News MYSQL

le 20/12/2010 à 00:00
MySQL 5.5
La nouvelle version de MySQL vient de sortir et peut être utiliser en production.

Un communiqué a été réalisé autour de cette version, pour montrer les nombreuses évolutions du produit :
- Amélioration des performances
- InnoDB comme moteur de stockage par défaut

Par ailleurs, la distribution est effectuée sous licence GPL et disponible gratuite en téléchargement.

- MySQL 5.5 Now Generally Available
le 10/12/2010 à 00:00
Journal de réplication InnoDB
Au paravent, le système de réplication MySQL était associé avec la réplication avec MyISAM. De nos jours, InnoDB a pris une place importante autour de la base de donnée, permettant ainsi d'effectuer les opérations similaires.

Le site Ramblings, présente les orientations suivant les évolutions des années. Mais aussi il explique que d'autres solutions existent autour de la réplication.

- Replication log inside InnoDB
Le site 'admixweb' propose une petite trousse à outils MySQL pour améliorer vos développements.

L'article explique que si vous travaillez énormément avec une base de données en utilisant l'interface PHPmyAdmin, vous perdez du temps à cause des temps de rafraichissement des pages et par conséquent de la productivité.

Mais il existe des outils bureautiques gratuits pour vous permettre de manipuler la base de données, qui sont :
- MySQL Workbench
- Spotlight
- Toad for MySQL
- wwwsqldesigner
- MyDB Studio
- HeidiSQL

- Free MySQL Tools to Improve your Productivity
le 26/11/2010 à 00:00
MyMonitor 1.1
Après quelques années d'attentes, la nouvelle version stable de MyMonitor a été libérée. Pour rappel, MyMonitor est un outil avancé de suivi de surveillance, basé sur le monitoring SQL pour MySQL.

Cette version corrige certains bugs, mais aussi permet de lire et d'analyser le ProcessList. C'est à dire, il surveille les envoies de trie, filtre et de groupe pour vous permettre de suivre les requêtes lentes et / ou fréquentes.

- MyMonitor 1.1
le 25/11/2010 à 00:00
Les erreurs autour de MySQL
Le site 'sitepoint' a publié un hit parade des erreurs les plus courantes autour de la base de données MySQL pour les développeurs. L'article a associé la base de données avec le langage PHP, mais ces erreurs peuvent aussi être appliquer aux autres langages.

L'article propose les 10 erreurs les plus courantes et classés par rapport à leur importance, comme :
- Utilisation de MyISAM par rapport à InnoDB
- Ne pas utiliser les fonctions MySQL du langage PHP
- Ne pas se protéger des erreurs d'injections
- Ne pas utiliser tout le temps UTF-8
- Privilégier le langage PHP sur SQL
- Mauvaises optimisation des requêtes
- Utilisation dans les requêtes SELECT *
- Problème d'indexation
- Oublier le backup

Bien sur, l'article détaille ces quelques points importants à prendre en compte, mais pour eux ceux sont les principaux.

- Top 10 MySQL Mistakes Made By PHP Developers
Il y a quelques jours, le site dbnewz proposait la deuxième partie du quizz pour continuer de tester vos connaissances en MySQL.

Aujourd'hui, le site donne le résultat des 15 dernières questions, vous permettant ainsi de continuer à améliorer vos connaissances autour de MySQL et de les mettre en application dans vos projets PHP.

- 30 questions sur MySQL partie 2
- 30 questions sur MySQL Réponses de la partie 2
Kaj Arnö - photo Arnaud LimbourgSi les questions autour du futur de MySQL peuvent parfois paraître absconses, le forum PHP, qui s'est tenu la semaine dernière à la Cité des Sciences de la Vilette à Paris, nous a permis d'approcher la question d'une manière toute concrète. Les représentants de SkySQL et Monty Program, Kaj Arnö et Rasmus Johansson, ont fait pour nous le tour de la question.Séparation de l'Eglise et de l'Etat

