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Cette année, le Google Summer of Code a retenu 7 projets pour PHP, et 10 pour MySQL. Les étudiants qui travailleront sur ces sujets ont été choisis et le travail peu commencer.

- Livedocs: The promised land", avec Michael Wallner
- Cycle Collection in PHP, avec Derick Rethans
- Debugger Frontend for Xdebug, avec Derick Rethans
- Doctrine ORM Framework, avec Lukas Smith
- Mutation Testing for PHPUnit, avec Sebastian Bergmann
- Foreign Keys: another improvement to PEAR::MDB2_Schema, avec Lukas Smith
- Refactory of Jaws internals, avec David Coallier
- a performance analysis and anomaly detection tool for database engine, avec Paul McCullagh
- MySQL Load Testing, aka. How hard can I really push this?, avec Giuseppe Maxia
- MySQLXplorer: Enabling Keyword Search in MySQL Applications, avec James A. Starkey
- Exploring MySQL's SQL optimizer, avec Timour Katchaounov
- MySQL Auditing Software, avec Sheeri Kritzer
- MySQL Based Atom Store, avec Brian Aker
- MySQL Auditing Software, avec Sheeri Kritzer
- MyWebER avec Colin Charles
- IPv6 network support, avec Brian Aker
- Application for 'Google Summer of Code -- MySQL AB' avec Stewart E Smith

Suivez les sommaires de PHP et MySQL sur Google Summer of Code pour en savoir plus sur chaque projet.

- Google Summer of Code 2007
Le rachat de la régie DoubleClick par le moteur de recherche Google pour 3,1 milliards de dollars ne fait pas que des heureux. Dimanche 15 avril 2007, deux jours après l'annonce du rachat, Bradford Smith, juriste chez Microsoft, a déclaré au New York Times que le rapprochement des deux plus puissants fournisseurs de publicité en ligne "réduira de façon substantielle la concurrence sur ce marché".

Par ailleurs, Microsoft qui, tout comme Yahoo! et Time Warner, prétendait au rachat de DoubleClick, s'interroge sur le volume de données personnelles que son grand rival sur Internet sera en mesure de collecter. Il est assez surprenant, que le numéro un mondial du logiciel, dont les pratiques commerciales font l'objet de multiples enquêtes 'antitrust' et procès aux Etats-Unis comme en Europe, attaque Google sur ce terrain !

La référence des outils de recherche et des liens sponsorisés ne se démonte pas : "Nous avons étudié ceci de près, et leurs réclamations, telles que formulées, ne sont pas vraies", a affirmé Eric Schmidt, CEO de Google, au quotidien américain. Mais Microsoft n'est pas le seul à s'inquiéter. L'opérateur historique américain, AT&T, demande également aux autorités d'examiner avec précision ce dossier. "Si une même société contrôle le paysage publicitaire en ligne, ce que Google semble essayer de faire, nous avons des soucis à nous faire", a souligné, pour sa part, Jim Cicconi, VP d'AT&T.

Pour tenter de calmer les esprits, Eric Schmidt a rappelé : "Nous allons maintenant passer par un processus de contrôle (de la part des autorités de la concurrence) aux Etats-Unis et en Europe. Tout au long de ce processus, ces questions seront discutées et débattues".
Maintenant que les moteurs se sont accordés pour un protocole commun de fichier SiteMap, ils simplifient la soumission de fichier sitemap en proposant d'utiliser le fichier robots.txt (qui est pourtant historiquement utilisé pour indiquer les parties que l'on ne souhaite pas indexer...).

Jusqu'à présent ceux qui avaient créé un fichier Sitemap devaient le soumettre plusieurs fois : à Google dans Webmaster Central, à Yahoo dans Site Explorer (sans compter MSN/Live qui est censé gérer bientôt ce protocole). Désormais, il suffit d'une ligne de texte dans le fichier robots.txt (situé à la racine du site) contenant le mot sitemap et l'URL du fichier Sitemap sur le site.

Exemple :
Sitemap: http://www.example.com/sitemap.xml

- Sitemap
Après plusieurs semaines de bras de fer avec Microsoft, c'est finalement Google qui rachète DoubleClick, pionnier des outils de gestions de bannières publicitaires, pour la somme record de 3,1 milliards de dollars en cash.

