pas rapprocher cette attaque, menée par un particulier depuis son domicile, de la vaste campagne pro-Wikileaks menée par le groupe Anonymous.
Il était arrivé la même mésaventure à l'armée américaine dont un des soldats avait vendu son baladeur MP 3 contenant des plans d'attaques en Afghanistan. Cette fois, c'est la Nasa qui semble avoir confondu vitesse et précipitation. Elle aurait vendu du matériel informatique sans effacer totalement les données.Selon un rapport financier de la Nasa, 10 ordinateurs appartenant au Centre spatial Kennedy ont été vendus alors qu'ils contenaient des informations sensibles. Pour cause, ces postes auraient échoué lors de tests qui permettent de déterminer s'ils contenaient encore de telles données.

Pire. Certains disques durs, directement disponibles au public depuis des conteneurs, contenaient également des informations potentiellement utilisables par des esprits malveillants. Un audit interne à l'agence a permis de découvrir que certains ordinateurs devant être vendus disposaient encore des adresses des protocoles Internet de la Nasa. Ainsi n'importe quel esprit sachant utiliser ces informations aurait pu se connecter au réseau informatique de l'agence spatiale.

A ce rythme, (et sans parler des fuites/ failles de Wikileaks) c'est Gary McKinnon, le hacker accusé d'avoir pénétré indûment dans les serveurs de la Nasa, pour y chercher des traces d'Ovni, qui va être déçu. Il fait actuellement face à des demandes d'extradition répétées de la part des Etats-Unis. Un simple achat lui aurait finalement suffit…
Comme à l'accoutumée, les moteurs de recherche ont publié les mots-clés les plus populaires des internautes dans le monde mais aussi en France. Google, Yahoo et Bing nous dévoilent alors les grandes tendances de l'année 2010.Palmarès des requêtes dans le mondeAu travers du Zeitgeist 2010 récemment publié par Google, il semblerait que le terme Chatroulette prenne la pôle position des mots-clés les plus populaires cette année. L'iPad d'Apple arrive en seconde place suivi de Justin Bieber. Du côté de Yahoo! les internautes ont souhaité en savoir plus sur l'incident pétrolier qui a marqué l'année (BP Oil Spill) mais également sur l'événement sportif mondial qui n'a pas fait briller les Bleus (World Cup). Miley Cyrus, la nouvelle Britney Spears américaine, prend la troisième place. Sur les 10 requêtes les plus populaires sur Bing, 7 d'entre elles concernent des célébrités, la première étant Kim Kardashian suivie de Sandra Bullock et Tiger Woods.

Retrouvez les rétrospectives pour Google, Yahoo! et Bing.Palmarès des requêtes en FranceEn France le divertissement est à l'honneur sur Yahoo! puisque Secret Story, Olympique de Marseille et La Ferme Célébrités 3 ont été les termes les plus recherchés sur le portail. Chez Google la tendance est plutôt du côté des réseaux sociaux avec Facebook, bon coin et youtube. De son côté, Microsoft n'a partagé aucune donnée pour la décinaison française de son moteur. Retrouvez ci-dessous les listes complètes.
Le sujet de logiciels de surveillance Hadopi ou mouchards revient sur les devants de la scène. Ces derniers sont censés rendre la tâche plus facile à l'autorité afin de disculper un internaute si son adresse IP est repérée. Ce moyen de sécurisation labellisé doit suivre certaines règles appelées « spécifications fonctionnelles ». Ces dernières devraient arriver bientôt.Comme nous l'expliquions, ces moyens de sécurisation ou spécifications fonctionnelles sont des dispositifs qui vont permettre à un internaute d'avoir connaissance de l'état de sa connexion Internet. Vu que la loi Hadopi introduit une obligation de sécurisation de cette dernière, ces moyens proposés permettent de classer en deux catégories les internautes qui seront pris dans les mailles du filet.

Afin de préparer le lancement de ces logiciels, l'Hadopi a donc prévu d'éditer une nouvelle version de ces « spécifications fonctionnelles ». Le secrétaire général de la Hadopi, Éric Walter a expliqué, notamment à PcInpact : « Nous travaillons sur une deuxième version qui devrait être sur la table du Collège de l'Hadopi dès la semaine prochaine ». Rien de plus.

Michel Riguidel, l'auteur du premier texte sur ces spécifications (.pdf) nous avait expliqué que les logiciels seraient labellisés : « en mars ou juin 2011, pas avant ». En attendant, les internautes devront donc se sécuriser autrement…
Face à l'affaire Wikileaks et aux informations diffusées par le site, l'armée américaine a décidé de réagir pour stopper la fuite de documents classés secrets. Les CD, DVD, clés USB et autres disques durs externes sont désormais bannis de toutes les machines connectées au Secret Internet Protocol Router Network (SIPRNET), le système reliant les réseaux du Département de la défense et du Département d'Etat des USA sur lesquels circulent des données très sensibles.