Vues les attaques récentes d'Oracle sur les anciens produits de Sun, de Java à OpenSolaris, faut-il abandonner tout espoir de voir l'éditeur soutenir MySQL ? La récente augmentation du prix des services d'assistance liée peut faire craindre le pire, et nos deux interlocuteurs n'ont rien fait pour nous rassurer. « En fait, à l'origine, nous travaillions tous pour MySQL, » explique Kaj Arnö. « Il y avait à l'époque une sorte de dichotomie entre l'équipe business et l'équipe communauté. Les premiers voulaient faire de l'argent, les autres s'en fichaient, et voulaient aider les utilisateurs à adopter la solution. Avec SkySQL et Monty Program, il y a eu une sorte de séparation de l'Eglise et de l'Etat, qui a résolu le problème, mais chez Oracle, la question a été traitée autrement : c'est le business qui a gagné. »

Et à écouter le PDG de SkySQL, le but d'Oracle ne serait pas de développer l'utilisation de MySQL. En cause : Oracle DB, le gestionnaire de bases de données maison. Plutôt que de tenter de gagner des parts de marché sur la solution SQL de Microsoft, au risque de vampiriser le marché d'Oracle au passage, l'éditeur aurait, selon Kaj Arnö, une position défensive. MySQL ne serait donc plus qu'une barrière pour ne pas laisser trop de parts de marché à Microsoft. « En tous cas, si j'étais du côté d'Oracle, c'est ce que je ferais. »

Garder le statu quo, au risque de tuer MySQL ? « Ils ne diront jamais ouvertement qu'ils veulent tuer MySQL, » explique Kaj Arnö. « Mais il y a d'autres façons de faire : Oracle peut embrasser MySQL jusqu'à l'étouffer. Mais ils ne s'en débarrasseront pas ouvertement, car ils craignent trop que l'Union européenne, par exemple, puisse enquêter sur la question. » En clair, MySQL serait le dernier bastion de l'open-source chez Oracle. « C'est fondamental ! Il n'y a qu'à voir ce qu'ils font à Java ou OpenOffice. »

Du coup, Kaj Arnö et Rasmus Johansson accréditent la thèse du responsable de l'open-source d'Adobe, David McAllister, selon laquelle Oracle aurait remplacé Microsoft à la tête de la coalition anti-open-source. Sans aller jusqu'à accepter le terme de « Super-Villain » (super-méchant, qui correspond en anglais à l'ennemi fondamental du super-héros dans les comics), Kaj Arnö ne s'empêche pas une petite pique au géant de Redmond : « Je suis d'accord, mais surtout parce que désormais, Microsoft n'est plus vraiment significatif. Ils ne sont plus au centre, donc ce n'est plus important, ce qu'ils font, ce qu'ils pensent... Oracle, de son côté, détient tellement de technologies open-source, et les attaque à tel point, que c'est bien plus grave. »Nouvelles opportunités

Pour autant, les deux entrepreneurs ne voient pas d'un mauvais oeil l'augmentation des prix de l'assistance sur MySQL. Ça ne peut qu'être bon pour leurs activités, résument-ils. Pour Kaj Arnö, « nous pouvons le faire à des prix très compétitifs par rapport à ce que fait Oracle, car nous avons les ressources pour fournir des services moins chers. »

Autant de nouvelles opportunités qui pourraient profiter à d'autres entreprises de services. Mais là encore, les deux entrepreneurs ne craignent pas la concurrence. Le monde de MySQL serait petit et assez solidaire pour compliquer la tâche des candidats à une entrée. Rasmus Johannson - Photo Arnaud LimbourgPour autant, toutes ces considérations n'empêchent pas SkySQL et MariaDB de poursuivre leurs activités avec MySQL. Même s'ils craignent l'attitude d'Oracle, ils continuent de voir MySQL comme une solution pertinente. « De toute façon, » pour Rasmus Johansson, « MySQL est encore très utilisé dans le monde. Donc il faut bien que quelqu'un prête assistance à ces utilisateurs, et ces entreprises. Même si on ne travaille plus pour MySQL AB, l'entreprise à l'origine de MySQL, il y a une sorte de conscience que, puisqu'on l'a créé, on doit aider à l'utiliser. C'est pour cela que nous maintenons des interopérabilités entre MySQL et MariaDB. »Barrières de protection

Pourquoi ne pas tout simplement amener les gens vers MariaDB, alors ? Selon Kaj Arnö, ce n'est pas si simple. « Il faut du temps pour que les choses changent, il faut commencer par créer des compatibilités avec vos nouveaux produits. Si vous voulez battre MacDonald's, il ne suffit pas de faire un fork à côté et de dire "Ok, venez". C'est un beaucoup trop grand pas. » Même si, évidemment, pour Rasmus Johannson, le but est d'amener au final les utilisateurs vers MariaDB.

