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le 31/12/2010 à 00:00
Apple : bientôt le shopping social ?
Le magazine spécialisé AppleInsider a découvert un nouveau brevet déposé par Apple décrivant un système de recommendations personnalisées lorsqu'un mobinaute est sur le point de faire un achat. La firme explique en effet que le client moyen aime recevoir des conseils de ses amis ou d'un vendeur mais ces derniers ne sont pas toujours accessibles au moment de l'achat.

Le document décrit l'usage d'un appareil mobile (autrement dit un terminal sous iOS) permettant d'établir un contact avec ses relations lorsque nous faisons les courses. L'appareil serait en mesure de récupérer les informations relatives à un produit. Ces détails (images, description, prix...) pourraient ensuite être partagés au sein d'un réseau communautairs. Le mobinaute serait alors en mesure de récupérer les commentaires et impressions de ses amis.

Plus précisément, le mobinaute pourrait formuler une question ouverte (où trouver un produit équivalent moins cher ?) ou fermée (dois-je acheter cet objet ?) ou permettre aux autres de noter l'article via un système d'étoiles.

Reste à savoir si ce nouveau réseau verra le jour et si tel est le cas, s'il saura s'imposer face à Facebook et Twitter déjà largement utilisés pour ce type de besoins?
Un vendeur prénommé zieglerc a récemment mis en vente sur la plateforme d'enchères eBay un Macintosh Portable, un prototype d'ordinateur portable fabriqué par Apple qui vit le jour en 1989.

Si l'on en croit sa fiche Wikipedia, l'appareil embarque un processeur 68HC000 cadencé à 16MHz avec 1 Mo de mémoire vive extensible à 5Mo. La capacité maximale de stockage est de 4Mo. Le poids total de la machine est de 7,2 kg notamment à cause de la batterie au plomb-acide. Petite originalité : le trackpad est amovible et peut -être placé de chaque côté du clavier.

La machine en question est un produit de démonstration construite par la firme de Steve Jobs et n'a jamais été commercialisée. Le marchand précise que ce "portable" est livré avec une disquette de mise à jour du système ainsi qu'un document daté d'août 1990 attestant la remise de l'appareil à un employé d'Apple. Il ajoute cependant qu'une défaillance de la batterie empêche l'ordinateur de démarrer même lorsqu'il est branché sur secteur.

Le prix de départ est proposé à 1750 dollars. A l'heure actuelle aucune enchère n'a eu lieu.
Apple vient d'obtenir un nouveau brevet qui fait étrangement échos aux difficultés techniques de l'iPhone 4 à sa sortie. La nouvelle invention lui permet de mettre les antennes de ses appareils derrière le logo de la Pomme. Une façon d'éviter les dysfonctionnements liés au contact de la main, par exemple ?

Alors que tout le monde a oublié l'Antennagate - « l'affaire » de l'antenne d'Apple, qui perdait le réseau lorsque l'iPhone 4 était saisi avec la main gauche - et qu'Apple a corrigé le problème à coup de bumpers et de mises-à-jour logicielle, un brevet vient mettre un peu d'huile sur le feu qui réchauffe notre longue veille de Noël.

L'idée est assez simple : les ingénieurs d'Apple ont utilisé une cavité aux parois isolantes derrière le logo de la Pomme pour cacher l'antenne des appareils nomades. MacBook, iPhone ou iPad n'ont ainsi plus à subir l'interférente moiteur des mains d'utilisateurs. Ni Apple les foudres desdits utilisateurs, d'ailleurs.

Ce qui est amusant, c'est que le brevet a été déposé en juin 2009. Soit un an avant la sortie de l'iPhone 4. Le procédé décrit par le brevet est connu - l'antenne derrière le logo est notamment présente sur l'iPad, comme l'a montré le démontage d'iFixIt. Il ressemble d'ailleurs à un autre brevet, appartenant à Dell. Sauf que ce dernier utilise le logo comme antenne, et pas une cavité derrière.

Toutes les informations sur le brevet sont disponibles (en anglais) sur le site de Patently Apple.
L'éditeur américain Adobe vient d'annoncer avoir réalisé, sur le quatrième trimestre fiscal de son exercice 2010 clos au 3 décembre dernier, un chiffre d'affaires record de 1,008 milliard de dollars, en progression de 33% sur un an. Il lui permet de boucler son année fiscale avec 3,8 milliards de dollars de recettes, à comparer aux 2,946 milliards réalisés en 2009.

En normes GAAP, le trimestre a permis à Adobe de dégager un bénéfice net de 268,9 millions de dollars, contre une perte de 32 millions de dollars un an plus tôt. Sur le troisième trimestre 2010, le bénéfice s'établissait à 230,1 millions.

« Nous avons annoncé notre premier trimestre à un milliard de dollars et des revenus record en 2010, tirés par des performances exceptionnelles sur l'ensemble de nos activités principales », s'est félicité dans un communiqué Shantanu Narayen, PDG d'Adobe.