Actionnaires de DoubleClick, les fonds Hellman & Friedman et JMI Equity ont réussi à jouer sur la rivalité entre Google et Microsoft pour obtenir une somme dix fois supérieure au chiffre d'affaires de la société (estimé à 300 millions d'euros) et près de deux fois supérieure à la dernière acquisition de Google : YouTube, racheté 1,65 milliards de dollars en septembre dernier.

Avec cette opération, Google démontre non seulement sa puissance financière mais également son statut d'acteur désormais incontournable de la publicité en ligne, présent aussi bien dans le search marketing que dans l'univers de la bannière graphique ou du rich media.

Après avoir longtemps misé sur la sobriété des interfaces et les discrets liens sponsorisés, Google confirme en tout cas, avec les acquisitions de YouTube et DoubleClick Inc, que les prochains mois seront marqués par l'avènement de la vidéo et du 'rich media', un terrain où les grands noms de la télévision s'apprêtent d'ailleurs à l'affronter comme en témoigne la récente "union sacrée" entre TimeWarner, News Corps, Yahoo et Microsoft.
Il y a des langages qui n'existent que sur le papier. HTML 5 semble être un de ceux là. Alors qu'en 1999, le W3C avait enterré le HTML à sa version 4 en faveur du XHTML, le WHATWG (fondé en 2004) a développé le HTML5, en vu de faire évoluer ce bon vieux HTML qui n'avait pas que des torts. Un point notable du HTML5 fut l'introduction de la balise canvas. La réponse tardive du W3C fut la réouverture du groupe de travail HTML pour le développement du HTML 6.0, qui reste encore à l'état de brouillon préliminaire. Le groupe de travail HTML a tout juste été recréé le 7 mars dernier, les résultats sont prévus pour le troisième trimestre 2010 !

La demande qui vient d'être faite est cruciale. Il s'agit tout simplement de concevoir le HTML 6.0 à partir du HTML5 et non directement à partir du HTML 4.x. La logique voudrait que le W3C considère le WHATWG comme un groupe dissident. Il faut dire que le développement du HTML 5 a pris quelques années (ce qui est courant dans la rédaction des standards), ce travail serait précieux pour le groupe de travail HTML du W3C.

Le W3C ne renie pas le XHTML qui reste le principal sujet de développement sur ce segment avec le travail sur le XHTML 2. Cette annonce pourrait bien mettre fin à la confusion et redonner au W3C son monopole sur la définition des standards du Web.

- La demande au W3C
Une page web prend plus de temps à charger quand il y a plusieurs fichiers CSS séparés. Le constat est évident, quand on a expérimenté les mêmes ralentissements avec les images, mais les fichiers CSS et JavaScript sont cruciaux, car ils affectent la totalité de l'aspect de la page. Les navigateurs les attendent avant de pouvoir effectuer le rendu.

Paul Annesley vous propose de combiner ces fichiers en un seul, pour gagner en performances. Le résultat est assez étonnant.

- Faster Page LoadsBundle Your CSS and Javascript
Avec 2,5 millions d'adresses Internet enregistrées un an après son lancement grand public, le '.eu' est le septième nom de domaine le plus demandé au niveau mondial et le troisième au niveau européen, derrière le '.de' allemand (10 millions) et le '.uk' britannique (5 millions). D'après les chiffres communiqués par la Commission européenne mercredi, seuls 6% des adresses Internet en '.eu' ont été enregistrées en France.

Par comparaison, l'Allemagne représente 31% des enregistrements du '.eu', le Royaume-Uni 17% et les Pays-Bas 12%. La France, qui n'est pas séduite par son propre '.fr' (800.000), boude également le '.eu'. Selon le gestionnaire du domaine européen (EURid) l'ouverture quasi simultanée "à tous" des deux extensions, explique, en partie, ce manque d'intérêt des Français pour le '.eu'.

