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C'est désormais officiel : Google Me, que la rumeur considérait depuis déjà quelques mois comme un concurrent de Facebook lancé prochainement par la firme de Moutain View, n'existera pas. Un représentant de l'entreprise à en effet profité du Media Forum de Monaco pour tordre le cou aux bruits de couloir.

"Nous ne travaillons pas sur une plate-forme de réseau social qui va juste être une autre plate-forme de réseau social" a commenté Hugo Barra, en charge du développement de produits mobiles chez Google. "Nous pensons que le social est un ingrédient nécessaire à la réussite de n'importe quelle application à venir, les deux meilleurs exemples que je peux citer à ce titre sont la recherche et la publicité. C'est ainsi que nous voyons les choses" a-t-il ajouté.

Des propos qui rejoignent ceux tenus par Eric Schmidt, PDG de Google, en septembre : ce dernier avait déclaré que l'entreprise travaillait actuellement à intégrer des "couches" sociales à ses services et applications. Des explications qui n'avaient cependant pas fait taire les rumeurs concernant un éventuel réseau social.

Malgré les relations houleuses qu'entretiennent actuellement Facebook et Google, l'entreprise ne semble donc pas avoir pour projet de mener une guerre ouverte sur le terrain occupé par son frère ennemi. Google et les réseaux sociaux, une expérience qui restera visiblement limitée à Orkut, qui perd chaque jour un peu plus d'adeptes à l'avantage du site de Mark Zuckerberg.
Ping, le réseau social musical intégré à iTunes et révélé lors de la dernière Keynote d'Apple vient de s'enrichir d'une connectivité avec Twitter.

Une fois les compte Ping et Twitter liés, "lorsque vous Postez, Aimez, Critiquez ou donnez à vos amis les raisons d'un achat sur Ping, cette activité sera aussi tweetée à vos abonnés sur Twitter avec des extraits de chansons et des liens pour acheter ou télécharger la musique sur iTunes." explique le blog de Twitter. Une façon pour l'utilisateur des services d'informer sa communauté de ses goûts musicaux, et un moyen, pour iTunes, de diffuser des liens commerciaux vers les titres commentés. Il est également possible de découvrir si parmi ses contacts Twitter se cachent des adeptes de Ping.

Une nouvelle fonctionnalité qui pourrait être prochainement complétée par un service de raccourcissement d'URL, à en croire la découverte faite hier par un lecteur de MacRumors : ce dernier a découvert que le domaine itun.es avait été acheté par Apple il y a déjà un certain temps décembre 2006 pour être précis. La nouvelle connectivité d'iTunes avec Twitter par l'intermédiaire de Ping pourrait se révéler être l'occasion d'inaugurer ce nouveau domaine, les URL shortener étant particulièrement répandus dans le monde de Twitter. Une rumeur de plus concernant Apple, en somme.
Le vote du projet de loi de Finances est toujours l'occasion de prendre de grandes orientations concernant la politique fiscale du pays. Cette fois, la Commission des Finances du Sénat a fait le choix de voter en faveur d'une taxe Google. Explications.Depuis plusieurs mois, le Sénat et une partie de la majorité présidentielle souhaitaient que les entreprises qui échappent à la fiscalité française puissent être soumises à l'impôt. Les cas de Google, Apple, eBay et Amazon sont alors clairement évoqués comme étant des exemples de firmes installés au Luxembourg ou en Irlande et qui profitent ainsi de la fiscalité avantageuse de ces Etats.

Le problème soulevé est que ces firmes ont tout de même une activité en France et en dégagent un chiffre d'affaire. Ces revenus ne sont alors soumis à aucune taxation et « sortent » du système fiscal français.

La Commission des Finances du Sénat a donc voté dans le cadre de la loi de finances pour 2011, comme le souligne le quotidien La Tribune, une taxe de 1% sur les « espaces publicitaires réalisés par les annonceurs sur les moteurs de recherche ». L'Etat compte ainsi apporter entre 10 et 20 millions d'euros par an dans ses caisses.

Communément baptisée « Taxe Google », la mesure vise donc à faire contribuer ceux qui ne jouent pas le jeu de la fiscalité française. Début février, Philippe Marini (UMP), rapporteur général de la Commission des finances estimait que le marché concerné représentait 2,1 milliards d'euros. Une manne qui pourrait grossir depuis que Google a décidé de modifier sa politique AdWords en incluant la vente de mots-clés.

