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Le ministre de l'Economie numérique a profité d'une invitation dans les locaux de PriceMinister pour dévoiler quelques pistes de son programme. Eric Besson a expliqué qu'il comptait lancer le Conseil National du numérique (CNN) prochainement. Un groupe de travail présidé par Pierre Kosciusko-Morizet (fondateur de PriceMinister) doit s'atteler à sa création.

Interrogé par la rédaction, Pierre Kosciusko-Morizet confirme sa nomination pour le comité qui devra choisir les membres du CNN : « Ce Conseil est une très bonne chose, cela va éviter d'avoir des évolutions réglementaires sans consulter les acteurs de l'Internet. On évitera ainsi de faire des contresens. Le travail est devant nous ».Ce rendez-vous était donc l'occasion pour le ministre de véritablement confirmer ses propositions dans le cadre du plan numérique 2012. Le ministre a annoncé la mise en place d'un groupe de travail avec les acteurs du numérique. L'objectif avoué de ce Conseil, imaginé de longue date mais constamment repoussé, est de créer une organisation capable d'être consultée sur toutes les thématiques de l'Internet au sens large : taxe Google, Loppsi, Hadopi…

Ce CNN devrait être doté d'un pouvoir consultatif afin que la classe politique puisse « sentir le pouls » du secteur avant toute prise de décision. Le premier cheval de bataille de cette commission pourrait alors être la taxe Google. Bien qu'adoptée, son application a été repoussée au mois de juillet 2011 en raison d'une trop forte opposition des acteurs de la publicité en ligne. Même François Baroin, ministre du budget justifiait son report afin de « mieux consulter toutes les personnes concernées… »

La CNN aura donc vocation à éviter les faux pas. Malgré tout, Eric Besson rappelle que les firmes américaines peuvent avoir une attitude nuisible pour le marché. Il explique : « Google ne contribue en rien au financement des réseaux et prend beaucoup de bande passante. Il faut donc trouver un moyen de faire contribuer les géants ».

Concernant la création du Conseil, le ministre explique qu'en janvier une première liste du groupe de travail sera éditée. Le CNN devrait alors être mis effectivement sur pied 2 à 3 mois plus tard. Le plan Numérique 2012 entre, comme prévu, en marche…
le 21/12/2010 à 00:00
Facebook de A à Z en PHP
Le site web « la ferme du web » lance une série de tutorials avec le but de vous aider dans la réalisation de vos projets PHP.

Ce premier chapître de ce tutorial, est consacré à Facebook avec comme intitulé « Créer une application Facebook de A à Z en PHP ». Il se décomposera en plusieurs parties et celle d'aujourd'hui commence par une bonne approche du sujet.

- Créer une application Facebook de A à Z en PHP: Premier chapitre
Les fondateurs du service About.me, qui permet à l'internaute de créer une simple page recensant tous les pans de son identité numérique, viennent d'annoncer son acquisition par AOL pour un montant non communiqué.

Derrière About.me, ouvert mi-décembre après trois mois d'une période de bêta-test ayant conduit à l'inscription de quelque 400 000 curieux, réside une idée toute simple : proposer à l'internaute de se constituer une unique page sur laquelle il concentrera les principaux aspects publics de son activité en ligne.

Après inscription, il sera donc invité à personnaliser cet espace personnel, avant de renseigner des éléments tels qu'une courte biographie, ses profils sur les réseaux sociaux ou l'adresse de ses propres sites Web, éventuellement accompagnée des remontées d'un flux RSS. Suite à la création de cette carte de visite en ligne, accessible via une adresse facile à mémoriser (exemple) il disposera d'une interface lui permettant de visualiser les statistiques de consultation de sa page par d'autres internautes, le nombre de clics envoyés vers les différents liens qu'elle comporte ou le nombre de liens pointant vers elle. Aujourd'hui, l'utilisation du service est entièrement gratuite.

Soutenu de près ou de loin par une jolie brochette de personnalités du Web américain, About.me compte notamment au rang de ses trois fondateurs Tony Conrad, qui connait déjà très bien AOL puisqu'il leur a cédé sa précédente start-up, Sphere, en 2008. Lui et son équipe rejoindront les rangs de la division Consumer Application d'AOL après que la transaction a été finalisée.

