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Mark Zuckerberg a été nommé "personnalité de l'année 2010" par le magazine Time. Pour "avoir connecté plus d'un demi milliard de personnes et tissé leurs relations, pour avoir créé une nouvelle manière d'échanger de l'information, et pour avoir changé la manière dont nous vivons tous nos vies," l'influent hebdomadaire américain a désigné le fondateur de Facebook.

Décrit par le directeur de la rédaction Richard Stengel comme un "chef d'État en t-shirt", puisque le réseau social représente près d'un dixième de la planète, il est à 26 ans le second plus jeune "homme de l'année", derrière l'aviateur américain Charles Lindbergh, qui avait 25 ans quand il a été nommé en 1927.Julian Assange plébiscité par les internautes

Les lecteurs du site Internet du magazine avaient pourtant plébiscité Julian Assange. Le fondateur présumé du controversé WikiLeaks a récolté 382 020 du total des 1,25 million de votes, loin devant les 148 383 votes du second, le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan. Mark Zuckerberg n'est quant à lui qu'à la dixième place du classement des lecteurs.La sphère Internet à l'honneur

Qu'on croie ou non à la théorie du complot, à des pressions politiques ou à un choix légitime du Time, il est quoi qu'il en soit intéressant de noter que les personnalités de l'année sont toutes deux issues de la sphère Internet. Bien que leurs projets soient très différents, ils incarnent chacun à leur façon les nouveaux rapports qu'ont les internautes à l'information, tant en tant que consommateurs qu'en tant que contributeurs.
Depuis sa mise en route, l'Hadopi communique peu sur son fonctionnement et ses activités. Pourtant, certaines informations montrent quel serait le rendement de l'autorité. Elle enverrait 2 000 e-mails par jour au titre de la réponse graduée. Bien loin des premiers chiffres annoncés.A en croire le quotidien La Tribune, selon des « sources concordantes », seulement 2 000 courriers électroniques d'avertissement seraient envoyés par jour. Contactée à ce sujet, l'Hadopi ne nous a pas répondu ni sur la volumétrie ni sur l'existence d'un éventuel ciblage des internautes visées par les messages (personnes peu technophiles…).

Pourtant, Eric Walter, secrétaire général de l'Hadopi expliquait en juillet dernier que : « Le nombre total de saisines (constats avec preuve du téléchargement, ndr) provenant de la musique et du cinéma pourrait en effet potentiellement atteindre 125 000 par jour, et on peut imaginer une montée en charge ». Un tri est donc fait.

De son côté, le gouvernement avait fixé l'objectif d'envoyer 10 000 e-mails par jour. Un rythme de croisière que l'Hadopi n'a visiblement toujours pas atteint.
Bien qu'il ait à plusieurs reprises exprimé le souhait de se désengager de Meetic pour mieux se consacrer à ses activités d'investisseur, Marc Simoncini va devoir conserver les rênes du site de rencontres qu'il a fondé. Dans un communiqué, la société a en effet annoncé mardi que Marc Simoncini et Match Pegasus, ses deux principaux actionnaires, ont mis un terme au mandat confié à Messier Maris Partners en vue de la cession de leur participation au sein du groupe. Motif invoqué : aucune des offres reçues n'a été jugée capable de refléter « la valeur et le potentiel de Meetic ».

« Nous nous doutions que Meetic était trop gros pour être racheté par un acteur français, nous nous sommes aperçus que nous étions aussi peut-être trop gros pour être rachetés par un acteur européen », confie Marc Simoncini dans un entretien accordé au quotidien Les Echos.

Faute d'une proposition suffisamment ambitieuse, il poursuivra donc sa route à la présidence du groupe en charge des orientations stratégiques, l'opérationnel ayant déjà été délégué à Philippe Chainieux, et annonce un plan de développement sur trois ans qui devrait voir le développement de l'offre Meetic Affinity, l'arrivée du portail sous forme d'applications mobiles sur les principales plateformes du marché et, peut-être, une ou plusieurs opérations de croissance externe en Europe.