Globalement, l'heure est à la satisfaction. « Au bout d'un an, le '.eu' est devenu un élément bien connu du cyberespace européen », a souligné Viviane Reding, commissaire européenne en charge de la société de l'information. Avant d'ajouter : « C'est un indice encourageant de l'attrait pour le commerce électronique à l'intérieur de l'UE ». Au niveau mondial, en revanche, le suffixe européen reste loin derrière les très lucratifs '.com' et '.net' gérés par la société américaine VeriSign.
le 11/04/2007 à 20:03
Opera 9.2 finale
En phase de beta-test depuis quelques temps maintenant, Opera 9.2 est désormais disponible dans sa mouture finale. La principale nouveauté offerte par cette nouvelle version se nomme « Speed Dial », une fonctionnalité déjà présente dans Opera Mini, le navigateur gratuit pour téléphone mobile.

Le Speed Dial est une simple page Web, elle se présente comme une page d'accueil où pouvez définir vos 9 sites préférés. Ces sites sont ensuite présentés sous forme de petite fenêtre actualisée en temps réel. Un clique de souris sur la fenêtre de votre choix (ou l'utilisation du raccourci CTRL + 1 , CTRL + 2 ...) vous permet d'accéder alors au site. Un simple CTRL + R permet de rafraîchir l'ensemble de la page, un clique droit peut permettre aussi de mettre à jour une fenêtre bien spécifique. L'ensemble des fenêtres sont modulables par simple glisser/déposer.

Opera 9.2 permet aussi de définir un moteur de recherche par défaut à afficher dans la page Speed Dial. Cette version intègre une nouvelle fonction de recherche qui permet de lancer une requête vers Google Yahoo ou autre, lorsque l'utilisateur a entré plus d'un mot dans la barre d'adresse. Cette mise à niveau propose également quelques corrections de bugs.

- Opera
Prochaine évolution majeure du logiciel de messagerie de la fondation Mozilla, Thunderbird vient de passer en version RC1 (Release Candidate 1), ce qui signifie que le développement devrait bientôt toucher à sa fin. Disponible au téléchargement, cette version se rapproche de ce que donnera le logiciel une fois finalisé, mais ne devrait cependant être utilisée qu'à des fins de test, certaines fonctionnalités pouvant encore manquer ou ne pas fonctionner correctement.

Parmi les nouveautés introduites par les développeurs de la fondation Mozilla dans leur logiciel de messagerie, citons en vrac un nouveau thème graphique, la possibilité de marquer manuellement ses messages grâce à de multiples mot-clé (des tags) ou la prise en charge automatique des comptes Gmail et .Mac, afin que l'utilisateur n'ait pas à s'embarrasser de certaines options de configuration parfois fastidieuses. Les alertes, qui apparaissent dans la barre des tâches pour signaler l'arrivée de nouveaux messages, s'enrichissent désormais de nouvelles informations.

Thunderbird 2.0 se veut également plus ergonomique, avec un certain nombre de nouveautés au niveau de la navigation comme la possibilité de faire défiler les messages via un bouton précédent/suivant, ou l'affichage des différents dossiers de la Boîte de réception en fonction de critères particuliers tels que les dossiers les plus lus, les plus récents ou les non lus. Pour finir, signalons que cette mouture 2.0 bénéficie d'un nouvel installeur Windows et qu'elle devrait se révéler parfaitement compatible avec Windows Vista.

- Thunderbird
Afin de régler un différend judiciaire avec AOL, la messagerie instantanée libre et gratuite GAIM a été dans l'obligation de changer de nom. Désormais, le logiciel inter-plateforme et inter-réseaux (compatible Windows Live Messenger, Yahoo Messenger, ICQ ...) devra être appelé Pidgin.

Initialement, le nom GAIM était l'acronyme de GTK et de AOL Instant Messenger (AIM). AOL se serait plaint de cette référence, précisant qu'elle pourrait amener à des confusions. AOL a donc cherché ensuite à faire jouer les droits sur la marque AIM pour obtenir le changement de nom de GAIM.

Les projets dérivés de GAIM nommés "Libgaim" et "gaim-text" seront renommés "libpurple" et "Finch". Le site Web qui héberge GAIM redirige désormais vers "pidgin.im". Si tout va bien, la version 2.0 finale de GAIM / Pidgin devrait sortir cette semaine.

- Gaim (heu non pidgin :p)
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