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le 07/12/2010 à 00:00
RV autour des traits
L'AFUP (L'association Française des Utilisateurs de PHP) lance un rendez-vous PHP le mercredi 15 décembre à « La Cantine » à Paris.

Ce rendez-vous gratuit, aura comme titre « Les Traits s'invitent dans PHP 5.4! ». Par rappel, le sujet « des traits » sera une des nouveautés de la prochaine version de PHP et le sujet commence a être abordé par quelques personnes à travers le web.

Concernant cet événement, les places sont limités et il est obligatoire de s'inscrire sur le site de l'évènement, pour être certain de pouvoir rentrer.

- Inscription et information : Les Traits s'invitent dans PHP 5.4
- Développement : PHP 5.4 alpha
Ces dernières 24 heures, le réseau Tumblr fut inaccessible pour l'ensemble de ses utilisateurs. Confuse, l'équipe explique via son blog officiel qu'une grappe de serveurs critiques n'a pas tenu le choc face à l'ensemble des internautes.

A mi-chemin entre le blog et le réseau communautaire, Tumblr recueillerait plus de 500 millions de pages vues chaque mois. 10,5 millions de blogs ont été créés soit plus de 1,7 milliard de billets. David Karp, fondateur et PDG de la startup, explique ainsi : « Honnêtement il fut bien plus difficile de faire face à notre croissance que nous le pensions », en ajoutant : "nous avons déjà presque quadruplé notre équipe d'ingénieurs ce mois-ci et continuons nos efforts pour nous parer contre d'autres erreurs comme celle d'aujourd'hui ». Ironiquement, l'équipe invite les internautes à consulter son flux Twitter lorsque son propre blog n'est plus accessible.

Parmi les aspects particulièrement populaires du réseau Tumblr notons la fonctionnalité "ReBlog" qui permet à l'utilisateur de republier le billet d'un autre blog tout en créditant automatiquement son auteur. Twitter, Yahoo! Meme ou encore Wordpress.com s'en sont d'ailleurs largement inspirés ces derniers temps. Le mois dernier, quelques utilisateurs de la communauté 4chan avaient d'ailleurs soulevé que plusieurs membres de Tumblr prenaient soin d'effacer les crédits et avaient menacé de mener une attaque de type DDoS contre le réseau. Rien n'indique cependant que la panne fut bien causée par un groupe de hackers.

Sans doute pour faire face à cette croissance fulgurante et pour palier à ces erreurs de connexion trop récurrentes, Tumblr a levé le mois dernier entre 25 et 30 millions de dollars auprès du cabinet d'investissement Sequoia Capital. La société envisage également de s'étendre à l'Hexagone et a notamment ouvert cet été en bêta une déclinaison française de son service.
La version T2 de Sparc, encore brandée Sun.[/lien]La cible est claire : avec le portage de la version Enterprise de sa distribution GNU / Linux sur sa puce pour serveurs Sparc, Oracle s'en prend à IBM et Hewlett-Packard (HP). L'enjeu est important, tant le marché des serveurs de haut niveau dédiés aux entreprises est vigoureux - et tant les marges générées sont intéressantes pour les IBM et HP.

« Nous pensons que le Sparc va clairement devenir la meilleure puce pour faire tourner le logiciel d'Oracle, » a expliqué Larry Ellison, le PDG de l'entreprise. « A partir de là, nous serions idiots de ne pas y amener Oracle Enterprise Linux. Nous sommes encore loin, mais je pense que ça va arriver. »

Pour l'instant, les clients d'Oracle ont le choix entre Solaris et Oracle Enterprise Linux sur les serveurs basés sur une architecture x86 seulement. Pour les systèmes utilisant la puce Sparc d'Oracle, seul Solaris est disponible. Selon Larry Ellison, la prise en charge de l'OS maison (Oracle Enterprise Linux est la distribution GNU / Linux historique chez Oracle, Solaris étant issu du rachat de Sun Microsystems) devrait être assurée pour la version T4 ou T5 de la puce Sparc.