Le groupe américain, en pleine reconversion vers une stratégie contenus médias + services depuis sa scission d'avec Time Warner, pourrait avoir vu dans About.me un possible accompagnement de son outil Lifestream, chargé d'agréger les activités et publications d'un internaute sur les réseaux sociaux. Dans cette optique, AOL avait déjà procédé fin septembre à l'acquisition de la start-up Brizzly, éditrice d'un service analogue.
Gad Stanislas est directeur général pour la France et le Benelux de la société Cotendo, spécialisée dans les réseaux de distribution de contenu ou CDN (Content Delivery Network). Dans cette tribune libre, il invite les éditeurs à réfléchir à l'impact que peuvent avoir les performances d'un site ou d'une application en ligne sur son positionnement dans les moteurs de recherche, en développant quelle peut être la proposition de valeur d'une analyse menée au niveau du CDN. Avez-vous déjà pris le temps de regarder à la loupe l'écran de votre ordinateur et de compter les pixels un par un ? Sans doute pas, mais c'est à ce niveau de granularité qu'opèrent les robots d'indexation qui examinent votre site web. Ils analysent chaque mot, titre, image, méta-tag, ainsi que le délai de chargement de chaque page. Et souvent, ils en savent plus que vous sur votre site web.

Les robots et leurs analyses nourrissent les algorithmes des moteurs de recherche, et, in fine, le ranking de votre site sur les pages de résultats de recherches. Ce ranking est essentiel pour améliorer le nombre de clics, drainer de nouveaux clients, faire progresser la valeur moyenne des achats, et doper la fidélité de vos clients. À ce titre, les robots sont devenus incontournables.

La bonne nouvelle est vous pouvez tirer profit de ces robots d'indexation. Par exemple, vous pouvez déterminer, en quelques minutes, les 20% des problématiques de performance de votre site web qui, une fois corrigées, doperont vos performances web de 80%.Les robots connaissent vos faiblesses

Pour les robots des moteurs de recherche, la latence est une faiblesse : les pages qui peinent à se charger risquent fort d'être purement et simplement ignorées. D'autre part, une configuration médiocre de votre site pèsera lourdement sur la qualité de son indexation, puisque seules certaines pages seront prises en compte par les robots. Ces problématiques sont particulièrement épineuses pour les sites de vente en ligne dont le contenu est généralement dynamique, personnalisé au travers de pages complexes, et faisant appel à de nombreux objets.

Les robots d'indexation informent leurs moteurs de recherche respectifs, et ces derniers pénalisent le ranking des sites lents et mal indexés. En revanche, une structure de site et un délai de chargement optimisés amélioreront le ranking. Votre site ne sera pas relégué dans les bas-fonds des résultats de recherche, et donc visible par les internautes qui, et c'est un fait, ne consulteront que les premières pages de résultats. Connaître les modalités d'indexation de votre site et ce qui peut nuire à son ranking devient ainsi payant, au sens littéral du terme.

En résumé, pour réussir votre référencement avec les moteurs de recherches (Search Engine Optimization - SEO), vous devez savoir très exactement ce que les robots d'indexation évaluent.

Les carences des analyses orientées Google et des réseaux de contenus classiques

Moteur de recherche distinct équivaut à analyse spécifique. Google ne vous renseigne pas sur Bing et Yahoo! Analyser les données d'un seul robot d'indexation n'offre ainsi qu'une information partielle. Pour autant, analyser les données de chaque robot est une perte de temps, d'autant que cette approche néglige de précieuses corrélations qui résultent du croisement des analyses.

Un réseau de fourniture de contenu (ou CDN pour Content Delivery Network) utilisé pour améliorer un site peut collecter des informations provenant de plusieurs robots. Mais attention, si vous envisagez cette approche, sachez qu'un CDN classique peut agréger tellement de contenu, qu'au final, vous n'avez pas de visibilité sur des données importantes qui optimiseront votre référencement (SEO - Search Engine Optimization).