"Des transferts de données non-autorisés sont régulièrement réalisés sur les réseaux classifiés, en utilisant des supports amovibles. C'est une méthode utilisée pour exploiter des informations classifiées à l'extérieur. Pour atténuer cette pratique, toutes les organisations des Forces aériennes doivent suspendre immédiatement toutes les activités de transfert de données de SIPRNET vers des supports mobiles" déclare l'arrêté diffusé le 3 décembre dernier par le major-général Richard Webber. Des ordres semblables auraient été donnés dans les autres branches de l'armée.

Désormais, l'utilisation d'une clé USB ou d'un disque à graver dans l'un des contextes où leur usage est prohibé est passible de la cour martiale. Les ordres seront cependant difficiles à tenir dans certains cas, notamment pour les ordinateurs déconnectés du réseau en raison, justement, des informations sensibles qu'ils contiennent, et où le transfert de données s'effectue justement pas supports amovibles comme l'a expliqué un militaire spécialiste des réseaux au site Wired.

Ce n'est pas la première fois que l'armée des Etats-Unis prend de telles mesures : il y a deux ans, le Pentagone avait déjà interdit l'usage des supports de stockage externes pour éviter la propagation d'un ver sur le réseau. Une interdiction levée en février dernier, peu de temps, selon Wired, avant que Wikileaks ne reçoive des données concernant les conflits en Afghanistan.
Deux opérateurs viennent de mettre un pied dans la fibre. Bouygues et SFR ont signé un accord de co-investissement visant à déployer la fibre optique dans certaines communes en « zones très denses ». Ces zones regroupent 146 communes ou communautés urbaines autour des grandes agglomérations françaises (.pdf).Ce pacte passé entre opérateurs est le signe que les géants des Télécoms souhaitent minimiser les frais inhérents à la constitution d'un réseau de fibre en France. Une mutualisation de leurs ressources afin de mieux s'ériger en concurrents directs des autres belligérants dans cette guerre du très haut débit.

Les deux co-contractants expliquent que leur partenariat s'est noué grâce à l'utilisation de la technologie GPON qui leur permet de « partager leurs investissements et mutualiser les réseaux horizontaux en fibre optique qui sont déployés entre leurs points de présence et chaque immeuble ». La conclusion est simple, Bouygues proposera des forfaits fibre puisque le câble devra arriver jusqu'au foyer raccordé.

L'Arcep a rapidement commenté cette décision. Dans un communiqué, le régulateur des Télécoms a tenu à insister sur le « dynamisme et la capacité d'un nouvel entrant sur le marché du haut débit (Bouygues Télécom) à investir de manière pérenne dans les infrastructures de très haut débit en fibre optique (FttH) ». Dans la foulée, l'Arcep devrait également définir les règles pour le déploiement en dehors des zones très denses.
Après avoir passé la limite de durée des vidéos uploadées de 10 à 15 minutes, Youtube s'apprête à la faire tomber de façon permanente pour certains utilisateurs de son service. C'est ce que le site de vidéos en streaming de Google à annoncer hier sur son blog.

Le service ne donne pas beaucoup de détails concernant les utilisateurs autorisés à envoyer des vidéos de plus de 15 minutes, et se contente d'indiquer de les conditions sine qua non sont de respecter les règles de la communauté Youtube, ainsi que celles du droit d'auteur. "Tant que le contenu vous appartient, la longueur n'a plus d'importance" précise le site. Il y a donc fort à parier que Youtube se base sur les vidéos précédemment envoyées par l'utilisateur pour déterminer si la fonction doit ou non lui être proposée.

Pour savoir si un compte est éligible à cette nouvelle fonctionnalité, il suffit de cliquer sur le lien "Envoyer une vidéo" en haut du site. Si l'utilisateur y a accès, il est immédiatement averti par un message.
Faute de subvention des pouvoirs publics, le Forum des droits sur Internet a annoncé mardi 7 décembre sa dissolution anticipée. Sa présidente, Isabelle Falque-Pierrotin, a été désignée pour en assurer la liquidation, indique le FDI dans ce qui sera son dernier communiqué de presse.

Créé en 2001, le Forum des droits sur l'internet se présentait comme le « Médiateur Du Net », un organisme consultatif chargé d'émettre des recommandations sur des sujets divers allant de la protection de l'enfance au développement de l'administration électronique. Il administrait également depuis 2004 une plateforme de médiation en ligne grâce à laquelle il aurait traité, depuis 2004, plus de 13 000 différents et répondu à plus de 25 000 questions d'internautes.

Depuis sa création, le FDI profitait d'une subvention fixe de l'Etat, portant sur un montant annuel de 1,14 million d'euros. Une dépendance financière qu'il estimait nécessaire pour « garantir son indépendance vis-à-vis de tout groupement d'intérêts particuliers ».

« Versée par le ministère de l'Industrie, cette subvention complétait les cotisations des membres et permettait à cet organisme de mener des missions d'intérêt général en matière de droit et d'usages de l'internet », rappelle le FDI. L'Industrie, désormais chapeautée par Eric Besson, a choisi de ne pas renouveler cette subvention pour 2011.

La fin était toutefois attendue : depuis plusieurs mois, il était question que le FDI soit intégré à une nouvelle entité, le Conseil national du numérique, qui aurait été dotée de moyens plus importants et de compétences plus larges. Un Conseil dont on est pour l'instant sans la moindre nouvelle.
LoadingChargement en cours