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le 16/11/2010 à 00:00
Yahoo! lance son nouveau calendrier
Plus de deux ans après le lancement de la bêta, le service Yahoo! Calendar, proposant un agenda hébergé, est finalement disponible en version finale et devrait prochainement retrouver sa place au sein de Yahoo! Mail.

Basé sur les standards iCalendar et CalDav, Yahoo! Calendar promet une interopérabilité avec les calendriers publics d'Apple, de Microsoft, d'AOL, de Mozilla et de Google. L'usage des dernières technologies Internet comme le DOM et l'Ajax permet le glisser-déposer des événements. Aussi, chaque interaction est directement prise en compte et ne nécessite aucun rafraichissement de la page.

Le support du protocole CalDav permettra de synchroniser les événements par Internet avec les smartphones compatibles (typiquement l'iPhone) ainsi que les applications de type Apple iCal ou Mozilla Sunbird (ou son extension Lightning). Avec la prise en charge du format iCal l'internaute pourra s'inscrire à un calendrier externe et partager plus facilement le flux de son agenda.

Outre une optimisation du chargement, l'équipe de développement a également revu l'ergonomie avec un meilleur affichage à l'écran. Reste tout de même que le service n'est toujours pas disponible en français.
Au mois de juin nous vous présentions la société Sencha qui édite un environnement de production à destination des smartphones tactiles. Depuis hier, les outils de Sencha Touch sont désormais disponibles gratuitement en version 1.0.

iPhone, Android, Blackberry ou WebOS, les terminaux d'aujourd'hui font presque tous usage du moteur de rendu WebKit pour leur navigateur mobile. Aux Etats-Unis, WebKit représenterait 93% du trafic Internet mobile. Pour les éditeur cela simplifie donc le déploiement des applications. Sencha Touch propose alors une bibliothèque permettant de développer un seul projet pour le mettre à disposition de plusieurs mobinautes. La tape, la double-tape, le glisser ou encore le zoom, plusieurs actions du multipoint sont prises en charge. HTML5, CSS3 ou JavaScript, les développeurs pourront faire usage des dernières technologies du web en jonglant avec différentes interfaces de programmation qu'il s'agisse de la géo-localisation ou de la mise en cache.

Notons par ailleurs qu'une application sera automatiquement ajustée à la résolution de l'écran du terminal. Ce kit a été téléchargé 160 000 fois lors de la phase d'évaluation et plusieurs sociétés en font déjà usage dont la plateforme vidéo Vimeo. Une démonstration des possibilités de développement est disponible ici. Pour de plus amples informations, c'est par là.
C'est avec la discrétion d'un sous marin jaune que les Beatles ont fait leur entrée sur iTunes cet après-midi : la rumeur courait en effet depuis ce matin, après la publication d'un article sur le site du Wall Street Journal concernant l'arrivée des 4 garçons dans le vent sur la plateforme musicale d'Apple.

Il s'agit donc là de l' "annonce exceptionnelle" teasée par la marque à la pomme hier : iTunes propose dès maintenant à l'achat les 13 albums principaux des Beatles ainsi que les Past Master, au prix unitaire de 12,99 euros ou 149 euros pour le tout.

Une annonce qui a de quoi laisser sur leur faim tous ceux qui spéculaient sur l'arrivée du streaming, ou encore d'une offre illimitée sur la plateforme. Dans l'histoire, c'est sans doute Apple le plus satisfait : l'entreprise courait après le catalogue des Beatles depuis plus de 7 ans et a essuyé de nombreuses bévues tout au long de son périple, incluant un procès avec le groupe. Ce dernier, détenteur d'un label nommé Apple Corps, n'avait guère apprécié l'incursion de la marque de Steve Jobs dans le monde de la musique avec un nom similaire. Ambiance.

En aout dernier, Yoko Ono, la veuve de John Lennon, avait conseillé aux fans du groupe de "ne pas retenir leur souffle pour rien" concernant l'arrivée des Beatles sur iTunes. Une déclaration finalement aujourd'hui mise à mal par l'actualisation du catalogue de la boutique de musique : un hard day's night de 7 années finalement récompensé.

