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Décidemment cette semaine est celle des sondages consacrés à Hadopi et à l'usage des français en matière de téléchargement. Une troisième étude vient d'être rendue sur l'avis qu'ont les français de la loi Hadopi. Elle estime que près de la moitié des personnes interrogées doutent déjà de l'efficacité de la loi…Le sondage LH2-ZDNet.fr a été réalisé le vendredi 29 et samedi 30 octobre, auprès de 962 individus de plus de 18 ans. Ainsi 30 % des Français jugent cette loi « absurde » car « les pirates parviendront à la contourner ». S'ajoutent alors 17% des sondés qui précisent que la mise en application de la loi est « concrètement impossible ». L'aveu d'impuissance est donc manifeste.

Seulement 13% des sondés pensent qu'Hadopi aura au moins un effet psychologique sur le téléchargement illégal. Les personnes interrogées ont donc, dans l'ensemble, conscience de la réalité du téléchargement, des failles de la loi ou de certains manques en matière d'offre légale.

S'il fallait donc résumer l'ensemble des sondages publiés cette semaine, il est possible (difficilement car certains sondages sont totalement contradictoires) de dresser un « portrait robot » de l'internaute téléchargeur français. Ce dernier considèrerait la loi Hadopi comme inutile mais aurait tout de même peur de ses conséquences.

Par contre il ne voudrait pour rien au monde payer pour du contenu, même légal. Sous cet angle, le téléchargement illégal apparaît, pour ce français moyen, la solution la plus adaptée…
Si Google Chrome 9 est disponible au sein du canal de développement en version alpha et la version 7 vient de recevoir une mise à jour de sécurité, Chrome 8 vient pour sa part de passer en bêta. Après avoir intégré le plugin Flash directement au sein de l'application au mois de juin 2010, les développeurs ont renforcé leurs travaux pour y glisser cette fois un lecteur PDF.

Le chargement des documents PDF au sein de Google Chrome 8.0.552.28 est relativement rapide et l'internaute retrouvera quelques outils permettant de zoomer ou d'afficher le document en pleine page. L'équipe explique avoir ajouté une couche de sécurité autour du module Chrome PDF Viewer, ce qui devrait protéger l'utilisateur si ce dernier tente de charger un document vérolé.

Pour télécharger cette nouvelle bêta rendez-vous ici.
Le torchon brûlerait-il entre Google et Facebook ? Depuis hier, le réseau social ne peut plus utiliser les API de Gmail pour proposer à ses membres de chercher des correspondances dans leur liste de contacts, suite à une modification des conditions d'utilisation effectuée en catImini par Google.

Auparavant, Facebook proposait en effet à ses membres d'accéder à leurs contacts Gmail pour étoffer leur liste d'amis, en récupérant des informations, tels que le nom des personnes ou leur adresse email, et en les confrontant avec les profils présents sur le réseau social. Il suffisait ensuite aux utilisateurs d'envoyer des requêtes pour inviter leurs contacts à rejoindre leur réseau d'amis. Un procédé auquel Facebook n'a plus accès depuis hier pour une raison simple : le réseau social utilisait ce service sans offrir de réciprocité à Google.

"Lorsque nous autorisons un transfert automatique de contacts vers un autre service, il nous semble important que les utilisateurs aient la certitude que le nouveau service respecte les règles de base de la portabilité des données" a expliqué Google pour justifier la modification effectuée dans les conditions d'utilisation des API, qui ne sont désormais utilisables par des sites tiers que si ces derniers "autorisent en contrepartie l'exportation des mêmes informations de contacts de manière simple".

A mots couverts, Google reproche à Facebook de ne pas partager ses données tout en exploitant celles des autres. Ce n'est pas la première fois que la firme de Mountain View se montre désireuse de voir le réseau social ouvrir l'accès à ses données : lors d'un entretien donné en septembre au Wall Street Journal, son PDG Eric Schmidt avait déclaré "La meilleure chose qui pourrait se produire pour Facebook serait d'ouvrir l'accès ses données", avant d'ajouter "faute de quoi, il y a d'autres façons d'obtenir ces informations".