L'éditeur dit maintenant tabler pour le premier trimestre de son exercice 2011 sur un chiffre d'affaires compris entre 1 et 1,05 milliard de dollars.
Mise en ligne samedi, la première application iPhone non officielle dédiée au fameux Wikileaks n'aura pas fait long feu : selon son auteur, Apple a en effet procédé à son retrait de l'App Store dans la nuit de lundi à mardi.

Voilà qui ne manquera pas d'alimenter la controverse relative à la politique de modération pratiquée par Apple au niveau de son kiosque de téléchargement d'applications mobiles : une application non officielle dédiée au très médiatique Wikileaks a en effet été retirée de la vente mardi matin, sans qu'aucune explication n'ait pour l'instant été transmise à son auteur, un Russe du nom d'Igor Barinov.

Facturée 1,99 dollar sur la version française de l'App Store, l'application permettait de consulter dans un format adapté à l'écran des terminaux mobiles d'Apple une partie des "câbles" publiés par le site Wikileaks, ainsi que le compte Twitter alimenté par l'équipe de Julian Assange. Lors de sa mise en ligne, Igor Barinov avait promis qu'un dollar serait reversé à Wikileaks sur chaque vente réalisée. Las, mardi matin, le développeur annonce, capture d'écran à l'appui, que l'App Store n'autorise désormais plus le téléchargement de son application, achetée plus de 2800 fois depuis sa mise en ligne.

Apple, qui n'a pour l'instant pas commenté ce retrait, n'a jamais fait mystère de sa volonté de contrôler de près la nature des applications qui transitent par sa plateforme, comme en témoignent les nombreux retraits déjà constatés (client BitTorrent, applications sexy, etc.). Le caractère à la fois politique et hautement polémique des contenus publiés par Wikileaks semble ici avoir fini par susciter quelques craintes, quelles qu'en soient les motifs, alors que l'application avait franchi les étapes de contrôle préliminaire à la publication sur l'App Store.
L'offensive d'Apple en matière de publicité sur mobile, iAd, va sans doute connaitre un regain d'intérêt avec l'arrivée d'un outil dédié à la réalisation de réclames interactives. Baptisé iAd Producer, il se veut accessible aussi bien aux néophytes qu'aux développeurs confirmés.

Réservé aux détenteurs d'un abonnement développeur iOS, iAd Producer vient accompagné d'une série de composants qu'il suffira d'associer dans une interface simplifiée pour parvenir à réaliser sa ou ses pages de publicité, dans une logique de glisser déposer. Un simulateur permettra d'en tester immédiatement le rendu sur l'un des appareils mobiles compatibles, iPhone, iPod Touch ou iPad.

« iAd Producer gère automatiquement le HTML5, les CSS3 et le JavaScript qui sous tendent votre iAd pour la création de contenus magnifiques et animés aussi simplement qu'en pointer - cliquer », annonce fièrement la page de présentation du produit. Du côté des contenus justement, Apple encourage l'utilisation du format d'image SVG, ainsi que de la vidéo en H.264.

Derrière l'éditeur visuel et les nombreuses options d'animation ou de mise en forme proposées (carrousel, carte géographique, etc.), les développeurs confirmés auront la possibilité de travailler manuellement leur propre code et de tester celui-ci au travers d'outils dédiés, notamment pour tout ce qui concerne les interactions réalisées en JavaScript. On retrouve ici sans surprise le socle de Xcode, l'environnement de développement de Mac OS X. L'outil iAd Producer prend la forme d'une image .dmg de 30 Mo, proposée au téléchargement via le site développeurs d'Apple.Le coup d'envoi dont avait besoin iAd ?

Telle que présenté dans la documentation mise en ligne par Apple, iAd Producer vise à mettre au point des écrans publicitaires dignes de véritables applications mobiles, avec éventuellement plusieurs pages de contenus, un menu de navigation et de nombreux raffinements visuels. Un positionnement résolument haut de gamme, conforme aux aspirations revendiquées par Steve Jobs lors du lancement officiel de la régie iAd, qui pendant ses premiers mois d'existence n'a commercialisé que des réclames "premium", réalisées auprès d'un cercle restreint de partenaires et ne concernant que des clients de renom.

L'idée n'est donc pas ici simplement de concevoir la simple bannière chargée d'attirer l'oeil de l'internaute dans un coin de l'écran du smartphone, mais de prévoir un dispositif d'atterrissage intégré et, bien sûr, enrichi, de façon à favoriser l'engagement. Une proposition de valeur particulièrement séduisante, aussi bien du point de vue de l'annonceur que des agences chez qui le Mac règne bien souvent en maître, et qui doit permettre à Apple de fédérer de nouveaux clients sur le réseau de sa régie, composé d'éditeurs d'applications à qui la firme promet de reverser 60% des recettes générées par iAd. Reste à voir comment Apple gérera l'articulation entre l'ouverture du système iAd à des créations venues de toute part et l'image haut de gamme dont profite aujourd'hui le service.
Le torchon brûle entre Apple et certains grands éditeurs japonais : ces derniers accusent la firme de Cupertino de violer les droits d'auteur en proposant des ouvrages piratés sur l'App store.