Fort heureusement, il est possible de pallier ces carences...Devenez "Omniscient"

Regrouper toutes vos analyses en utilisant votre CDN comme un "super observateur". Un CDN dédié au e-commerce doit être en mesure de collecter et d'analyser l'activité des robots d'indexation. Ces tâches sont effectuées en surveillant toutes les requêtes HTTP qui demandent une information sur un site. Si vous disposez déjà d'une politique de monitoring, il vous sera facile de regrouper, d'analyser et de créer des rapports sur base des données issues de tous les robots d'indexation (Google, Bing, Yahoo! et autres). Cette approche simple, qui consiste à intégrer les analyses SEO au cœur de votre CDN, vous donne des informations immédiates et détaillées (identification des objets dont le téléchargement est lent par exemple). Ces données vous aideront à rendre votre site plus performant, et donc, à améliorer votre ranking dans les moteurs de recherche.

Maintenant que vous connaissez les secrets des robots d'indexation, vous avez la possibilité d'optimiser en continu votre site de commerce en ligne à l'intention des moteurs de recherche, grâce aux données détaillées et granulaires fournies par les fonctions SEO intégrées de votre CDN. Notons également que les algorithmes des moteurs de recherche évoluent dans le temps, ce qui peut rendre votre optimisation SEO particulièrement chronophage. Ce qui est, dans la réalité, rarement le cas, puisque la règle des 20-80 s'applique ici.

En clair, 20% des pages ou des objets problématiques comptent pour 80% des problématiques de performance du site, et ces pages constituent le périmètre de vos efforts SEO. En particulier, soyez attentifs aux données suivantes des robots d'indexation :

- Des requêtes répétées sur une même page ou objet
- Le nombre général de pages/objets évalués par le robot
- Le nombre de pages/objets engendrant des codes d'erreurs
- Les objets dont le chargement est trop long

Fixez-vous des objectifs de performances pour ces éléments pour repérer rapidement les éventuelles problématiques. En disposant d'informations détaillées et décisionnelles, vous optimisez votre site web et améliorez votre classement, tout en maîtrisant vos budgets et vos efforts.Dopez votre chiffre d'affaire avec les analyses SEO

Les sites de commerce en ligne qui connaissent l'activité des robots d'indexation améliorent leurs performances et le retour sur investissements en SEO, et prennent une longueur d'avance sur leurs concurrents, qui eux, n'ont pas cet éclairage. Les grands gagnants de cette approche sont les petits acteurs du e-commerce, dont les budgets étriqués les tiennent à l'écart des campagnes 'pay-per-click' d'envergure. Pour eux, une bonne stratégie SEO, avec les bons outils et analyses, les amène à rivaliser avec des concurrents disposant de moyens plus importants.

Les analyses SEO de votre réseau CDN vous aideront à optimiser votre référencement et votre classement, pour ainsi améliorer vos taux de clics et de conversion. À noter également qu'un site performant améliore l'expérience de l'utilisateur, l'incitant à être fidèle à votre marque et à faire des achats.

Grâce aux secrets qu'ils révèlent, les robots d'indexation sont de puissants informateurs. Sachez utiliser votre CDN pour écouter et apprendre, et faites de cette puissance votre meilleure alliée.
Aux Etats-Unis, les dépenses publicitaires consacrées à Internet devraient pour la première fois dépasser en 2010 celles qui sont allouées à la presse papier, même si l'on prend en compte ses activités en ligne, affirme cette semaine une étude réalisée par le cabinet eMarketer. La différence ne serait pas énorme au regard des investissements concernés, mais ce passage de relais, qui fait l'objet d'études et de pronostics divers depuis des années, revêtira s'il est confirmé une certaine valeur symbolique.

D'après les projections établies par eMarketer, les investissements publicitaires dans la presse papier s'établiront à 22,78 milliards dollars pour 2010, un total en déclin de 8,2% sur un an. Si l'on ajoute les recettes publicitaires de la presse émanant de leurs sites et services Web, le chiffre d'affaires total se monterait à 25,7 milliards de dollars sur l'année... soit 100 millions de dollars de moins que les 25,8 milliards de dollars dépensés, tous supports confondus, en publicité en ligne en 2010.