Meetic, qui début 2009 avait racheté les activités européennes de l'américain Match.com, a réalisé un chiffre d'affaires de 164,5 millions d'euros l'an dernier.
Myriad, un spécialiste des plateformes logicielles pour appareils nomades, vient de porter plainte contre Oracle devant une cour américaine. L'éditeur suisse reproche au Californien de lui facturer trop cher l'utilisation de Java dans ses solutions.Myriad attaque Oracle

Myriad est membre du Java Specification Participation Agreement et du Java Community Process, deux programmes mis sur pied par Sun Microsystems. Oracle n'a pas mis fin à ces programmes après avoir racheté Sun en début d'année. Pourtant, l'éditeur californien ne semble pas considérer qu'ils s'appliquent dans le cas de Myriad.

A l'origine, le JSPA et le JCP servaient à promouvoir l'utilisation des technologies Java par les développeurs tiers. Sun devait donc, selon les termes de l'accord JSPA, proposer aux membres du programme JCP ses technologies Java sans les faire payer ou à des prix très raisonnables. « En signant le JSPA, une entreprise rejoignait le JCP et partageait sa propriété intellectuelle avec les autres membres, et recevait des licences en retour, » explique la plainte de Myriad. « Ces licences étaient attribuées pour que tout le monde puisse développer de nouvelles spécifications en coopération avec les autres, et pour permettre le développement de logiciels conformes à ces spécifications. »

Une sorte d'accord donnant-donnant que ne respecterait pas Oracle, selon la plainte. L'éditeur aurait pratiqué des tarifs injustes, pas raisonnables, et discriminants. Myriad demande donc 120 millions de dollars, une somme qu'Oracle « a demandé à tort et reçu de Myriad et de ses clients. » Ces 120 millions de dollars doivent s'accompagner de dommages et intérêts, selon l'éditeur suisse.Oracle attaque Myriad

On se doute bien qu'Oracle ne compte pas se laisser faire. Là où l'éditeur fait fort, c'est qu'il a anticipé et déposé une plainte le même jour devant une cour de Californie. Ni Sun, ni Oracle « n'ont donné de façon inconditionnelle des droits sur leur propriété intellectuelle pour utiliser et implémenter la technologie Java sans restriction, » selon la plainte.

Pour Oracle, l'accord signé en 2002 entre Sun et Esmertec (l'ancien nom de Myriad) incluait le paiement de droits de propriété intellectuelle. D'autres contrats auraient été passés depuis, en 2003, 2006, et 2009, selon la plainte, qui estime qu'à aucun moment il n'a été question de politiques tarifaires particulièrement avantageuses.L'ombre de Google ?

Selon Oracle, il n'a jamais été question non plus d'implémentation librement réalisable des technologies Java. Cela invaliderait de fait les implémentations « indépendantes » faites par Myriad, qui, selon le Suisse, ne nécessitent pas le paiement de droits de propriété intellectuelle.

La plainte d'Oracle ajoute qu'en 2002, un accord appelé Master Support Agreement avait été signé entre Myriad et Sun. L'éditeur suisse avait ainsi accès à certains TCK de Java (Technology compatibility kit), mais aurait dû cesser de les utiliser dès le 29 juin dernier, l'accord n'ayant pas été reconduit. L'affaire est donc particulièrement complexe, et il reviendra à la justice de trancher.

Là où elle est intéressante, c'est qu'elle fait écho à une autre affaire. La dispute entre Oracle et Google autour de Dalvik, l'utilitaire de compatibilité des applications Java d'Android, n'est toujours pas close. D'autant que Scott Weingaertner, l'un des avocats de Myriad, représente également Google dans l'affaire qui l'oppose à Oracle...

Difficile de ne pas voir la connexion. Si Myriad obtenait gain de cause, Oracle pourrait être obligé de revoir à la baisse les droits qu'il demande sur Java. Ce qui ne mettrait certes pas fin au conflit entre Google et Oracle, mais pourrait avoir des répercussions.
le 15/12/2010 à 00:00
Yahoo supprimera bien 600 emplois
La rumeur circulait depuis quelques temps déjà et la société Yahoo! vient de confirmer de nouveaux licenciements juste avant les fêtes de fin d'année. Cette fois ce sont les équipes dédiées au développement des produits sous la direction de Blake Irving qui sont touchées par cette nouvelle vague.