Enfin, le Sénat a également adopté une mesure visant à instaurer une taxe de 0,5% sur les achats de services de commerce électronique. La disposition vise ici clairement les sites d'E-commerce comme Amazon ou eBay… Si la ligne directrice semble être décidée, l'ensemble des amendements votés doivent encore repasser devant le Sénat puis devant l'Assemblée nationale.
Si Google fait des pieds et des mains pour assurer qu'il ne travaille pas à un concurrent de Facebook, ce dernier ne se prive pas pour attaquer Gmail, le client de messagerie web de Google, de front. Avec son projet Titan, le réseau social se réfère en effet en interne - et officieusement - à un « Gmail killer ». Il devrait être annoncé lundi à l'occasion d'une conférence Facebook.

En clair, il s'agit ni plus ni moins d'un client email en ligne. Selon des informations recueillies par plusieurs sites américains, il devrait arriver lundi, en même temps que des adresses email @facebook.com.

C'est relativement logique, le système de messagerie de Facebook étant déjà largement utilisé pour les communications par ses utilisateurs, à la place de l'email. Et Facebook a d'ores et déjà fait la promotion d'un évènement dédié à ce système de communication.

Facebook aurait donc développé un client email en ligne complet, avec prise en charge du protocole POP et une gestion avancée des contacts... Ce qui expliquerait probablement la récente bataille sur les interopérabilités dans la prise en charge des contacts entre Facebook et Google.
La conférence web sémantique est un rendez-vous qui se déroulera le 17 et 18 janvier 2010 à Paris avec le but de montrer et d'appréhender le web sémantique.

Aujourd'hui, le programme de l'évènement vient d'être dévoilé. Il comprend de nombreuses conférences assez variés et aussi l'ouverture des pré-inscriptions pour vous permettre de bénéficier des tarifs préférentiels

Un communiqué a été publié pour connaître tous les détails de l'évènement.

- SemWeb.Pro dévoile le programme de sa 1ère édition
le 11/11/2010 à 00:00
Introduction à HTTP et REST
Lorsque vous souhaitez organiser les interactions entre les systèmes indépendants, différentes manières sont possibles entre autre l'utilisation de la méthode REST. Cette méthode permet de communiquer différemment avec d'autres sites webs ou des services, comme les API de Twitter.

Le site Nettuts+ a publié un article d'introduction autour de l'HTTP et REST, destiné pour les débutants ou les personnes n'ayant jamais utilisées cette méthode. Celle-ci peut être utiliser avec votre langage de développement PHP.

L'article va vous montrer par l'intermédiaire d'exemples son utilisation, et se présente de la façon suivante :
- Pourquoi Rest
- HTTP
- Debugage HTTP
- URLs
- La syntaxe HTTP (GET, PUT, Delete, POST,
- Classification de la Méthode HTTP
- Représentations
- Librairie client
- Exemple d'application
- Les codes réponses

- A Beginner s Introduction to HTTP and REST
le 11/11/2010 à 00:00
Apple publie Mac OS X 10.6.5
Attendue depuis quelque temps déjà, la mise à jour 10.6.5 de Mac OS X vient d'être mise en ligne par Apple. Cette version mise à jour de Snow Leopard apporte des corrections de bugs mais aussi une amélioration de la stabilité et de la compatibilité du système. On retrouve également des correctifs de sécurité. Disponible au téléchargement via le module "Mise à jour de logiciels" de Mac OS X, cette mouture de Mac OS X apporte notamment les changements suivants selon Apple :

- améliore la fiabilité avec les serveurs Exchange de Microsoft
- améliore les performances lors de certaines opérations de traitement d'image avec iPhoto et Aperture
- corrige la stabilité et améliore les performances des applications graphiques et des jeux
- revient sur un problème de délai entre les tâches d'impression
- corrige un problème avec certaines imprimantes HP connectées à une borne d'accès AirPort Extreme
- corrige un problème lorsque des contacts du carnet d'adresses sont glissés vers iCal
- corrige un problème empêchant le masquage automatique du Dock lorsqu'on fait glisser un élément de la pile
- corrige un problème d'affichage dans le dictionnaire des informations provenant de Wikipedia
- améliore les performances de MainStage sur certains Mac
- corrige les problèmes d'espacement des polices OpenType
- améliore la fiabilité de certains écrans braille Bluetooth
- corrige un problème de VoiceOver se produisant avec certains sites web sous Safari 5

Le téléchargement de cette mise à jour (un peu plus de 600 Mo tout de même pour la version proposée par l'outil mise à jour) peut également s'opérer depuis le site d'Apple en suivant ce lien.
Fabien PotencierCréé en 1998, la firme française Sensio édite le framework PHP Symfony et se place donc face à Zend ou CakePHP. Société de services, Sensio déploie sa solution auprès de grands comptes et de jeunes pousses parmi lesquels nous retrouvons EDF, Yahoo, Lagardère Active, LaBanque Postale, Peugeot ou encore Orange.