Pour eMarketer, on atteindrait en cette fin d'année le tipping point, ce point d'inflexion où un phénomène incertain et singulier devient la règle. Pour 2011, ses analystes pronostiquent en effet un renforcement de la tendance, avec des investissements en presse papier passant à 21,4 milliards (- 6%) alors que les dépenses en ligne atteindraient 28,5 milliards, soit une hausse de 10,5%.

Geoff Ramsey, directeur exécutif d'eMarketer, se range à un avis déjà régulièrement émis par d'autres : « les mauvaises conditions économiques ont accéléré le passage à la publicité numérique. Les acteurs du marketing perçoivent de plus en plus les publicités en ligne - et tout particulièrement les publicités liées à la recherche - comment étant un pari plus sûr que les publicités imprimées, qui sont souvent difficiles à lier à un résultat financier mesurable ».
Mise en ligne samedi, la première application iPhone non officielle dédiée au fameux Wikileaks n'aura pas fait long feu : selon son auteur, Apple a en effet procédé à son retrait de l'App Store dans la nuit de lundi à mardi.

Voilà qui ne manquera pas d'alimenter la controverse relative à la politique de modération pratiquée par Apple au niveau de son kiosque de téléchargement d'applications mobiles : une application non officielle dédiée au très médiatique Wikileaks a en effet été retirée de la vente mardi matin, sans qu'aucune explication n'ait pour l'instant été transmise à son auteur, un Russe du nom d'Igor Barinov.

Facturée 1,99 dollar sur la version française de l'App Store, l'application permettait de consulter dans un format adapté à l'écran des terminaux mobiles d'Apple une partie des "câbles" publiés par le site Wikileaks, ainsi que le compte Twitter alimenté par l'équipe de Julian Assange. Lors de sa mise en ligne, Igor Barinov avait promis qu'un dollar serait reversé à Wikileaks sur chaque vente réalisée. Las, mardi matin, le développeur annonce, capture d'écran à l'appui, que l'App Store n'autorise désormais plus le téléchargement de son application, achetée plus de 2800 fois depuis sa mise en ligne.

Apple, qui n'a pour l'instant pas commenté ce retrait, n'a jamais fait mystère de sa volonté de contrôler de près la nature des applications qui transitent par sa plateforme, comme en témoignent les nombreux retraits déjà constatés (client BitTorrent, applications sexy, etc.). Le caractère à la fois politique et hautement polémique des contenus publiés par Wikileaks semble ici avoir fini par susciter quelques craintes, quelles qu'en soient les motifs, alors que l'application avait franchi les étapes de contrôle préliminaire à la publication sur l'App Store.
L'offensive d'Apple en matière de publicité sur mobile, iAd, va sans doute connaitre un regain d'intérêt avec l'arrivée d'un outil dédié à la réalisation de réclames interactives. Baptisé iAd Producer, il se veut accessible aussi bien aux néophytes qu'aux développeurs confirmés.

Réservé aux détenteurs d'un abonnement développeur iOS, iAd Producer vient accompagné d'une série de composants qu'il suffira d'associer dans une interface simplifiée pour parvenir à réaliser sa ou ses pages de publicité, dans une logique de glisser déposer. Un simulateur permettra d'en tester immédiatement le rendu sur l'un des appareils mobiles compatibles, iPhone, iPod Touch ou iPad.

« iAd Producer gère automatiquement le HTML5, les CSS3 et le JavaScript qui sous tendent votre iAd pour la création de contenus magnifiques et animés aussi simplement qu'en pointer - cliquer », annonce fièrement la page de présentation du produit. Du côté des contenus justement, Apple encourage l'utilisation du format d'image SVG, ainsi que de la vidéo en H.264.