La seule solution pour Facebook de récupérer l'accès à la fonction qui lui est désormais interdite est donc de faire preuve d'ouverture et de réciprocité. Reste désormais à savoir si le "chantage" effectué par Google sera ici suffisant pour que le réseau social se montre plus généreux…
Mail.ru, le service russophone qui connait la plus grande audience mondiale, vient de réaliser son introduction en Bourse. Coté sur le London Stock Exchange, il a mis son cours d'introduction à 27,7 dollars par action, ce qui le valorise implicitement à 5,71 milliards de dollars.

Les services de Mail.ru se concentrent autour d'un webmail, de la messagerie instantanée ICQ (rachetée au printemps à AOL), et de sites de jeux. Le groupe a émis 32,93 millions d'actions sur le London Stock Exchange, levant ainsi 912,04 millions de dollars, selon le communiqué de Mail.ru. Les actions sont parties rapidement, et Mail.ru aurait même été débordé, le nombre de demandes ayant atteint jusqu'à 20 fois le stock disponible, selon deux personnes proches du dossier.

L'action a rapidement grimpé, puisqu'elle atteignait déjà 39 dollars dans les échanges informels, avant la cotation officielle. Une hausse de plus de 30%.

Mail.ru, qui détient 10% du capital de Facebook, ainsi que des participations dans Zynga et Groupon, veut investir plus dans le réseau social VKontakte. Il souhaite détenir 32,5% de ce Facebook russe, en investissant 112,5 millions de dollars pour racheter 7,5% du capital.

C'est la plus grande introduction en Bourse au Royaume-Uni depuis la levée d'un milliard par Vallar Plc, un fonds appartenant à Nathaniel Rotschild, en juillet dernier.
Mouna Roger, directrice France d'Acceleration - société spécialisée dans la consultance, la sous-traitance et la mise au point de solutions technologies liées à l'univers du marketing numérique, nous propose cette tribune libre dans laquelle elle invite de façon didactique les spécialistes de la communication en ligne à mesurer l'intérêt que revêt, au sein de cet univers, le développement de la tendance « cloud computing ».

Le cloud computing (le « cloud ») est le concept informatique à la mode, de plus en plus considéré par les entreprises comme une solution viable et économique susceptible de répondre à certains de leurs principaux besoins. Qu'il s'agisse de gestion documentaire, de sécurité ou de partage des connaissances, le cloud semble être la panacée.

Toutefois, un mot rarement associé au cloud est « marketing » et, en tant que marketeur, vous avez lieu de vous demander quelle est la pertinence de ce concept dans votre cas. En effet, qu'est-ce que l'infrastructure et l'architecture techniques ont à voir avec le marketing ?

Le marketing est l'un des derniers domaines fonctionnels, au sein des grandes entreprises, à adopter les nouvelles technologies et à en exploiter les avantages. Pourtant, dans le même temps, il subit une pression sans cesse croissante pour jouer un rôle plus stratégique dans le succès de l'entreprise : stimulation du chiffre d'affaires, réduction des coûts (« faire plus avec moins ») et traçabilité. L'heure est à l'automatisation du marketing et tandis que, traditionnellement, les services marketing consacraient moins de 1% de leur budget à la technologie, ce chiffre est aujourd'hui plus proche de 3% et augmente rapidement.

Tout cela nous ramène au cloud. Les solutions d'automatisation du marketing ne sont plus un simple agrément et, pour les entreprises désireuses de rester compétitives à l'avenir, elles sont devenues une nécessité.

En termes simples, le « cloud » n'est rien d'autre qu'un synonyme d'Internet. Il se compose en effet de services et d'applications hébergés et accessibles sur Internet. Toutes les infrastructures et ressources informatiques (logiciels applicatifs, données et serveurs) sont détenues et gérées par un tiers à distance et accessibles via un navigateur Web. Google Mail en est un bon exemple. Vous accédez à votre messagerie via votre navigateur. Les messages sont conservés « dans le cloud » et il n'est nécessaire de ne télécharger aucun logiciel.

Une variante est le modèle SaaS (Software as a Service), dans lequel un éditeur de logiciels fournit une application à ses clients sous la forme d'un service (par opposition à un produit), à la demande, via le cloud.

