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Après des mois de développement, Microsoft annonçait la semaine dernière supprimer une fonctionnalité majeure de la prochaine version de son système d'exploitation à destination des serveurs domestiques, le bien nommé Windows Home Server, nom de code "Vail" (voir Fin du Drive Extender pour Windows Home Server). Les motifs invoqués par Microsoft ont provoqué la colère des utilisateurs et de la communauté d'utilisateurs alors que la décision a été critiqué par l'ensemble de la presse. Il faut dire que Microsoft nous a fait un numéro de mauvaise foi qu'on avait pas vu depuis Windows Vista. Car si la technologie Drive Extender est retirée ce n'est pas à cause des disques durs de 2 To mais bien à cause de bugs non résolus à ce jour et d'une volonté de Microsoft d'aligner le code entre ses déclinaisons du système d'exploitation qui pour la première fois sera proposé aux entreprises.

Hier, on apprenait que Microsoft Press, la maison d'édition de Microsoft annulait un de ses ouvrages prévu pour la prochaine version de Windows Home Server (voir Windows Home Server: si même Microsoft Press n'y croit plus !). Preuve s'il en est que même chez Microsoft on ne croit guère à l'avenir de Windows Home Server sur le marché grand public !

Mais les déconvenues ne s'arrêtent pas là ! HP, partenaire de la première heure de Microsoft sur Windows Home Server annonce son retrait pur et simple du marché des solutions Windows Home Server. La compagnie aurait invoquée ses développements autour de WebOS et insiste sur le fait que la récente décision de Microsoft de retirer Drive Extender de Windows Home Server n'a bien sûr rien à voir avec sa décision. Naturellement la réalité est vraisemblablement toute autre. Quoi qu'il en soit HP va continuer d'écouler les stocks de ses serveurs MediaSmart mais ne développera plus aucun produit autour de Windows Home Server. Et ce alors même que les ingénieurs de HP ont travaillé toute l'année autour de "Vail". Reste donc à savoir maintenant ce que feront Acer et Asus notamment qui risquent fort de se retrouver seuls sur ce marché... Visiblement, l'annonce de cette défection est suffisament importante pour faire réagir Microsoft qui se fend d'un nouveau billet sur son blog dédié à Windows Home Server.
Le Conseil supérieur de l'audiovisuel a lancé le 26 novembre dernier un appel à candidatures en vue du lancement de services de vidéo à la demande sur la télévision numérique terrestre, via le réseau R3 (DVB-T). Le CSA précise que les opérateurs ont jusqu'au 14 février pour déposer leurs offres.

« Le Conseil déterminera le nombre de services retenus, au moment de la sélection, au vu des dossiers déposés, notamment en fonction de l'importance du débit nécessaire à chacun d'eux », précise-t-il.

D'autre part, le Conseil étudiera toutes les offres, qu'elles soient gratuites (à l'instar des services de télévision de rattrapage, comme Pluzz, MyTF1, Canal+ à la demande ou M6 Replay) ou payantes (Canalplay, TF1 Vision, M6 VOD, France TVOD ou encore l'iTunes Store d'Apple qui, outre de la musique, propose des séries télé et des films).

Les chaînes historiques privées (TF1, M6 et Canal+) profiteront-elles de l'occasion pour lancer un service commun de vidéo à la demande ? Elles avaient entamé des négociations en ce sens fin 2009 suite aux rumeurs annonçant l'arrivée de Hulu en France.

Aucune chaîne n'a pour l'instant communiqué sur d'éventuels projets liés à l'ouverture de cet appel d'offres.
L'ancien de The Pirate Bay a tenu un chat avec d'autres spécialistes du web autour d'un nouveau projet. Baptisé P2P DNS, il vise à passer outre les contrôles de ceux qui gèrent les noms de domaines de manière centralisée comme l'Icann. Une manière de redonner la clé du Net aux internautes ?Selon ses statuts, l'Icann est une organisation à but non-lucratif dont la mission est « d'allouer l'espace des adresses de protocole Internet (IP), d'attribuer les identificateurs de protocole et de gérer le système de nom de domaine ». Une organisation trop « centralisée » à en croire Peter Sunde et les tenants d'une nouvelle organisation du DNS.