« Les changements d'aujourd'hui font partie d'une stratégie globale pour assurer une meilleure croissance des revenus », explique un porte-parole de la firme de Sunnyvale. Au total, près de 600 employés sont donc amenés à quitter l'entreprise soit environ 4% de la masse salariale. En début de mois un responsable du service Yahoo! Groups expliquait que 22% de ses effectifs étaient amenés à partir.

Certains estiment qu'il s'agit-là d'un ultimatum implicitement lancé à la PDG du groupe par le conseil de direction. Si elle souhaite conserver sa place, Carol Bartz devra transformer ces départs en véritables profits pour la société au cours des douze prochains mois. Rappelons qu'en décembre 2008, le portail avait également procédé à une réduction de 10% de ses effectifs.
Il sera bientôt aussi simple d'acheter de l'espace publicitaire sur Twitter que sur Google AdWords. C'est en tous cas ce qu'a tenté de faire comprendre Twitter en dévoilant une nouvelle version de sa page web dédiée aux annonceurs. Dans le futur, un simple formulaire devrait permettre d'acheter un compte promotionnel, des messages mis en avant, ou une place dans les tendances.

Disponible sur la nouvelle page Start Advertising, le formulaire permet de prévoir des campagnes publicitaires immédiates ou programmées dans le futur. Cinq catégories de prix sont proposées, de 10 000 dollars à 100 000 dollars mensuels.

Pour l'heure, la page dédiée ne sert que de formulaire de contact. Dans le futur, elle devrait devenir une solution de souscription en self-service aux outils publicitaires de Twitter. Mais Twitter ne semble pas vouloir aller trop vite non plus, de peur peut-être de faire un faux pas qui donnerait raison à ceux qui craignent la montée du spam sur son service de micro-blogging.

Le nouveau site dédié aux entreprises ne serait ainsi qu'un premier pas, avec une volonté clairement didactique. On retrouve par exemple des catégories aussi étonnantes que « Qu'est-ce que Twitter ? », des « Pratiques d'Excellence », ou un glossaire... Preuve peut-être que tous les services publicité du monde ne sont peut-être pas au courant de la révolution Twitter ou de la façon de s'en servir. En attendant, pour Twitter, c'est un nouveau pas vers un modèle publicitaire qui se fait attendre.
La commission mixte paritaire, chargée lundi d'harmoniser les vues de l'Assemblée nationale et du Sénat autour du budget 2011 de l'Etat, a entériné le principe d'une taxe de 1% portant sur les investissements publicitaires en ligne. Issue de la mission Zelnik, cette proposition défendue par le rapporteur de la commission des Finances du Sénat, Philippe Marini (UMP), vise à compenser la domiciliation fiscale à l'étranger de certaines sociétés spécialisées dans la publicité en ligne, en taxant à la source les sommes qui leur sont confiées.

Parfois surnommée "taxe Google", elle devrait selon son instigateur permettre de faire rentrer de 10 à 20 millions d'euros dans les caisses de l'Etat français. La mesure doit entrer en vigueur le 1er janvier prochain. Lundi, une soixantaine d'entrepreneurs du Net signaient dans les colonnes du quotidien La Tribune un appel dénonçant les effets pervers de cette mesure, dont ils estiment qu'elle entraînera une perte de compétitivité des acteurs français du Web et une incitation à la délocalisation.

« Nous deviendrions le seul pays au monde à envisager de telles taxations et la compétitivité française, ces taxes ne pouvant s'appliquer qu'aux seuls acteurs établis sur notre territoire, s'en trouverait à terme fortement menacée », faisaient valoir courant novembre les professionnels français de la publicité en ligne.