Un an d'attente est donc encore à prévoir, Oracle ayant débuté la commercialisation de la version T3 de Sparc en septembre dernier. Or IBM et HP ont déjà de l'avance sur ce créneau, leurs clients pouvant déjà choisir des distributions UNIX ou GNU / Linux pour leurs serveurs haut-de-gamme. Chez Big Blue, les clients peuvent utiliser une distribution GNU / Linux, AIX ou le System i maison avec un seul hyperviseur sur les systèmes Power7.

Est-ce l'annonce de la fin de l'état de grâce pour Solaris ? Pas vraiment, en fait, et Larry Ellison continue à le considérer comme « le système d'exploitation de pointe dans le monde. Nous voulons que les clients pensent : "Dois-je utiliser Solaris ou Linux ?" Fin de la discussion. Nous ne voulons pas qu'ils se demandent : "Dois-je migrer de Sparc à Power, ou de Solaris à AIX ?" Nous voulons leur donner le choix au sein de notre propre famille de produits. »
le 06/12/2010 à 00:00
Mieux exploiter PHP 5.3
Don Denoncourt a publié sur le site de IBM une aide autour de 2 fonctions disponibles à partir de PHP 5.3. Ces 2 fonctions sont « Lambdas » et « closures », souvent associées car assez proche et mal utilisées.

L'article rentre en détails dans le sujet et montre les points suivants :
- Présentation Lambdas : simplet et rapide
- Utilisation Lambdas
- Les closures
- Le comportement des closures
- Utilisation dans une classe
- Forcer les fermetures

Par ailleurs, l'auteur met à disposition les fichiers exemples de l'article pour que vous puissiez tester rapidement.

- Leveraging PHP 5.3 s lambdas and closures
le 06/12/2010 à 00:00
Ecrire un Web service Partie 2
La partie 2 de l'article « Ecrire un web service en PHP » vient de paraître sur le site Design Folio.

L'article va se décomposer en plusieurs parties, qui seront :
- Définir les services de l’interface, par l’intermédiaire du WSDL
- Mettre en œuvre le service. Cela se fait avec le langage PHP.
- Déployer le service sur votre serveur Web

Vous découvrirez étape par étape l'ensemble des opérations à faire, pour installer votre propre service, illustrés avec des scripts exemples.

- Ecrire un Web service partie 2
Suite aux multiples critiques et pressions sur Wikileaks, les services informatiques clients du site suspendent un à un leurs contrats. Après Amazon, qui considérait que le portail d'informations de Julian Assange rompait ses conditions de service, Paypal invoque le même argument.Sur son blog officiel, le site Paypal explique : « Paypal vient de restreindre de manière permanente le compte utilisé par Wikileaks à cause d'une violation de notre politique d'utilisation, qui précise que les paiements ne peuvent pas être utilisés pour encourager, promouvoir, faciliter ou instruire les autres dans une activité illégale. Nous avons notifié cette décision au titulaire du compte ».

Après le service d'hébergement d'Amazon et EveryDNS.net, PayPal fait le dos rond. Concernant Amazon, le motif de rupture invoqué pour bouter Wikileaks hors du Cloud était une violation des termes du contrat. Par exemple, l'hébergeur explique qu'un client doit garantir qu'il détient bien la propriété du contenu qu'il publie et que cela ne cause aucun dommage à un personne ou administration…

Pour rappel, Joe Lieberman, sénateur indépendant américain a vivement critiqué la politique de Wikileaks. Il a même proposé des standards afin que les hébergeurs américains ne tombent pas dans la coopération avec de tels sites. Il a alors mis sur la table un projet de loi visant à créer un crime fédéral en cas de « publication d'informations concernant une source de l'Intelligence américaine ».

En France, c'est Eric Besson, le ministre de l'Economie numérique qui a demandé quels moyens il disposait afin d'empêcher l'hébergeur français OVH de collaborer avec Wikileaks. La société a décidé de saisir préventivement le juge des référés. En attendant, le site d'informations révèle les liens des 208 sites miroirs utilisés pour rediriger son contenu. Un moyen de mieux répartir la charge...
Coup de génie commercial ou folie ? Toujours est-il que Groupon, un spécialiste de la distribution de coupons de réduction en ligne, aurait refusé l'offre de rachat émise par Google. Une offre de 5,3 milliards de dollars.

