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le 30/11/2013 à 15:27
10 + 1 ans déjà !
Le temps passe vite, trop vite.

Je ne sais pas si vous l'avez remarqué mais lephpfacile vient de fêter ces 11 ans le 25 septembre dernier (et oui, nous avons "oublié" de fêter nos 10 ans :/) !

Et pour fêter cela comme il se doit, nous venons d'effectuer une grosse mise à jour du site :
  • tout le code du site a été repensé, restructuré, réécrit : il n'y a peut être que 5% du code qui a été conservé
  • de nouvelles fonctionnalités font leur apparition, notamment sur le forum avec la prévisualisation du premier et du dernier message d'un sujet
  • l'interface se veut plus "moderne" avec une utilisation plus poussée de javascript


Sachez également que tous les cours seront réécrits dans les semaines à venir.

En effet, PHP a énormément évolué depuis 10 ans. Son utilisation est beaucoup plus moderne, plus professionnelle. Et nous aussi (en tant que personne), nous avons 10 ans d’expérience supplémentaire dans ce domaine. Cela change énormément la vision que l'on peut avoir du code en régle général croyez moi.

Ces derniers mois (années), de nombreuses personnes m'ont contacté pour savoir si je comptais me débarrasser de ce site : et bien non !
Malgré mes faibles interventions de ces derniers temps, ce site me plait toujours autant et je compte bien continuer à le dynamiser.
Cette nouvelle version en est la preuve. Et ce n'est qu'un début, j'ai de nombreuses idées à mettre en place d'ici les prochains mois !

Bon PHP :)
Le site « nettuts+ » revient sur l'année 2010, venant de s'écouler car il s'agit d'une année riche pour le développement web en général.

L'article propose 150 sites qui ont marqué cette année, soit par le biais d'astuces ou de nouveaux outils.

Les points importants sont très détaillés mais cela concerne comme :
- Animation avec Jquery et Mootools
- Déclenchement du 'cron'
- L'utilisation des WebServices avec REST
- Utilisation graphique : Manipulation d'images avec PHP, utilisation de Canvas
- Une année PHP : utilisations des fonctions, PDO, etc
- Connexion avec les réseaux sociaux (Facebook, Twitter...)
- Guide des Design Patterns
- Bases de données comme MySQL
- etc.

La liste est très longue, c'est pourquoi il est préférable de consulter l'article.

- The Top 150 Web Development Highlights from 2010
Le magazine Net-security.org rapporte les derniers chiffres du cabinet Commtouch, spécialisé dans la sécurité Internet. En septembre, la fermeture des botnets de Spamit s'est traduite par une baisse de l'ordre de 18% du niveau de spam au mois d'octobre. Cette tendance se serait confirmée au quatrième trimestre.

En effet, au mois de décembre les experts ont enregistré un déclin de 30% du spam par rapport à septembre. Ce mois-ci, environ 83% des emails envoyés étaient indésirables contre 88% au trimestre précédent. En début de mois ce taux n'était que de 74%.

L'année 2010 fut marquée par différentes offensives contre les cyber-criminels. Au mois de février, Microsoft a réussi à mettre fin aux opérations du botnet Waledac. Tim Cranton, conseiller de la firme de Redmond, expliquait qu'il s'agissait de " l'un des 10 plus gros botnets aux Etats-Unis et l'un des distributeurs majeurs de spam ». Waledac envoyait en moyenne 1,5 million de courriers indésirables par jour. Le mois suivant les membres de la Botnet Task Force se sont attaqués au réseau Mariposa. Ce dernier aurait infecté plus de la moitié des 1000 sociétés les plus riches du monde, une quarantaine de banques ou encore des entreprises pharmaceutiques dans 190 pays. Les autorités espagnoles expliquaient avoir mis la main sur trois hommes accusés d'être à la tête des activités de ce second botnet géant.

Rappelons qu'en octobre 2010 Igor A. Gusev, surnommé « le roi du spam » et l'origine du botnet Spamit, a été arrêté en Russie. Il était responsable de l'envoi de 20% du spam à travers le monde et notamment des publicités pharmaceutiques. Espérons que la tendance perdure en 2011.
le 31/12/2010 à 00:00
Canada : un pays accro au web
L'agence Reuters rapporte une étude publiée par le cabinet d'analyse Comscore et au travers de laquelle il apparaît que les canadiens sont les plus adeptes du web.

Le pays aurait en effet le taux de pénétration le plus fort avec pas moins de 68% de la population connectée. En France et en Grande-Bretagne, ce taux serait de 62% devant l'Allemagne (60%) et les Etats-Unis (59%). En Italie, les internautes ne représenteraient que 32% de la population.

Cette année, les Canadiens auraient passé en moyenne 42 heures pas mois à surfer le web contre 40 heures en 2009. Gros consommateurs de vidéo en ligne ils auraient également regardé 147 clips par mois sur Youtube et autres plateformes de vidéo.