Reste désormais à savoir si la discographie des Beatles séduira les utilisateurs d'iTunes, car il y a fort à parier que les fans de la première heure ont déjà tout, ou presque. En attendant, il est visiblement possible de suivre le groupe sur Ping… Ca donnerait presque envie de crier Help !
En décembre 2009, Google levait le voile sur une nouvelle application baptisée Google Goggles pour ses smartphones Android, puis plus récemment pour l'iPhone. L'application permet aux mobinautes de photographier un monument, un logo, un code barre ou encore la couverture d'un livre pour effectuer une analyse et retrouver sur Internet des informations relatives au contenu du cliché.

La firme de Mountain View souhaite aller un peu loin dans le domaine de la reconnaissance photographique et annonce avoir signé des partenariats avec cinq annonceurs américains : Buick, Buick, Disney, Diageo, T-Mobile et Delta Airlines. Ces sociétés mettront à disposition des campagnes publicitaires compatibles avec une nouvelle version de l'application baptisée Google Goggles Marketing. Qu'il s'agisse d'un panneau publicitaire ou d'une publicité dans un magazine, il suffira de prendre une photo à l'aide de son smartphone pour être automatiquement dirigé vers un site promotionnel adapté à la taille de l'écran ou un clip vidéo.

Ces publicités arboreront un logo expliquant aux consommateurs qu'il s'agit d'un contenu interactif pouvant être visionné à n'importe quel moment. Typiquement, la photo sera prise à l'entrée du métro et le média qui s'y rattache sera consulté pendant le voyage. Reste à savoir si ces tests s'avéreront concluants, pour Google qui édite lui-même l'application, il pourrait s'agir en tout cas d'une nouvelle poule aux oeufs d'or en attirant davantage d'annonceurs.
le 16/11/2010 à 00:00
OpenTok
Le but de OpenTok est de vous permettre à travers votre site web de créer des vidéos. Cette application, se présente sous la forme d'une librairie et peut s'utiliser avec différents langages webs dont PHP.

Pour utiliser cette librairie, il est nécessaire d'obtenir une clef gratuite (disponible sur le site officiel) et ensuite vous pourrez paramétrer et configurer suivant vos envies l'affichage.

Par ailleurs, le site propose des tutoriaux pour vous faciliter l'utilisation de la librairie.

- Site officiel OpenTok
- Demo OpenTok
- Tutorial OpenTok
Lancée par Jimmy Wales et Larry Sanger la fondation Wikimedia fête cette année son dixième anniversaire et entend finir en beauté en levant 16 millions de dollars soit le double de l'année dernière. Cette somme permettra à « Wikipedia et ses autres sites verticaux de rester libres aux internautes du monde entier ».

Avec 400 millions de visiteurs chaque mois, les sites de Wikimedia se placeraient aujourd'hui en cinquième position des portails Internet les plus populaires. Disposant d'une base de 17 millions d'articles, l'encyclopédie libre Wikipedia est aujourd'hui déclinée dans 270 langues. Les coûts liés au développement pour l'année 2010-2011 sont estimés à 20,4 millions de dollars. L'audience du site aurait doublé depuis 2007 avec un pic d'activité au mois de septembre. Depuis sa création la fondation a reçu 500 000 dons d'une valeur moyenne de 33 dollars. Récemment, l'architecture des sites a été revue afin de supporter davantage de trafic.

La fondation en appelle également aux internautes et les invite à participer à la rédaction d'articles et à la publication de leurs médias. Si vous souhaitez soutenir le projet, rendez-vous ici.
Interrogé par le quotidien Les Echos, le patron de l'opérateur mobile virtuel Prixtel confirme lundi qu'il envisage sérieusement de se lancer dans la fourniture d'accès à Internet résidentielle, ce qui lui permettrait de commercialiser une offre de type "quadruple play", à l'instar des historiques que sont Orange, SFR ou Bouygues.

« Nos clients nous demandent d'aller dans l'Internet fixe pour leur faire bénéficier de nos tarifs », a une nouvelle fois confirmé Anthony Poyac, directeur de Prixtel (article payant). Pour se lancer, l'opérateur pourrait faire appel aux capacités réseau de Completel / Numericable, déjà empruntées par Darty, Auchan ou Bouygues Telecom.

Bien que les marges de manoeuvre y soient restreintes, Prixtel pourrait tenter de reproduire le modèle low cost qui a fait son succès dans l'univers de la téléphonie mobile.