Concrètement, le DNS (Domain Name System) est utilisé pour faire communiquer une adresse IP et un nom de domaine. La proposition soutenue par Peter Sunde vise à changer la donne en mettant en place un nouveau serveur DNS racine alternatif. Pour ce qui est de la sécurité, la transmission devrait nécessiter une signature. Enfin, ce système DNS distribué devrait avoir pour socle la technologie P2P…

Un site a été crée pour l'occasion afin de recueillir les idées de chacun et de provoquer la discussion. Il explique : « le fond du projet est que nous voulons voir un Internet non-censuré. Avoir un système centralisé qui contrôle le flux d'informations n'est pas acceptable ». Le projet P2P DNS propose donc une forme de décentralisation des réseaux. Ces propositions sont également visibles sur un chat IRC (#dns-p2p sur EfNet).
le 01/12/2010 à 00:00
Plugins WordPress
Wordpress est une application en PHP,  énormément utilisée pour les blogs. Cependant les bonnes pratiques ne sont toujours pas utilisées et peut poser certains problèmes.

Pour éviter d'avoir de mauvaises surprises, le site Wpzine a publié une liste de plugins à installer pour résoudre les principaux problèmes (entre autre de sécurité), comme :
- Sécuriser la connexion
- Scanner votre site
- Antivirus pour Wordpress
- Backup
- Limiter certains accès
- Ajouter des logs
- Limitation de connexion

- WordPress Security Plugins
Le site 'admixweb' propose une petite trousse à outils MySQL pour améliorer vos développements.

L'article explique que si vous travaillez énormément avec une base de données en utilisant l'interface PHPmyAdmin, vous perdez du temps à cause des temps de rafraichissement des pages et par conséquent de la productivité.

Mais il existe des outils bureautiques gratuits pour vous permettre de manipuler la base de données, qui sont :
- MySQL Workbench
- Spotlight
- Toad for MySQL
- wwwsqldesigner
- MyDB Studio
- HeidiSQL

- Free MySQL Tools to Improve your Productivity
Initialement prévue pour cet été, la librairie numérique de Google baptisée Google Editions pourrait finalement être lancée aux USA d'ici à fin décembre. Une information dévoilée par le Wall Street Journal, qui rapporte des propos tenus par Scott Dougall, le directeur de la gestion des produits de la firme de Moutain View.

"En raison de la complexité de ce projet, nous ne voulions pas sortir quelque chose qui n'avait pas été approfondi" a expliqué ce dernier pour justifier le retard pris par ce nouveau service. Il faut dire que l'ambition dudit projet est conséquente, puisque Google compte bouleverser la tendance en proposant un service accessible depuis n'importe quel terminal connecté à Internet, en passant par Google ou d'autres vendeurs partenaires permettant de lier les e-book a achetés au compte Google de l'utilisateur. Ce dernier pourra ensuite accéder à ses livres électroniques depuis un navigateur Web sur un ordinateur, un téléphone ou une tablette : en ne se liant pas à un dispositif spécifique, Google Editions ouvre le champ de ses perspectives, ce qui peut s'avérer être un intéressant avantage.

Un modèle bien différent de celui proposé par la concurrence, comme Amazon et son Kindle, au fonctionnement propriétaire. Le site d'e-commerce de Jeff Bezos aurait, selon le WLS, la main sur 65% du marché actuel, et se placerait donc ainsi comme le principal concurrent de Google Editions.

Même si l'arrivée d'un nouveau service axé autour du livre numérique chez Google semble se préciser fortement, de nombreux mystères subsistent à l'heure actuelle concernant son fonctionnement, les partenariats effectués et son modèle économique. Selon l'association des libraires américains, plus de 200 libraires indépendants pourrait collaborer avec Google Editions à son lancement, mais rien n'est confirmé à l'heure actuelle. Les petits acteurs du marché semblent néanmoins enthousiastes vis-à-vis de l'arrivée de la plateforme : "Google va transformer chaque page Internet qui parle d'un livre en un endroit où vous pouvez acheter ce livre" commente ainsi un libraire indépendant de Naperville, dans l'Illinois.

Scott Dougall a également indiqué que le service devrait arriver à l'étranger durant "le premier trimestre de l'année prochaine", sans néanmoins préciser quels pays seraient concernés. A l'heure où un grand nombre de librairies en ligne sortent leurs propres liseuses numériques, Google pourrait bien, une fois encore, changer la donne dans un domaine où la concurrence est déjà rude.
Le gouvernement chinois vient d'annoncer qu'il comptait inspecter les ordinateurs de ses administrations publiques. L'objectif de la mesure est de repérer ceux qui utilisent des logiciels sans aucune licence officielle. Cette action coup de poing est le point d'orgue d'une campagne « anti-piratage » menée depuis plusieurs années.L'opération devrait durer jusqu'en octobre 2011. Cette annonce coïncide avec l'action menée par le géant Microsoft contre 10 firmes chinoises accusées de vendre des ordinateurs contenants les logiciels non-officiels déjà pré-installés.