A l'occasion du Forum PHP organisé par l'Afup (Association française des utilisateurs de PHP) et qui s'est déroulé cette semaine à Paris, Fabien Potencier, co-fondateur de la société, a accepté de revenir sur son parcours en nous présentant la prochaine version de Symfony.Comment êtes-vous tombé dans le PHP et pourquoi s'être focalisé sur ce langage ?Fabien Potencier : En fait j'ai commencé avec le Perl. Je dirais même que j'ai plus d'expériences avec le Perl. Je suis quelqu'un de pragmatique. Je suis développeur par passion et non par métier. Je suis un auto-entrepreneur. On a fait du PHP dès l'année 2000. A l'époque il y avait une grosse vague de PHP4. Au début on refusait de suivre le mouvement et au fil des années le PHP est devenu de plus en plus important.

Puis il y a eu PHP5 qui a apporté beaucoup d'améliorations notamment avec l'orientation objet. Nous percevions un gros potentiel et j'ai donc créé Symfony qui est mon premier projet PHP. Au début nous l'avions développé pour nos propres clients avec un premier prototype en 2004. Puis en avril 2005 nous l'avons publié en open source.Aujourd'hui, quelle est la part de marché de Symfony sur le secteur des frameworks ?FP : Pour la part de marché c'est difficile à déterminer mais ce que je peux vous dire c'est que Symfony est très fort en Europe. Je ne crois pas me tromper en disant que nous sommes très largement leader en France et enregistrons aussi la plus forte croissance. Par ailleurs j'ai vu plusieurs offres d'emplois qui recherchent spécifiquement des compétences PHP + Symfony. Sur les 9 premiers mois de l'année 2010 nous avons enregistré 1 million de visiteurs en France, ca me paraît énorme.Quels sont les avantages d'une société à choisir Symfony plutôt qu'un autre framework tel que Zend ?FP : Bien tout d'abord il faut savoir que des frameworks ciblant les entreprises il n'y en a pas cinquante. Et je ne pense pas qu'il soit raisonable de regarder autre part que Zend ou Symfony parce qu'ils ont tous les atouts avec une large base d'utilisateurs à travers le monde.Justement, cela ne porte-t-il pas préjudice à Symfony d'être internationalisé ? Les entreprises ne souhaitent-elles pas avoir une documentation purement française et approfondie ?FP : Un framework franco-français n'aura pas la même maturité. Aussi l'entreprise doit regarder autour de l'écosystème. Nous sommes dans un métier qui est anglophone. Qu'il le veuille ou non le développeur devra apprendre l'anglais. Cela ne peut pas être un critère de choix.

Un framework franco-français signife une communauté relativement restreinte. Il faut atteindre une masse critique pour que le projet soit finalement auto-alimenté.Quel est le modèle économique de Sensio ?FP : Sur le marché, tous les frameworks sont gratuits donc il faut obligatoirement avoir un business model de services. Et d'ailleurs cela tombe bien puisque Sensio propose déjà du service. Nous faisons beaucoup de formations. Cela fonctionne plutôt bien en France puisque ces dernières sont payées par l'Etat.

Nous avons également une partie conseil, nous vendons notre expertise en prônant les bonnes pratiques tant au niveau technique que pour la gestion de projets. En sommes nous apportons notre savoir-faire au client.

Nous avons également un programme Guru. Ces derniers sont au-dessus des experts. Ce sont des acteurs de l'open source. Ils résolvent des problèmes complexes, notamment au niveau de l'architecture logicielle. Ils interviennent aussi bien au niveau des grands comptes que des startups. Ils trouvent une solution à un problème que personne n'a su résoudre jusque là.Ces services s'articulent-ils strictement autour de Symfony ?FP : Non autour de Symfony ou du PHP en général. Par exemple nous avons travaillé avec Evian pour le site e-commerce MyEvian qui propose d'acheter des bouteilles personnalisées. Nous avons fait ce site avec Magento.