L'importance du SaaS pour les marketeurs

Bon nombre des nouveaux acteurs dans le domaine des logiciels de CRM et de l'automatisation du marketing opèrent selon le modèle SaaS. Ces solutions marketing permettent aux marketeurs de gérer plus efficacement leurs workflows, ressources, campagnes et fournisseurs. Tout cela via le modèle SaaS, idéal pour les quatre raisons que nous allons voir.

Vous n'êtes plus tributaire du plan annuel d'investissement pour étendre vos capacités en matière de technologies numériques. De même, vous n'êtes plus pieds et poings liés par la file d'attente de 18 mois des projets informatiques. Il vous est désormais possible d'automatiser et d'activer vos stratégies et vos tactiques en choisissant la plate-forme et les outils appropriés dans le cloud. Les applications sont fournies sur abonnement, ce qui permet aux entreprises de ne payer que pour ce dont elles ont besoin, l'absence de licence réduisant également les coûts initiaux. En outre, le prestataire SaaS se charge de la gestion de l'infrastructure, ce qui atténue la dépendance du marketing vis-à-vis d'un service informatique déjà surchargé et fait baisser le coût total de possession.

Rapidité de déploiement

La rapidité de déploiement des solutions SaaS peut se révéler extrêmement utile pour les marketeurs. Les délais se comptent en semaines, et non plus en mois voire en années à la différence des logiciels classiques. Productifs plus rapidement, les marketeurs enregistrent ainsi un retour sur investissement à court terme.

Les services informatiques traditionnels ont souvent beaucoup de peine à suivre le rythme effréné des marketeurs (et de leurs clients). Ils tendent à faire preuve de réticence lorsqu'il s'agit de passer des accords avec un « nouveau » fournisseur en raison des coûts supplémentaires en matériel, des questions de licences logicielles, etc. Les utilisateurs fonctionnels ont donc fort à faire pour convaincre la direction de l'intérêt de tout nouvel investissement. Et cela risque de prendre du temps. Or, s'il est une ressource qui fait plutôt défaut aux marketeurs, c'est bien le temps. C'est pourquoi le modèle SaaS leur offre un potentiel considérable.

Du fait de l'absence de logiciels à télécharger, de licences à négocier et d'infrastructure informatique à gérer, il est bien plus facile pour le marketeur de convaincre l'informatique de tester ce modèle souple, moins contraignant, plus économique et globalement moins risqué pour l'entreprise.

Mise à jour automatique

Toutes les mises à jour du logiciel sont gérées par le prestataire. L'installation des nouvelles versions et fonctionnalités étant centralisée, les utilisateurs des applications en mode SaaS ont toujours la certitude de bénéficier de la dernière version en date. Ils gagnent ainsi un temps précieux.

En résumé ? Aujourd'hui, il existe un outil SaaS pour chaque fonction critique nécessaire pour augmenter le chiffre d'affaires, fidéliser la clientèle, améliorer les taux de conversion et tester ou personnaliser chaque aspect de l'activité.
Le blog dédié au navigateur Chrome dévoile de nouvelles mises à jour. Le Patch de sécurité couvre 10 vulnérabilités sur toutes les plateformes. La firme considère que les failles relevées sont de niveau « haut », un degré moins dangereux que « critique ». En détail, la vulnérabilité permet à un esprit malveillant de modifier des données appartenant à d'autres sites Web.Encore une fois, Google reste plutôt discret quant à la teneur des vulnérabilités rencontrées sur son navigateur. Une ligne pour chaque faille. Par contre, la firme explique qu'elle va offrir 7 500 dollars aux développeurs ayant contribué à faire connaître ces vulnérabilités.

La mise à jour de Google Chrome va s'opérer automatiquement. Le navigateur est désormais proposé sous la version 7.0.517.44 pour Windows, Mac, Linux et Chrome Frame.
Les ingénieurs de la fondation Mozilla annoncent une seconde bêta pour leur navigateur Firefox à destination des smartphones Android et Maemo (Nokia N900). Au coeur du développement, l'équipe s'est principalement concentrée sur l'optimisation de l'application tout en la dotant d'une nouvelle interface utilisateur. Dévoilée le mois dernier, la première bêta proposait ses outils de synchronisation, un gestionnaire de mot de passe, la navigation des pages par onglets ou encore le support des extensions.