Mais le plus impressionnant reste véritablement le taux d'adoption des réseaux communautaires : 51% des internautes auraient un compte Facebook soit environ 17 millions de Canadiens. Il n'est donc pas surprenant que le pays ait décidé cette année d'ouvrir une enquête sur la politique en matière de vie privée sur réseau de Mark Zuckerberg. Notons enfin que ces accros du web comptaient également pour 5% du trafic enregistré sur les serveurs de Twitter.
La société Hopewell Culture and Design n'a pas froid aux yeux et vient d'intenter des actions en justice contre une dizaine de sociétés pour violation de propriété intellectuelle. La plainte a été déposée devant la cour fédérale du Texas.

Plus précisément la firme estime détenir les droits sur une technologie permettant d'effectuer une sélection de contenu en procédant à un double-clic ou une double-tape sur un écran tactile. Hopewell Culture and Design aurait déposé un brevet en 2002 et obtenu ce dernier en 2007. Le plaignant explique que le double-clic est implementé depuis longtemps sur les ordinateurs mais à un degré moindre. Cette méthode permet l'interaction et la sélection au sein d'éléments préalablement sélectionnés. Autrement dit, il serait possible de double-cliquer sur l'icône de votre navigateur mais pour pouvoir effectuer un nouveau double-clic au sein de celui-ci l'éditeur aura dû s'acquitter des droits du brevet.

Parmi les sociétés mentionnées dans cette plainte nous retrouvons Adobe et son lecteur PDF, Apple et ses iPhone/iPad, Nokia et ses smartphones N900 et N97, HTC et ses téléphones Droid Eris, Droid Incredible, Hero et EVO mais aussi LG Electronics, Motorola, Opera Software, Palm, Quickoffice et Samsung.
Décidément, rien ne va plus dans l'industrie du film pornographique ! La Chine vient en effet d'annoncer avoir pris des mesures radicales au sein des frontières de son pays.

En début de semaine nous apprenions que gouvernement du Royaume-Uni souhaitait mettre en place une politique active pour bloquer une partie des sites proposant du contenu jugé inapproprié. Les principaux fournisseurs d'accès à Internet du pays - British Telecom, Virgin Media et Talk Talk - doivent se réunir avec Ed Vaizey, le ministre de la Culture britannique. Les discussions porteront sur une éventuelle option à laquelle l'internaute devra souscrire pour autoriser l'accès aux sites pornographiques au sein de son foyer.

En plus de ce filtrage, le film pornographique est aussi victime du piratage. En effet, selon le blog TorrentFreak le terme « xxx » arriverait en quatrième position au palmarès des 100 mots-clés les plus recherchés au sein des moteurs de fichiers bittorrent. Et si vous pensez qu'il s'agit du film Triple X avec Vin Diesel, sachez que le terme « porn » arrive en neuvième place.

De son côté la Chine a annoncé que les autorités locales ont fermé plusieurs dizaines de milliers de sites web pornographiques ces douze derniers mois. « Au mois de novembre nous avions passé au peigne fin 1,8 million de sites Internet et fermé 60 000 d'entre eux », déclare Wang Chen responsable au bureau de la presse. Cette initiative s'est également traduite par l'emprisonnement de 58 personnes pour une durée minimum d'au moins cinq ans, rapporte Reuters.

M.Chen ajoute : "Cette opération spéciale pour anéantir la pornographie et les contenus vulgaires sur Internet n'est pas finie. C'est une guerre continue. »
Google serait-il en passe de devenir opérateur téléphonique aux Etats-Unis, au même titre que T-Mobile, AT&T, Sprint ou Verizon ? Le site américain CNN rapporte que l'opérateur a assemblé toutes les pièces dont il a besoin pour le devenir.

Entre son système d'exploitation Android, et ses efforts pour devenir fournisseur d'accès à Internet, Google s'intéresserait donc de près à ce nouveau marché. Cela lui permettrait de s'affranchir de l'intermédiaire des opérateurs, et de toucher directement les clients mobiles.Pour CNN, la volonté de Google de devenir opérateur en téléphonie mobile est claire, et se prépare depuis longtemps :En 2008, le géant a tenté d'investir dans des fréquences 4G - finalement attribuées à Verizon.Fin 2008, Android fait son apparition dans un partenariat entre Google et l'opérateur T-Mobile. Baptisé gPhone par la rumeur, il devient rapidement un succès, grâce notamment à son utilisation gratuite et les possibilités de modifications par les fabricants.En mai 2009, il dévoile Google Voice, son service d'unification du numéro et d'appels à bas coûts. CNN rappelle qu'en cinq mois, Google Voice avait 1,4 million d'abonnés, dont la moitié étaient utilisateurs quotidiens.En février 2010, Google a annoncé qu'il allait devenir fournisseur d'accès à Internet à ultra-haute vitesse pour une ville - non dévoilée - américaine.En 2010 toujours, Google a commercialisé un téléphone directement sous sa marque. Fabriqué par HTC, il ne s'appelait pas moins le Google Nexus One. Google réitère l'expérience - malgré des ventes mitigées - un an plus tard, avec le Google Nexus S, fabriqué par Samsung.

