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Le blog officiel du site de micro-blogging annonce qu'une nouvelle fonctionnalité est disponible. Plus précisément, il s'agit d'une extension des « trending topics » ou sujets tendances, chauds, diffusés sur Twitter. De nouveaux pays, dont la France mais aussi de nouvelles villes sont ajoutées.L'intérêt est donc de savoir quels sujets font l'actualité dans la twittersphère française, on aura noté que l'intervention télévisée du président de la République sous le hashtag #sarkotv était l'un des sujets les plus commentés, ce mardi. Il suffit simplement de cliquer sur « trends ». Une liste est alors dévoilée avec 18 nouveaux pays : Argentine, Australie, Chili, Colombie, France, Allemagne, Inde, Indonésie, Italie, Pays-Bas, Singapour, Espagne, Turquie et Venezuela.

De même, 24 villes sont également disponibles comme Detroit, Miami, Minneapolis, Rio De Janeiro, Sydney, Toronto… Aucune française.

A noter enfin que le site a également fait le choix de lancer un outil de traduction des tweets. En partenariat avec Google Translate, ce service est censé permettre la compréhension entre utilisateurs.
La dernière fois que nous parlions de Kayak dans nos colonnes, c'était pour évoquer son mécontentement : comme d'autres spécialistes de la comparaison de billets d'avion, Kayak souhaite empêcher Google de racheter ITA Software, le logiciel qui leur permet d'obtenir les informations de vols. Mais il semblerait que tout n'aille pas si mal pour le moteur de recherche de billets d'avion, puisqu'il vient de remplir un formulaire de demande d'entrée en bourse. Kayak espère y lever 50 millions de dollars.

Kayak est l'éditeur derrière les sites de voyage Expedia et Orbitz. Le groupe a déjà levé 22 millions de dollars depuis sa création en 2004. L'introduction en bourse (IPO) sera menée par un groupe de banque dont Morgan Stanley et la Deutsche Bank. Aucun prix par action n'a été communiqué.

Et si le rappel de l'affaire ITA Software a son intérêt, c'est parce que Kayak vise l'introduction en bourse en partie pour contrer Google. Car pour lui, si le géant rachète ITA Software, « les gens pourront trouver des informations sur les vols comparables sur Internet, sans passer par un service comme le nôtre. Selon Experian Hitwise, en septembre 2010, environ 30% des recherches de voyages ont débuté sur Google. Avec le rachat d'ITA, ce nombre pourrait largement augmenter, puisque Google devrait choisir d'offrir des services qui sont en compétition directe avec ceux que nous offrons. »

L'entrée en bourse de Kayak risquait donc fort d'être repoussée avec le rachat d'ITA Software par Google. Le site a donc accéléré le processus, profitant de l'enquête en cours du département américain de la justice sur l'arrangement ITA-Google, pour tenter son IPO.
En août 2008, Microsoft dévoilait Windows Live FrameIt. Ciblant les possesseurs de cadres numériques connectés, le service alors en phase d'évaluation, permettait de rassembler plusieurs flux RSS et de formater le texte ou les images via une sélection de thèmes optimisés pour petits écrans.

A l'ére du smartphone et de la tablette, le cadeau phare des fêtes de fin d'année en 2008 ne suscite cependant plus tellement l'intérêt des consommateurs. D'ailleurs, deux ans plus tard, le service de Microsoft est toujours en bêta. L'équipe de Windows Live a donc simplement décidé de fermer le projet.

Les flux configurés par les utilisateurs cesseront de fonctionner le 15 décembre prochain. Microsoft précise que les images et les vidéos hébergés sur Windows Live Photos ou Live Skydrive seront toujours disponibles au téléchargement.
le 17/11/2010 à 00:00
Meebo lève 25 millions de dollars
Le service Internet Meebo, qui permet de rassembler au sein d'une même interface web l'ensemble de vos comptes de messagerie instantanée, vient de lever 25 millions de dollars auprès des fonds d'investissements Khosla Ventures, Sequoia Capital et Draper Fisher Jurvetso.

Dans un entretien recueilli par AllThingsD, Vinod Khosla explique de 87% des annonceurs ayant déployé leurs campagnes promotionnelles sur Meebo en 2009 ont accepté de reconduire leur partenariat en doublant leur budget publicitaire. De toute évidence la juxtaposition d'une bannières aux côtés d'une fenêtre de discussion est donc une solution payante. Récemment Meebo a dévoilé une nouvelle version de son site Internet, peaufiné ses applications mobiles et intégré un dispositif de checkins similaire à celui de Foursquare permettant aux utilisateurs de partager non pas leur position géographique mais leur lecture sur Internet.