Derrière l'éditeur visuel et les nombreuses options d'animation ou de mise en forme proposées (carrousel, carte géographique, etc.), les développeurs confirmés auront la possibilité de travailler manuellement leur propre code et de tester celui-ci au travers d'outils dédiés, notamment pour tout ce qui concerne les interactions réalisées en JavaScript. On retrouve ici sans surprise le socle de Xcode, l'environnement de développement de Mac OS X. L'outil iAd Producer prend la forme d'une image .dmg de 30 Mo, proposée au téléchargement via le site développeurs d'Apple.Le coup d'envoi dont avait besoin iAd ?

Telle que présenté dans la documentation mise en ligne par Apple, iAd Producer vise à mettre au point des écrans publicitaires dignes de véritables applications mobiles, avec éventuellement plusieurs pages de contenus, un menu de navigation et de nombreux raffinements visuels. Un positionnement résolument haut de gamme, conforme aux aspirations revendiquées par Steve Jobs lors du lancement officiel de la régie iAd, qui pendant ses premiers mois d'existence n'a commercialisé que des réclames "premium", réalisées auprès d'un cercle restreint de partenaires et ne concernant que des clients de renom.

L'idée n'est donc pas ici simplement de concevoir la simple bannière chargée d'attirer l'oeil de l'internaute dans un coin de l'écran du smartphone, mais de prévoir un dispositif d'atterrissage intégré et, bien sûr, enrichi, de façon à favoriser l'engagement. Une proposition de valeur particulièrement séduisante, aussi bien du point de vue de l'annonceur que des agences chez qui le Mac règne bien souvent en maître, et qui doit permettre à Apple de fédérer de nouveaux clients sur le réseau de sa régie, composé d'éditeurs d'applications à qui la firme promet de reverser 60% des recettes générées par iAd. Reste à voir comment Apple gérera l'articulation entre l'ouverture du système iAd à des créations venues de toute part et l'image haut de gamme dont profite aujourd'hui le service.
Foursquare complète dès aujourd'hui son service de géolocalisation sociale de deux fonctions plébiscitées. Les utilisateurs pourront désormais agrémenter un check-in de photos et de commentaires, comme peuvent déjà le faire les utilisateurs du rival Gowalla. Foursquare permet pour rappel de pointer à un endroit et de le faire savoir à sa liste d'amis, le cas échéant au travers de réseaux sociaux (Facebook et Twitter).

Les photos peuvent être associées à un check-in, pour s'ancrer dans un contexte et rester réservées à sa liste d'amis, ou bien à une recommandation (tip), pour permettre par exemple à tous les utilisateurs du service de "voir un plat avant de le commander, de déterminer si un endroit a l'air sympa ou de faciliter le repérage d'un endroit difficile à trouver".

Si un utilisateur pouvait déjà associer un statut à un check-in, ou ajouter une recommandation à un endroit, la nouvelle fonction commentaire permet quant à elle de répondre au check-in de quelqu'un d'autre au sein du service (et non en réponse à une publication automatique sur Facebook et/ou Twitter). Les commentaires ne sont visibles qu'entre amis. Foursquare y voit un moyen d'inciter des rencontres ou de faire part d'un conseil de dernière minute.

L'application "Foursquare pour iPhone" bénéficie d'ores et déjà de ces nouvelles fonctions, avec la mise à disposition aujourd'hui de la version 2.2 sur l'App Store. La mise à jour de l'application Android sera disponible la semaine prochaine, celle pour BlackBerry et webOS en janvier et celles pour les autres plateformes début 2011. Les photos sont consultables du site Internet, où la fonction commentaire est pleinement opérationnelle.

Une prochaine mise à jour permettra enfin de partager ses photos sur Facebook et Flickr, et d'améliorer le suivi des commentaires.
le 20/12/2010 à 00:00
MySQL 5.5
La nouvelle version de MySQL vient de sortir et peut être utiliser en production.

Un communiqué a été réalisé autour de cette version, pour montrer les nombreuses évolutions du produit :
- Amélioration des performances
- InnoDB comme moteur de stockage par défaut

Par ailleurs, la distribution est effectuée sous licence GPL et disponible gratuite en téléchargement.

- MySQL 5.5 Now Generally Available
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