Désormais validé par la CMP, le budget 2011 fera l'objet d'un nouveau vote solennel devant les deux chambres qui composent le Parlement mercredi, avant d'être définitivement adopté. Lundi, cette commission composée de sept sénateurs et de sept députés s'est également prononcée en faveur de l'arrêt total de la publicité sur le réseau France Télévisions au 1er janvier 2016.
Sur Internet, l'une des grandes tendances de cette année reste incontestablement la géo-localisation. La prise en charge des interfaces de programmation du W3C par les navigateurs a permis de populariser cette technologie. Par ailleurs, le marché croissant du smartphone associé à celui de la puce GPS a donné naissance à de nouveaux types d'applications dont Foursquare reste incontestablement l'un des pionniers.

Principalement utilisé à partir d'un smartphone, l'application Foursquare dresse une liste des lieux publics aux alentours et, grâce à une série de partenariats avec certains commerçants, permet au mobinaute qui accepte de partager sa position géographique, de bénéficier de certaines offres promotionnelles.

Lors du salon LeWeb'10 qui s'est tenu à Paris la semaine dernière nous avons rencontré Dennis Crowley, PDG de la start-up new-yorkaise qui revient sur ce nouveau marché.De combien d'utilisateurs disposez-vous ?Dennis Crowley : Je n'ai pas de chiffres pour l'Europe. Nous venons de dépasser les 5 millions de membres dans le monde. Environ 40% de ces derniers sont en dehors des Etats-Unis. Nous venons tout juste d'embaucher quelqu'un qui sera justement chargé d'analyser ces chiffres que nous partagerons prochainement.Foursquare n'est pas un service très développé en France. Selon vous quels sont les défis spécifiques pour déployer Foursquare en Europe ?D.C : Je pense qu'il s'agit principalement d'un problème de localisation. Notre service est en anglais et nos partenariats sont à New York ou aux Etats-Unis. Nous faisons des efforts pour développer ces derniers mais pour une petite société il n'est pas facile d'avoir une présence internationale avec trente ou quarante salariés. Ceci dit nous y travaillons.Facebook a récemment annoncé Facebook Places puis Facebook Deals. Est-ce une menace selon vous ?D.C : Facebook est très bon pour connecter les gens sur Internet. Cependant ce que nous tentons de faire est complètement différent. Nous développons des produits permettant de connecter les gens dans la vraie vie. Même si nous avons des "check-ins" et des "deals" la finalité du produit et la manière dont il est utilisé est différente. Donc nous ne sommes pas très inquiets à ce sujet, nous avons une feuille de route solide et des partenaires fantastiques.Avant que Facebook n'annonce Places, la société vous a-t-elle approchée ?D.C : Nous en sommes à un stade où nous discutons avec plusieurs sociétés pour d'éventuels partenariats. Mais je ne peux pas vous en dire plus.Avez-vous songé à d'autres fonctionnalités qui viendraient compléter votre service de géo-loalisation ? Je pense à Facebook ou Yelp qui proposent des atouts autres que le partage de la position géographique.D.C : Oui nous allons dévoiler beaucoup d'autres fonctionnalités mais il y a une différence entre apporter d'autres fonctions et changer la véritable nature du produit. La mission principale de Foursquare est d'aider les gens à naviguer le monde déconnecté. Cela inclut notamment la suggestion de certains itinéraires ou encore des astuces sur des lieux susceptibles de plaire à l'utilisateur.

L'une des raisons pour laquelle Foursquare fonctionne bien c'est justement parce que ces fonctionnalités ont été développées dès le début. Parfois certains services rajoutent d'autres couches au-dessus du coeur du produit mais souvent l'intégration n'est pas très bien réussie. Je vois cela tous les jours au sein des grandes sociétés.