Lancé en 2004, Prixtel s'est notamment illustré avec une offre dont les tarifs s'adaptent à la consommation mensuelle, calculés en fonction des forfaits de la concurrence. L'opérateur revendique 110 000 abonnés, dont 12 000 recrutés sur le troisième trimestre de l'année.
Le site Internet justia.com a récemment publié une plainte déposée en recours collectif à l'encontre de Google. Au centre de cette affaire, c'est la barre d'outils mise à diposition pour les navigateurs Internet Explorer et Firefox qui est incriminée. En effet, cette dernière continuait à enregistrer l'historique de navigation même lorsque la fonctionnalité avait été manuellement désactivée par l'utilisateur.

Si le problème a été réglé en début d'année, les plaignants estiment également que Google n'est pas assez précis dans sa politique en matière de vie privée en invitant les internautes à activer les fonctionnalités avancées. Ainsi les termes "sites Internet » et « URL » ne seraient pas précisément décrits. Alors que le premier peut être défini par un simple nom de domaine, l'URL peut de son côté contenir des informations sensibles comme les mots-clés d'une requête ou l'identifiant d'un cookie.

Rappelons que la dernière plainte collective contre Google concernait le service Buzz au sein de Gmail et mettait également en avant une faille dans la gestion de la vie privée. Google avait dû débourser 8,5 millions de dollars.
Au centre des usages de l'internaute, le navigateur devient de plus en plus personnel. Outre les initiatives visant à concocter des applications centrées sur les réseaux communautaires, certains éditeurs proposent des thèmes et des extensions afin de coller aux usages et aux préférences de chacun.

Le magazine Lifehacker rapporte pour sa part un nouveau service baptisé ChromeThemes.net permettant de construire à la volée un thème pour le navigateur de Google. Après avoir choisi des images de fond au format PNG pour le cadre de l'application, la barre des favoris, les onglets et la page de démarrage, l'internaute sera invité à sélectionner les couleurs pour chacun des éléments de l'interface utilisateur.

En un clic il sera possible d'installer automatiquement ce nouveau thème ou de le télécharger. Bien qu'un peu plus poussé, le processus d'édition rappelle fortement celui de Personas pour Firefox. Reste à savoir si Google mettra en place des outils similaires auprès des utilisateurs ne trouvant pas leur bonheur au sein du répertoire officiel de thèmes. Il est également possible de publier ses créations au sein d'une galerie dédiée.
Le ministère de la Culture et l'Hadopi avaient indiqué qu'une place serait réservée à la promotion de l'offre légale sur Internet. Le pendant « incitatif » à la loi Hadopi regroupe désormais la Carte Musique et la labellisation de certains sites proposant du téléchargement légal et de la vidéo à la demande.Le décret n° 2010-1366 paru au Journal officiel instaure donc un processus de labellisation pour toute « personne dont l'activité est d'offrir un service de communication au public en ligne ». Une acception plutôt large pour un label qui ne sera finalement pas accordé à un site mais à une liste d'oeuvres déclarées.

Concrètement, un éditeur devra former un dossier comprenant la liste des oeuvres à labelliser. Ces dernières devant être proposées « avec l'autorisation des titulaires des droits », précise le décret. Une déclaration a priori qui peut ne pas être contrôlée par Hadopi. L'autorité publiera ensuite cette liste sur son site. En cas d'objection, il revient aux ayants-droit de se manifester et de contester cette mise en ligne.

Sur la forme, ce label sera visible par un « signe distinctif » sur le site proposant les oeuvres au téléchargement. Le but de la manoeuvre est donc de mettre en avant les supports légaux et de tenter de donner des éléments de compréhension visibles pour un internaute néophyte.

Pourtant, malgré cette nouvelle dénomination, c'est un autre label qui toujours est attendu, celui de logiciels dits de sécurisation. Ces derniers sont censés représenter une maille importante du filet Hadopi et devaient être mis en place afin qu'un internaute puisse montrer patte blanche en cas de doute de l'Hadopi sur son activité. Selon les mots du maître d'ouvrage du projet, Michel Riguidel, ces logiciels ne devraient arriver que d'ici mars ou juin 2011…
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