Pour revenir sur nos services, nous proposons aussi des audits de sécurité, encore une fois, sur l'implementation du PHP en général ainsi que des audits de bonne pratiques. Nous essayons de déterminer ce que peut apporter un framework par rapport à une solution développée en interne. Par ailleurs en tant que développeur, cela ne m'intéresse pas d'être formé à un framework personnalisé que je ne pourrais jamais réutiliser après.Pourriez-vous revenir sur les nouveautés du prochain Symfony 2.0 ?FP : Il s'agit d'une ré-écriture totale. Nous avons recueilli des feedbacks sur les premières versions. Il n'était pas possible de le faire évoluer donc la version 2.0 marquera une rupture.N'est-ce pas dangereux de ne pas assurer de compatibilité ?FP : Non, nous ne le faisons que tous les cinq ans. Et vous savez le web lui-même est marqué de ruptures technologiques. Prenez Drupal, à chaque fois ils cassent la compatibilité. Et ils sortent une nouvelle version à peu près tous les ans et là nous en sommes à la septième version…

Aussi nous proposons des versions LTS (NDLR : à support étendu). Nous sommes le seul à le faire et pourtant c'est fondamental en entreprise. Nous offrons un support de 5 ans.

Symfony 2.0 a été repensé pour être très performant. Il est 2 à 3 fois plus rapide que Zend Framework 1. Il est aussi facile d'accès pour les débutants tout en étant flexible pour les professionnels. Il s'agissait-là d'un gros challenge. J'attache beaucoup d'importance à l'expérience utilisateur. On peut utiliser Symfony 2.0 aussi bien pour un blog qu'au sein d'une grande société.

La flexibilité se traduit notamment par l'injection de dépendances, nous nous appuyons sur des bibliothèques existantes, le tout au sein d'une expérience unifiée. Nous respectons les standards, notamment pour la gestion du cache. Là aussi nous sommes le seul à le faire. Cela permet des montées en charge hallucinantes pour les sites à fort trafic.Nous entendons beaucoup parler de JavaScript basé sur le serveur tel que node.js, pensez-vous qu'un jour cela puisse être comparable au PHP ?FP : Cela peut l'être, mais vous savez, l'idée n'est pas neuve. Netscape faisait déjà cela il y a dix ans. C'est effectivement revenu au goût du jour avec Node.js. Je pense que cela peut avoir un intérêt pour des besoins précis. Mais tout faire en JavaScript serait suicidaire. Je pense que cela pourrait être intéressant en complément des technologies d'aujourd'hui. C'est comme le NoSQL, cela ne règle pas tous les problèmes.Si l'on en croit la base de données des vulnérabilités érigée par le gouvernement américain, 30% des failles de logiciels seraient dues à des applications PHP. Pensez-vous qu'il y ait un problème dans l'apprentissage du langage et des bonnes pratiques ?FP : Je vais vous donner un autre chiffre : un tiers des sites Internet sont en PHP. C'est à cause de gens qui n'utilisent notre framwork ! Par défaut nous protégeons les sites contre les attaques XSS, CRSF ou les injections SQL.

Ce sont les développeurs qui introduisent ces vulnérabilités. N'importe qui peut faire du PHP. C'est donc bien un problème de bonnes pratiques.Je vous remercie.
La firme propose pour certains de ses services un mode de chiffrement de type SSL. Hotmail, SkyDrive (hébergement), mais également les Photos, Docs et Devices bénéficieront d'une connexion https.Sur le blog Windows, Dick Craddock responsable pour Hotmail explique « toute la session Hotmail sera sécurisée grâce à un chiffrement https via le SSL ou secure socket layer. Cela devrait pouvoir protéger votre compte des éventuels hackers ». Cette sécurité existait déjà pour l'identification des sessions de la messagerie. Cette fois, la possibilité est étendue à toute la session.

De même, les services SkyDrive, Photos, Docs et Devices utilisent automatiquement le chiffrement SSL lors d'un transfert de données. Concernant Hotmail, il suffit que chaque utilisateur se rende sur cette adresse et coche la case qui active le chiffrement pour en être doté.

Par contre, Microsoft explique que ce type de connexion ne fonctionne pas encore avec certains services comme Outlook Hotmail Connector, Windows Live Mail et l'application mobile Windows Live pour Windows Mobile (jusqu'à la version 6.5) et Symbian. Sur ce point, des améliorations devraient être prochainement apportées.
le 10/11/2010 à 00:00
PhpScenario
PhpScenario est une nouveau projet gratuite pour aider les développeurs et les développeuses. Il s'agit d'une bibliothèque de test pour PHP.

Il a été conçu pour effectuer des tests précis autour de votre code et plus exactement sous la forme de test A / B.

Une documentation en ligne est proposée pour vous permettre de mettre cette bibliothèque en place. Celle-ci affiche l'ensemble des fonctionnalités disponibles.

- PhpScenario site officiel
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