Certaines entreprises sont très performantes pour faire une chose et soudain elles se mettent à faire trois nouvelles choses et ces dernières ne sont pas populaires.Lors du sommet ad:tech vous avez parlé du futur de Foursquare avec des recommandations de lieux publics ou un partage simplifié de sa position géographique. Ces nouveautés sont-elles en développement ?D.C : Nous avons plusieurs choses. Il y a probablement trois ou quatre produits qui sont actuellement en développement. Nous espérons en déployer la majorité au début de l'année prochaine et voir ce que ca donne.Vous avez récemment levé entre 20 et 30 millions de dollars. Qu'allez-vous faire de cet argent ?D.C : Nous allons investir dans des locaux pour accueillir les développeurs, embaucher de nouvelles personnes, couvrir les frais de voyage. Vous savez cela coûte beaucoup d'argent d'avoir une société. Cet argent devrait couvrir nos besoins jusqu'à la fin de l'année prochaine.Après une acquisition en 2005, Google a fermé Dodgeball, votre première start-up, en janvier 2009 . Si la société vous approchait aujourd'hui comment réagiriez-vous ?D.C : Mon rôle est de trouver ce qu'il y a de mieux pour Foursquare et pour assurer le développement des produits que nous souhaitons voir. Nous avons parlé à plusieurs personnes sur le sujet et j'ai cette expérience du passé. Il y a des jours où cela fait sens et d'autres jours où ce n'est pas le cas. On ne peut pas prédire ce que nous réserve l'avenir.

Je n'ai pas de parti pris sur la question, je veux juste m'assurer que nous irons de l'avant et que les choses seront développées. Et si cela implique que nous signons avec une grosse société alors pourquoi pas. Si au contraire cela signifie qu'il nous faut rester indépendants pour les cinq prochaines années alors c'est ce que nous ferons.Il y a eu Dodgeball puis Foursquare, pourquoi êtes-vous autant attiré par la téléphonie mobile ?D.C : Je ne me vois pas comme étant particulièrement focalisé sur le mobile mais plutôt sur le développement d'un produit que mes amis et moi pouvons utiliser lorsque nous ne sommes pas à la maison. Je n'aime pas développer des logiciels pour rester devant mon ordinateur. Je veux des produits qui rapprochent les gens et les encouragent à communiquer dans le monde réel. Et le mobile est la meilleure façon de réaliser cela. Si tout le monde utilisait une Nintendo DS alors nous aurions fait cela sur la console. Il se trouve que le téléphone portable est l'objet que les gens sont les plus susceptibles d'avoir sur eux.Je vous remercie
Le torchon brûle entre Apple et certains grands éditeurs japonais : ces derniers accusent la firme de Cupertino de violer les droits d'auteur en proposant des ouvrages piratés sur l'App store.

Parmi les auteurs lésés, on trouve Haruki Marakami et Keigo Higashino, dont certains ouvrages ont été numérisés et proposés illégalement à la vente sous la forme d'applications. "Nous n'avons pas d'autre choix que de considérer qu'il est illégal de la part d'Apple de distribuer des applications qui violent manifestement le droit d'auteur" a déclaré l'association des éditeurs japonais dans un communiqué. "Certains ouvrages ont été supprimés en réponse aux demandes des auteurs et des éditeurs, mais la majorité d'entres eux continuent à être distribués illégalement" ajoute également ce dernier.

Apple Japon n'a pas tardé à répondre aux accusations, en expliquant bien évidemment "comprendre parfaitement l'importance de la propriété intellectuelle" et avoir la volonté de "répondre rapidement aux plaintes concernant la violation du droit d'auteur". La firme a par ailleurs précisé qu'elle n'est pas en mesure de vérifier systématiquement si les applications proposées sur l'App Store enfreignent ou non le droit d'auteur, mais qu'elle supprime automatiquement tout programme signalé comme tel par les ayants droit. Une démarche insuffisante pour les éditeurs japonais, qui désirent se rapprocher d'Apple pour mettre en place une procédure plus fiable.
le 14/12/2010 à 00:00
Tester vos fichier uploads
Lorsque vous souhaitez réaliser un formulaire d'upload en PHP, différentes manières existent. Cependant une question peut se poser si le fichier uploader, est bien disponible sur le serveur.

Pour effectuer la vérification, vous pouvez accéder manuellement sur le serveur. Mais ce n'est pas vraiment une bonne manière car ce test de contrôle peut-être effectuer par l'intermédiaire des tests unitaires.

Le site Qafoo montre les différentes étapes à mettre en place pour effectuer le test avec des scripts exemples en PHP.

- Testing file uploads with PHP
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