Selon le Chicago Breaking Business, qui a révélé l'affaire, Groupon aurait préféré rester indépendant. Cette attitude pourrait sembler arrogante à bien des égards, mais Groupon a quelques arguments. D'abord, son chiffre d'affaires annuel est estimé à 2 milliards de dollars par All Things Digital - le chiffre généralement admis étant 500 millions de dollars. Ensuite, il n'a fallu que sept mois à Groupon pour devenir rentable. Forbes estime même que c'est l'entreprise à la plus forte croissance dans l'histoire.

De quoi résister, même face à Google, qui se verrait pourtant bien accélérer avec Groupon son emprise sur le marché de la publicité localisée. D'autant que ce marché semble s'activer, avec l'investissement de 175 millions de dollars d'Amazon dans LivingSocial, un concurrent direct de Groupon. Ce dernier fait-il donc monter les enchères, ou souhaite-t-il réellement rester indépendant ? Dans ce dernier cas, les rumeurs prêtent à Groupon des envies d'entrée en Bourse...
Après Place, Groups et prochainement Facebook Messages, le réseau social de Mark Zuckerberg a connu une nouvelle mutation le week-end dernier. Cette fois-ci, c'est le profil de l'utilisateur qui est directement concerné puisqu'une nouvelle version de ce dernier est accessible depuis ce week-end.

La nouvelle version du profil Facebook fait disparaître les onglets jusque-là présents en haut de la page, et fait passer les options de navigation sous la photo de profil, dans la colonne de gauche. Cette dernière a également été grandement épurée pour n'afficher que quelques fonctionnalités et les portraits d'amis, de façon aléatoire. Enfin, un petit résumé façon "curriculum vitae" fait son apparition sous le nom de l'utilisateur, en haut de page.

Un nouveau design qui, tout en allant à l'essentiel, renforce également l'aspect visuel du profil en mettant en avant les photos du membre et de ses amis. On note également que la colonne destinée à accueillir de la publicité s'est, au passage, considérablement élargie…

Ce nouveau modèle de profil ne sera pas imposé aux membres de Facebook avant un certain temps, mais il est d'ores et déjà possible d'y accéder en passant par la page consacrée à cette nouveauté. Attention, une fois la modification effectuée, impossible de revenir en arrière.
Suite à la communication massive de documents diplomatiques grâce au site Wikileaks, on découvre les avis des Etats-Unis ou encore de l'Espagne au sujet d'Hadopi. Jugée peu démocratique par certains, elle représente pour les ayants-droit un exemple à suivre…Ainsi, on apprend grâce à la lecture des câbles concernés et du Monde.fr que l'ambassade des Etats-Unis en France s'est intéressée de près aux débats suivant la loi Hadopi. L'Oncle Sam qualifie alors de « théâtre de l'absurde » les discussions entre députés sur le projet de loi. Un rendez-vous avec un conseiller juridique du ministre de la Culture leur aurait ensuite permis de comprendre la nature de la loi.

De leur côté, les ayants-droit américains (MPAA, RIAA), également en contact avec l'ambassade, considèrent la loi comme une « priorité très importante », un exemple à suivre…

L'ambassade des Etats-Unis à Madrid aurait même proposé aux espagnols de soumettre au vote un projet de loi similaire. Pourtant, fin 2009, les ministres espagnols de la Culture et de l'Industrie expliquent aux représentants ibériques qu'ils souhaitent mettre en place un système mais sous un « modèle espagnol » à savoir « plus démocratique ». Le choix du blocage des sites est alors mis en route. Une position jugée douce, loin des préconisations hadopiennes, ciblant directement l'utilisateur.

Enfin, Wikileaks nous apprend que la BSA (Business Software Alliance) souhaite faire abroger l'article 15 de la loi Création et Internet. Voté en 2006, ce texte oblige les éditeurs de logiciels de verrouillage à livrer leur code source. Les diplomates saluent donc la limitation de la portée de l'article depuis le vote de la loi Hadopi puisque le code source ne pourra être dévoilé que sur demande des autorités françaises, au cas par cas. Une manière de « laisser la mesure se languir » auraient indiqué l'ambassade…
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