Alors, pour Al Hilwa, analyste à IDC, l'affaire est entendue : « Google a fait beaucoup parler de lui et de ses ambitions de devenir opérateur téléphonique. Mais il a appris avec le Nexus One qu'il était plus facile de le dire que de le faire. Cela dit, je n'ai aucun doute quant au fait que ses ambitions restent intactes. »

Même analyse pour le PDG de Quantum Networks, Ari Zoldan : « Les efforts variés de Google se concentrent clairement sur la possibilité de toucher un maximum de gens sur la planète, mais ce n'est pas quelque chose qu'ils peuvent accomplir seulement avec Android. Si Google pouvait trouver une transition aisée vers le monde du portable et fournir une couverture mobile, il y aurait un grand avantage. »
le 31/12/2010 à 00:00
Apple : bientôt le shopping social ?
Le magazine spécialisé AppleInsider a découvert un nouveau brevet déposé par Apple décrivant un système de recommendations personnalisées lorsqu'un mobinaute est sur le point de faire un achat. La firme explique en effet que le client moyen aime recevoir des conseils de ses amis ou d'un vendeur mais ces derniers ne sont pas toujours accessibles au moment de l'achat.

Le document décrit l'usage d'un appareil mobile (autrement dit un terminal sous iOS) permettant d'établir un contact avec ses relations lorsque nous faisons les courses. L'appareil serait en mesure de récupérer les informations relatives à un produit. Ces détails (images, description, prix...) pourraient ensuite être partagés au sein d'un réseau communautairs. Le mobinaute serait alors en mesure de récupérer les commentaires et impressions de ses amis.

Plus précisément, le mobinaute pourrait formuler une question ouverte (où trouver un produit équivalent moins cher ?) ou fermée (dois-je acheter cet objet ?) ou permettre aux autres de noter l'article via un système d'étoiles.

Reste à savoir si ce nouveau réseau verra le jour et si tel est le cas, s'il saura s'imposer face à Facebook et Twitter déjà largement utilisés pour ce type de besoins?
La fondation Wikimedia, qui édite l'encyclopédie collaborative en ligne Wikipedia, a atteint 15 millions de dollars de dons en deux mois sur les 16 millions visés. A quelques heures de la fin de l'année, il lui manque donc toujours 1 million de dollars pour remplir ses objectifs.

Difficile de passer à côté ces derniers temps lors d'un passage sur Wikipedia : la fondation a besoin d'argent. Rien d'anormal, sa campagne de contribution est annuelle. Elle a débuté le 14 novembre dernier, avec un message "personnel" de Jimmy Wales, le fondateur de l'encyclopédie, sur chaque page du site - puis une mise en avant des bénévoles sur la version française.En 2009, la campagne de dons avait permis à la fondation de lever 7,5 millions d'euros. Wikimedia annonce une moyenne de 33 dollars par don depuis sa création, pour un total de 500 000 dons. De quoi financer l'espace de stockage et la bande passante nécessaire à Wikipedia, l'un des premiers sites mondiaux avec 250 millions de visites par mois. Et de développer de nouveaux projets.

La Fondation Wikimedia, éditrice de l'encyclopédie, détaille d'ailleurs dans son plan annuel la destination des fonds récoltés :2010-11 Wikimedia Foundation Annual Plan FINAL for WEBSITE

Agrandir ses bases de données - notamment photos, accélérer la numérisation des catalogues issus des bibliothèques ou des écoles partenaires... Les utilisations possibles de ces 16 millions de dollars sont nombreuses. Restent quelques heures pour trouver ce million manquant.
Groupon vient de réaliser une levée de fonds de 500 millions de dollars. Le spécialiste des coupons de réduction en ligne pour le commerce de proximité pourrait atteindre 950 millions de dollars pour ce tour de table.

Groupon a annoncé hier avoir trouvé 500 des 950 millions de dollars pour son nouveau tour de table. Digital Sky Technologies, Fidelity Investments et Morgan Stanley font notamment partie des investisseurs, selon TechCrunch, qui estime la valorisation de l'entreprise à 4,75 milliards de dollars.

Ce nouveau tour de table réaffirme la vigueur de Groupon et de son modèle. La startup a déjà généré plus de 500 millions de dollars de chiffre d'affaires cette année, selon plusieurs cadres proches de la direction. Avec l'argent récolté, Groupon devra racheter une partie de ses parts auprès de ses précédents investisseurs. La loi américaine oblige en effet les entreprises non-côtées en Bourse à ne pas avoir plus de 500 actionnaires, si elles ne veulent pas avoir des contraintes supplémentaires auprès de la SEC (Securities and Exchange Commission).

C'est la seconde levée de fonds de Groupon cette année, après un investissement de 183 millions de dollars par Amazon. Mais l'entreprise s'est surtout fait remarquée pour avoir refusé une offre de rachat de Google, évaluée à 6 milliards de dollars, au début du mois de décembre.
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