Cette fois la taille du fichier d'installation a été réduite de 60% en passant de 43 Mo à 17 Mo. Par ailleurs, le moteur d'exécution JavaScript serait 25% plus véloce avec un chargement des pages 40% plus rapide qu'au travers de la bêta 1. L'optimisation passe également par une meilleure gestion de la mémoire vive et du cycle de la batterie.

Côté graphique un nouveau thème fait son apparition avec une ergonomie revisitée pour la lecture de vidéo sur un écran tactile et un rendu des textes plus clair. Outre une amélioration du multipoint et du zoom, notons l'implementation d'un système de notifications et la possibilité de ré-ouvrir un onglet fermé par erreur. Aussi, sur les téléphones sous Android, Firefox prend désormais en charge la géo-localisation. Notons au passage que pour ces derniers, il est conseillé de désinstaller la version précédente. Dans le cas contraire, les fichiers obsolètes et non utilisés par cette nouvelle mouture ne seront pas effacés.
« Internet ça paye pas. Ça eut payé, mais ça paye plus ». Voilà ce qu'aurait pu dire l'inénarrable Fernand Raynaud. C'est en tout cas la conclusion d'un sondage mené par BVA et Orange pour le Forum d'Avignon (un rendez-vous dédié à l'Economie des médias).Réalisé sur 1 117 personnes âgées de 15 ans et plus, le sondage dévoilé par Les Echos montre que 44% des internautes français interrogés ne souhaitent pas payer pour télécharger du contenu culturel. Quatre Français sur dix ne seraient donc pas prêts à débourser un centime pour «  un contenu culturel sur Internet ».

La question du budget entrerait en ligne de compte, tout comme la part allouée à la Culture. Par contre, le sondage explique que seul un tiers des ménages se dit totalement réfractaire au paiement. Cet argument pourrait notamment être utilisé par le ministère de la Culture qui a lancé la semaine dernière la carte musique. L'Etat a alors engagé un budget de 25 millions d'euros sur deux ans…

Reste donc à savoir qui doit payer pour la rémunération des filières de création de contenus. Là aussi, 60% des personnes interrogées estiment que l'Etat doit remplir ce rôle de débiteur de la Culture. Enfin, certains émettent l'idée que les entreprises doivent également mettre la main à la poche. Histoire que tout le monde « paie » pour Internet.
Alors qu'il s'apprête à accueillir une nouvelle maquette et ligne directrice, le réseau social MySpace se retrouve sous le joug d'un ultimatum lancé par sa maison mère, News Corp. Le groupe de médias du magnat de la presse Rupert Murdoch voit en effet d'un mauvais il le manque de rentabilité du site, racheté au prix fort 580 millions de dollars en 2005.

"Nous voulons voir le chiffre d'affaires aller dans la bonne direction, sur un chemin clairement tracé allant vers la rentabilité" a expliqué aux analystes Chase Carey, le directeur d'exploitation de News Corp. Très largement dépassé en termes de visites et d'inscrits par Facebook, MySpace peine aujourd'hui à attirer les annonceurs, une situation qui entraine une baisse de ses revenus publicitaires. "Les pertes actuelles ne sont ni acceptables, ni viables" a-t-il indiqué, avant d'ajouter que les chiffres du trafic n'allaient pas "dans la bonne direction" et qu'il fallait les "stabiliser".

Pour ce faire, Chase Carey compte grandement sur la nouvelle version du site, destinée à la "génération Y" des moins de 35 ans et orientée plus largement qu'avant sur la culture et le divertissement. Un changement de cap qui conservera les connexions avec les autres réseaux sociaux comme Facebook et MySpace, implémentées ces derniers mois.

Un remaniement qui sonne comme une dernière chance pour MySpace, devenu visiblement encombrant pour News Corp. "Nous jugeons en trimestre, pas en années" a souligné Chase Carey : une petite phrase qui pourrait signifier que le sort du réseau social pourrait être scellé courant 2011.