Il faut dire que Microsoft a toujours estimé que la Chine est un pays dans lequel ses logiciels pirates sont les plus répandus. « Il s'agit là d'un problème central pour l'industrie du logiciel qui doit être résolu » explique Yu Weidong, le responsable de la propriété intellectuelle chez Microsoft Chine. La Business Software Alliance, estime que 79 % des logiciels utilisés dans le pays n'ont aucune licence officielle…

Ce mouvement initié par l'administration générale chinoise peut donc être interprété comme une réponse à la victoire juridique de Microsoft devant une cour de Shanghai en avril dernier. Un assureur avait enfreint la propriété intellectuelle de Microsoft avec des copies illégales de ses logiciels. De même, au mois d'août 2009, quatre personnes du site Tomato Garden avaient été condamnées pour avoir distribué des versions contrefaites de Windows XP.

Par cet acte, le gouvernement chinois tient donc à rappeler qu'il lutte activement contre la contrefaçon et le piratage de logiciels. Pour preuve, l'Empire du Milieu rappelle qu'entre 2007 et 2009 pas moins de 119 millions de dollars ont été dépensés dans la lutte pour le respect du droit d'auteur.
La FCC (Federal commission communications) compte très prochainement organiser un vote afin de garantir le principe de la neutralité du réseau. Cette notion vise à éviter que les opérateurs puissent mettre en place des mesures de discrimination dans l'utilisation d'Internet.Le régulateur des Télécoms lance donc une conférence (14h30, heure de Washington) afin de donner ses grandes orientations en la matière. Un vote devrait suivre le 21 décembre prochain sur certaines mesures phares comme la non-discrimination sur la qualité du flux mais aussi sur la fourniture de services.

Autre point chaud, la FCC pourrait mettre en place des interdictions en matière d'interdiction de tout filtrage (contenus, sites, applications, terminaux…) des réseaux. Enfin, la commission pourrait vouloir lorgner du côté des éditeurs de plateformes mobiles. L'un des buts de la discussion est de lever certaines interdictions concernant des services de VoIP ou de vidéo…

La conférence promet donc de donner quelques éléments afin de comprendre la position de la FCC. Si elle est jugée trop contraignante, les opérateurs pourraient saisir la Justice où l'opposition politique républicaine, toujours plus favorable à une libre concurrence entre acteurs…
le 01/12/2010 à 00:00
PHP advent 2010 : départ
A l'approche de Nöel, le site PHP Advent revient au devant de la scène internationale.

Chris Shiflett publie de nouveau le calendrier de l'Avent PHP pour l'année 2010, avec des astuces et conseils d'experts PHP destinées à tout le monde.

Le premier à lancer ce nouveau calendrier est Anthony Gentile.

- PHP Advent 2010
- Anthony Gentile : Localization
L'éditeur de logiciels Red Hat vient d'annoncer l'acquisition de Makara, un spécialiste des technologies de Platform-as-a-Service (PaaS). Le portefeuille de Makara permet notamment aux entreprises de gérer et déployer des applications dans le cloud.

Red Hat souhaite ainsi développer sa propre solution de PaaS, au sein de son portefeuille Cloud Foundations. « Clouds Foundations permet aux clients et aux développeurs d'avoir un accès facile au cloud. Avec l'ajout de Makara, nous visions à simplifier encore plus le déploiement et la gestion d'applications, » explique Paul Cormier, le président Produits et Technologies de Red Hat. « Nous accueillons l'équipe Makara et cherchons à accélérer le déploiement de nos solutions PaaS sur le marché. »

Lancé en juin 2010, Cloud Foundations est construit autour du middleware JBoss Enterprise Middleware. Red Hat espère en faire la solution préférée des fournisseurs de services pour le déploiement et la gestion de leurs applications dans les clouds, qu'ils soient privés ou publics. En intégrant JBoss Enterprise Middleware et la Cloud Application Platform de Makara, Red Hat souhaite rendre transparente et simple la migration d'un type de cloud à l'autre.

Red Hat n'a pas communiqué le montant déboursé pour l'acquisition de Makara.
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