Mais voilà, l'exemple de MySQL est suffisamment parlant pour qu'on se pose la question suivante : et si, demain, MariaDB était rachetée par un Oracle ? Quelles barrières, quelles préventions contre une attaque en règle de sa partie open-source ? Rasmus Johannson explique le principe : « Nous avons un business model baptisé le "hacking business model". Tous les employés ont des parts dans l'entreprise, donc si une grosse société voulait l'acheter, ils devraient être acceptés par n'importe qui. Et ce n'est pas facile de convaincre tous ces développeurs très attachés à l'open-source... »
le 09/11/2010 à 00:00
Innotop 1.8
Innotop est un clone pour MySQL, orienté innoDB. Cette application vous permet d'effectuer de la surveillance. Par ailleurs, ce projet propose plus fonctionnalités et de souplesses par rapport aux autres outils de la même famille.

Cette nouvelle version apporte de nouvelles fonctionnalités, comme : Une interface en plugins entièrement configurableUne surveille du nombre de serveurs avec la possibilité de les regrouperUne trousse d'outils variés comme mytopDe nouvelles fonctionnalités comme l'interrogation de la périodeAnalyse et affiches les informations venant de InnoDB.

- Innotop 1.8
le 06/11/2010 à 23:23
10 astuces autour de MySQL
Quand vous créez une page dynamique en PHP, vous devez communiquer avec une base de données.

Pour communiquer avec celle-ci, vous pouvez utiliser une fonction SQL. Cependant les risques d'erreurs peuvent exister et qu'il n'est pas évident de les identifier.

Le site 'Explain extended' montre 10 erreurs possibles que vous pouvez rencontrer lorsque vous souhaitez communiquer avec une base de données.

Les erreurs courantes sont :
- Recherche par un NULL
- Jointure avec une condition
- Moins d'une valeur mais pas un NULL
- Jointure par un NULL
- Absence de NULL
- Tri avec des valeurs aléatoires
- Enregistrement arbitraire d'un groupe
- Première valeur d'un groupe
- Fonction IN séparée par des virgules
- Jointure avec une fonction COUNT

- 10 things in MySQL (that won t work as expected)
C'est la fin de l'assistance bon marché pour MySQL. Oracle, nouveau propriétaire du gestionnaire de bases de données depuis le rachat de Sun au début de l'année, a annoncé que le plan le moins cher débuterait désormais à 2 000 dollars américains, l'équivalent d'un service élevé chez Sun.

Exit, donc, le support standard à 599 dollars. Si cela risque de pénaliser les entreprises les plus faibles, tout le monde sera mis à contribution, puisque le plan le plus cher prévu par Oracle coûtera désormais 10 000 dollars, contre 4 999 du temps de Sun.

Cette hausse donne du grain à moudre aux adversaires d'Oracle, qui estiment que l'éditeur ne veut que rentabiliser des technologies qu'il n'a pas développées. La crainte pour le futur de MySQL est donc relancée, malgré les tentatives d'Oracle pour rassurer la communauté.

Cela devrait pousser certaines entreprises à se détourner encore plus de MySQL pour des systèmes de gestion issues du mouvement NoSQL (Not-only-SQL) par exemple, ou des forks comme MariaDB. Les startups et les petites entreprises ne pourront probablement plus se payer l'assistance officielle d'Oracle. Cependant, elles n'abandonneront peut-être pas pour autant MySQL, la décision d'Oracle risquant de stimuler le marché des entreprises spécialisées dans le support MySQL.

Oracle n'a pas fait de déclaration quant aux nouveaux tarifs, si ce n'est qu'ils seraient plus facilement personnalisables qu'avant. Cela dit, l'éditeur n'a jamais caché sa volonté de rentabiliser les technologies acquises chez Sun.
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