Meebo bénéficierait aujourd'hui d'une base de 190 millions d'utilisateurs soit une croissance de 50% par rapport à l'année dernière. Au total, la société a levé 62,5 millions de dollars.
le 17/11/2010 à 00:00
Les redirections webs
Les redirections webs sont très utile à travers internet, surtout si vous souhaitez proposer des webs services dans votre site.

Le site Owni rentre en détails dans les redirections en effectuant un petit rappel au niveau de l'historique. Mais aussi propose de nombreux liens vers d'autres articles touchant le même sujet.

Bien sur les redirections peuvent être utiliser en PHP avec l'extension cURL, vous permettant ainsi d'effectuer la même chose que les autres fonctionnalités classiques.

- Les redirections, le cauchemar du web
Belle descente ! Le caviste virtuel 1855, spécialisé dans la vente de vins en ligne, vient d'annoncer une nouvelle levée de fonds portant sur un montant de 7 millions d'euros qui doit lui permettre de procéder à des opérations de croissance externe. C'est, pour cette société cotée sur Alternext, la deuxième de l'année, après une augmentation de capital de 9 millions d'euros réalisée en février.Comme la précédente, cette levée de fonds est réalisée par le biais d'une émission de nouvelles actions (0,08 euro l'unité, prime d'émission comprise), qui une fois menée à son terme permettra à la société de disposer de fonds propres augmentés de 7 millions d'euros. La part du capital restant au main des fondateurs passera de 59,1 à 51% à l'issue de la procédure.

Emeric Sauty de Chalon, président de 1855, ne fait aucun mystère des ambitions expansionnistes du groupe : « dans tous les secteurs d'activité où internet a radicalement changé les règles du jeu, le marché s'est consolidé et a vu émerger un ou deux leaders en position incontournable », fait-il valoir dans un communiqué, annonçant son intention de positionner la société sur les futures étapes de concentration qui surviendront sur le marché du vin en ligne.
Après plusieurs années de résistance acharnée Hachette a finalement cédé mercredi aux avances de Google dans l'épineux dossier de la numérisation des livres. Le numéro un du marché français de l'édition vient en effet d'annoncer la signature d'un accord selon les termes duquel le moteur de recherche pourra numériser et diffuser en ligne les ouvrages de la maison Hachette qui ne sont plus disponibles dans le commerce, soit le catalogue des "épuisés".

Si sur le plan financier, l'accord n'aura sans doute qu'une portée limitée - les livres concernés n'étant plus distribués, cette annonce signe tout de même la fin du front uni qu'offrait jusqu'ici l'édition française face aux ambitions de Google : Hachette va même jusqu'à appeler les autres éditeurs français à reprendre à leur compte les dispositions de l'accord en question, qui doit aboutir sur un contrat définitif dans les six mois. Entre 40 et 50 000 ouvrages sont concernés.Hachette Google, partenaires inattendusL'éditeur assure toutefois ne pas avoir vendu son âme au diable. Selon le protocole établi par les deux partenaires du jour, c'est lui qui sélectionnera la liste des ouvrages pouvant être à nouveau distribués - et non Google. En échange de l'effort de numérisation, Google pourra les exploiter sur sa plateforme Google Livres, ainsi que sur sa future plateforme de distribution payante, Google Edition, mais Hachette recevra une copie de l'ouvrage concerné et sera également en mesure de l'exploiter pour son compte.

« Ce n'est pas un quitus donné à Google pour son comportement passé, mais un cadre permettant de repartir sur de nouvelles bases, équitables, équilibrées et respectueuses de nos droits et de ceux de nos auteurs », a commenté Arnaud Nourry, président de Hachette Livre.

Les négociations n'étaient pourtant pas gagnées d'avance : depuis 2004 et l'ouverture du programme Google Livres (initialement appelé Google Print), les maisons d'édition, françaises comme américaines, reprochent à Google d'avoir pioché sans les consulter dans les grandes bibliothèques américaines des livres tombés dans le domaine public... ou encore sous droits. Suite à plusieurs procès, dont l'un soldé par un accord à 125 millions d'euros, Google avait alors fini par mettre en place une procédure permettant aux éditeurs de signaler les ouvrages numérisés apparaissant sur sa plateforme sans leur accord. Une procédure de type opt-out qui n'a pas franchement fait le bonheur de la profession.Google ? Méfiance, répond l'édition