Pour autant, le groupe News Corp ne se porte pas mal, et a enregistré une hausse de ses bénéfices de 36% durant le premier trimestre de son exercice décalé, représentant 775 millions de dollars. La firme tire son épingle du jeu grâce son "activité mondiale de télévision par câble" a déclaré Rupert Murdoch.

Sur Internet, les choses sont par contre un peu plus compliquées puisque, outre le problème MySpace, les sites d'infos "à péage" du groupe trouvent difficilement leur public : les sites du Times et du Sunday Times ont en effet vu leur audience chuter sévèrement, passant de plus de 3 millions de connexions mensuelles à l'époque du gratuit à 105 000 accès payants en 4 mois. Une situation qui n'inquiète cependant pas Chase Carey qui estime qu'un tel modèle doit "se construire au fil des ans".
Le réseau communautaire Facebook accueille toujours plus de mobinautes et annonce avoir passé le cap symbolique des 200 millions d'utilisateurs mobiles. Au mois d'avril dernier la société de Mark Zuckerberg enregistrait 100 millions de membres consultant le site depuis un téléphone portable ; un chiffre qui est ensuite passé à 150 millions au mois de juillet.

En pleine croissance du marché du smartphone, les sites mobiles de Facebook sont optimisés aussi bien sur l'iPhone, les BlackBerry, Windows Phone ou encore Symbian. Dans ce contexte, la société a annoncé une nouvelle stratégie visant précisément à densifier davantage son trafic à partir des smartphones.

Les terminaux équipés du système Android recevront une mise à jour de l'application embarquant deux nouvelles fonctionnalités: Places et Groups. La première tire partie de la puce GPS et permet aux utilisateurs de spécifier depuis leur téléphone l'endroit où ils se trouvent sur leur "mur". La version 1.4 de l'application donnera également accès aux nouveaux groupes simplifiant le partage entre les membres du réseau. Sur l'iPhone, Facebook Mobile, qui embarque déjà Places, passera pour sa part en version 3.3 et intégrera aussi ces nouveaux groupes ainsi que la possibilité d'ajouter l'un de ses contacts à une liste de favoris.

Cependant la véritable annonce qui a été formulée hier soir concerne Deals ("Promotions" en français), une fonctionnalité pour l'heure réservée aux Etats-Unis et à l'iPhone et qui s'inspire un peu plus de Foursquare. La société a en effet négocié une série de partenariats avec différents commerçants. Ainsi, via la fonctionnalité Places, le mobinaute sera en mesure de localiser les commerces (restaurants, cafés, prêt-à-porter, salles de sport...) aux alentours et de repérer ceux avec lesquels Facebook a signé un accord. Il suffira alors de se rendre sur les lieux puis de partager sa position sur son profil utilisateur pour bénéficier de cette offre spéciale.

Au mois de mai Facebook avait déjà tenté l'expérience avec la chaine de fast-food McDonald's. Pour Deals, Facebook a négocié des accords avec les enseignes Starbucks, Macy's, JCPenney, Gap ou encore H&M. Etant donné la popularité de Facebook et le nombre croissant d'utilisateurs mobiles, l'on imagine que les autres commerçants souhaiteront être de la partie.

Toujours dans l'optique de densifier le trafic sur son réseau, Facebook annonce qu'il est désormais plus simple de s'identifier sur les applications embarquant ses interfaces de programmation. En effet, si l'internaute s'est déjà connecté au travers de Facebook Mobile sur son téléphone, il n'aura plus besoin d'entrer ses identifiants pour s'authentifier sur une application tierce. Cette nouveauté fonctionne déjà sur Yelp, Groupon ou encore Zynga Poker. Il faudra cependant posséder un smartphone compatible : Android ou iOS4 (gestion du multi-tâche).

Enfin concernant la rumeur relayée par le blog américain Techcrunch autour d'un potentiel téléphone ou d'un système mobile fabriqué par Facebook, le PDG de la firme a nié en bloc. « D'une part, nous ne fabriquons pas de matériel » déclare Mark Zuckerberg, " et d'autre part, notre but n'est pas de commercialiser des choses physiques mais bien de faire en sorte que tout puisse être social ».
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