Parmi les auteurs lésés, on trouve Haruki Marakami et Keigo Higashino, dont certains ouvrages ont été numérisés et proposés illégalement à la vente sous la forme d'applications. "Nous n'avons pas d'autre choix que de considérer qu'il est illégal de la part d'Apple de distribuer des applications qui violent manifestement le droit d'auteur" a déclaré l'association des éditeurs japonais dans un communiqué. "Certains ouvrages ont été supprimés en réponse aux demandes des auteurs et des éditeurs, mais la majorité d'entres eux continuent à être distribués illégalement" ajoute également ce dernier.

Apple Japon n'a pas tardé à répondre aux accusations, en expliquant bien évidemment "comprendre parfaitement l'importance de la propriété intellectuelle" et avoir la volonté de "répondre rapidement aux plaintes concernant la violation du droit d'auteur". La firme a par ailleurs précisé qu'elle n'est pas en mesure de vérifier systématiquement si les applications proposées sur l'App Store enfreignent ou non le droit d'auteur, mais qu'elle supprime automatiquement tout programme signalé comme tel par les ayants droit. Une démarche insuffisante pour les éditeurs japonais, qui désirent se rapprocher d'Apple pour mettre en place une procédure plus fiable.
On ne plaisante pas impunément avec l'image de Steve Jobs. La société M.I.C gadget vient de l'apprendre à ses dépends. Sur son site, elle explique qu'elle a reçu un e-mail d'Apple intimant d'arrêter la commercialisation d'une figurine à l'effigie du célèbre p-dg.La firme aurait donc sommé ses avocats d'agir auprès de ce vendeur chinois afin d'arrêter la vente du produit en cause. Motif invoqué : l'utilisation du nom d'une personne ou de son image constituerait une violation de la section 3344 du code civil de Californie.

Malgré le fait que la statuette n'est disponible que depuis quelques jours, la société M.I.C Gadget tient à s'excuser publiquement du tort qu'elle aurait pu causer à l'image de l'individu ou de la firme.

Elle conclut néanmoins par un trait d'humour en demandant, au passage, si Steve Jobs ne souhaitait pas leur accorder une licence d'exploitation… Pas de réponse. Qui sait, Apple prépare peut-être de nouvelles iFigurines.
Face à la grogne des opérateurs, Apple aurait finalement renoncé à son projet visant à intégrer une carte SIM à l'iPhone : une information communiquée par le Telegraph, qui souligne néanmoins que la firme de Cupertino n'abandonnerait cependant pas totalement l'idée.Le mois dernier, plusieurs sources, dont Les Echos, indiquaient qu'Apple travaillait avec la société française Gemalto pour intégrer une puce SIM à son terminal. Une carte scellée n'appartenant à aucun opérateur qui aurait permis au consommateur de s'affranchir du traditionnel forfait auprès de l'un d'eux puisqu'Apple se serait chargé de tout.

Une possibilité qui, on s'en doute, n'a pas été du goût desdits opérateurs : aux Etats-Unis, Vodafone et O2 ont menacé de ne plus subventionner l'iPhone, et en France, Orange a également protesté. Gageons que ce ne sont sans doute pas les seuls puisque la pression a été suffisamment forte pour qu'Apple fasse machine arrière. Une victoire dont se félicitent les opérateurs cités par le Telegraph.

Pour autant, Apple ne semble pas avoir pour projet d'abandonner la technologie conçue avec Gemalto : le quotidien britannique rapporte que l'entreprise de Steve Jobs aurait pour projet de sortir une version de l'iPad comportant une carte SIM intégrée, et ce d'ici à la fin de l'année. Une rumeur qui, si elle venait à être officialisée, ferait sans doute grincer les dents d'Orange qui vient tout juste d'annoncer la subvention prochaine de l'iPad, une première en France.
Ce weekend, plusieurs rumeurs pointèrent vers la sortie prochaine d'une déclinaison gratuite du bouquet de services hébergés d'Apple. En effet, le site spécialisé MacRumors rapporte qu'en analysant le code source de la prochaine version d'iOS, certains développeurs ont pu observer de nouvelles portions annotées.

Si l'on en croit la capture d'écran publiée, Apple s'apprêterait à proposer différentes déclinaisons de son service MobileMe dont une version gratuite. Cette initiative viserait à être plus compétitif face à Google qui déploie sur son système Android une connexion de type Exchange gratuite. Apple pourrait alors également proposer la synchronisation des contacts, des événements, des favoris ou des notes (l'accès à l'email resterait pour sa part réservé aux comptes payants). Notons par ailleurs, que HTC a récemment dévoilé un service similaire baptisé HTCSense.com pour ses smartphones Android. Aussi, avec ses Windows phone 7 Microsoft offre la connexion Exchange gratuitement pour les comptes Hotmail.

Pour rappel, MobileMe est aujourd'hui facturé à 79 euros et propose un webmail, un calendrier, un carnet d'adresses, un espace stockage en ligne sur iDisk, une galerie de photos / vidéos, le service d'accès à distance Back to my Mac ou encore Find my iPhone pour localiser un iPhone ou un iPad perdu ou volé grâce à la puce GPS.
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