Egalement porté sur le terrain des bibliothèques nationales - au premier rang desquels la BnF, cette bataille avait fait naître la crainte que Google parvienne à s'arroger le pan littéraire des cultures nationales au détriment des acteurs de ces dernières. Aujourd'hui, le moteur de recherche se félicite avec Hachette d'avoir pu sortir de ce conflit "par le haut". « Les auteurs français auront de nouveaux débouchés commerciaux pour leurs livres ; et les lecteurs à travers le monde auront le plaisir de voir réapparaître des livres en langue française qu'ils ne parvenaient plus à trouver », se réjouit ainsi David Drummond, vice président en charge du développement et des affaires juridiques chez Google. Les plus virulents des éditeurs partisans d'une plateforme servant mieux les intérêts français risquent pourtant de ne pas partager cet enthousiasme.
Lancée par Jimmy Wales et Larry Sanger la fondation Wikimedia fête cette année son dixième anniversaire et entend finir en beauté en levant 16 millions de dollars soit le double de l'année dernière. Cette somme permettra à « Wikipedia et ses autres sites verticaux de rester libres aux internautes du monde entier ».

Avec 400 millions de visiteurs chaque mois, les sites de Wikimedia se placeraient aujourd'hui en cinquième position des portails Internet les plus populaires. Disposant d'une base de 17 millions d'articles, l'encyclopédie libre Wikipedia est aujourd'hui déclinée dans 270 langues. Les coûts liés au développement pour l'année 2010-2011 sont estimés à 20,4 millions de dollars. L'audience du site aurait doublé depuis 2007 avec un pic d'activité au mois de septembre. Depuis sa création la fondation a reçu 500 000 dons d'une valeur moyenne de 33 dollars. Récemment, l'architecture des sites a été revue afin de supporter davantage de trafic.

La fondation en appelle également aux internautes et les invite à participer à la rédaction d'articles et à la publication de leurs médias. Si vous souhaitez soutenir le projet, rendez-vous ici.
Les services permettant de raccourcir les URL sont désormais légion et proposent tous des services similaires : pour tirer leur épingle du jeu, certains tentent donc de proposer de nouveaux services. C'est le cas de Bit.ly qui propose une nouvelle fonctionnalité à ses utilisateurs inscrits.

Cette dernière est baptisée Bundle, et permet de rassembler plusieurs URL à travers une adresse raccourcie. L'utilisation de Bundle nécessite d'être identifié sur le service, l'inscription gratuite prenant quelques instants : le membre a alors accès à un menu étendu qui permet de créer des shorts URL à la volée, et de les compiler en une seule s'il le souhaite : la courte adresse ainsi obtenue renvoie alors sur une page Bit.ly qui rassemble tous les liens choisis, et qu'il est possible de personnaliser avec un titre et une description.

Bit.ly Bundle peut donc offrir un intérêt aux grands consommateurs d'URL raccourcies désireux de compiler certains liens ensemble, façon revue de Web thématique. Un usage qui peut également aller au-delà de Twitter et autres plateformes utilisant massivement les adresses courtes. Il faut cependant noter que Bit.ly n'est pas le premier a proposer une telle fonction : c'est la raison d'être de BridgeURL, qui offre néanmoins un agencement bien différent.
le 16/11/2010 à 00:00
Yahoo! lance son nouveau calendrier
Plus de deux ans après le lancement de la bêta, le service Yahoo! Calendar, proposant un agenda hébergé, est finalement disponible en version finale et devrait prochainement retrouver sa place au sein de Yahoo! Mail.

Basé sur les standards iCalendar et CalDav, Yahoo! Calendar promet une interopérabilité avec les calendriers publics d'Apple, de Microsoft, d'AOL, de Mozilla et de Google. L'usage des dernières technologies Internet comme le DOM et l'Ajax permet le glisser-déposer des événements. Aussi, chaque interaction est directement prise en compte et ne nécessite aucun rafraichissement de la page.

Le support du protocole CalDav permettra de synchroniser les événements par Internet avec les smartphones compatibles (typiquement l'iPhone) ainsi que les applications de type Apple iCal ou Mozilla Sunbird (ou son extension Lightning). Avec la prise en charge du format iCal l'internaute pourra s'inscrire à un calendrier externe et partager plus facilement le flux de son agenda.

Outre une optimisation du chargement, l'équipe de développement a également revu l'ergonomie avec un meilleur affichage à l'écran. Reste tout de même que le service n'est toujours pas disponible en français.
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