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La mascotte de Firefox est-elle un renard de feu ou un panda roux ? Mozilla a récemment mis un terme à cet éternel débat en annonçant avoir adopté deux jeunes pandas roux, une espèce menacée. Les deux petites femelles sont nées le 14 juin 2010 au zoo de Knoxville, au Tennessee (USA).

Un site Internet créé pour l'occasion permettra d'en suivre les premiers pas pendant quelques mois. "Firefox Live" diffusera effectivement 24 heures sur 24 au travers de six caméras. La fondation donne rendez-vous aux internautes après chacun de leur repas, à 9 h, midi et 16 h heure locale (7 heures plus tard en France), périodes auxquelles ces pandas roux sont les plus actifs et les plus divertissants.

À l'heure du Web participatif, les internautes sont également mis à contribution pour leur trouver un nom. Une fiche décrivant leurs principaux traits de caractère peut d'ailleurs servir de source d'inspiration. On y apprend notamment que leur père s'appelle Chewbacca.

Mozilla y voit un moyen original de préserver la nature, en sensibilisant les internautes, tout comme elle préserve l'ouverture du Web. Toutes les informations concernant cette initiative sont accessibles depuis le site Firefox Live, sur lequel on devrait prochainement retrouver la diffusion en direct… en Flash !
En s'intéressant de près aux récentes activités de Twitter, certaines pistes peuvent être évoquées quant à l'avenir du site de micro-blogging. Jugé proche de l'environnement Twitter, le nom de domaine TwitterSearch.com pourrait être racheté prochainement.Twitter a donc tenté la manière forte pour s'emparer de ce nom de domaine. Le site a lancé une demande auprès de l'Icann afin pouvoir l'acquérir. La procédure dite de l'UDRP (Uniform Domain-Name Dispute Resolution Policy) permet à l'autorité de trancher en cas d'un éventuel enregistrement abusif d'un domaine afin d'éviter les situations de cybersquatting (utilisation trop proche d'un domaine reconnu).

L'Icann doit donc consulter le registrar et le propriétaire du domaine afin de connaître ses motivations. A l'heure actuelle, TwitterSearch n'est pas en service mais appartient à une personne depuis 2007, restée pour l'instant anonyme.

Toujours est-il que si l'oiseau gazouilleur n'arrive pas à montrer les dents, il pourrait opérer un rachat du nom de domaine afin d'éviter une éventuelle confusion dans l'esprit des internautes. Une nouvelle annonce à venir alors que récemment, le service de micro-blogging a lancé plusieurs informations concernant des développements futurs. Un service d'informations, un Analytics, un cadavre exquis…
Après sa fusion avec la plateforme de blogs Overblog puis l'intégration de la régie publicitaire eBuzzing, le groupe Wikio file la métaphore du média social en ouvrant une place de marché dédiée à la création de contenus, Wikio Experts. Le principe ? Recruter des "experts" en leur domaine, qui répondront à des appels d'offre portant sur la rédaction de textes sur un sujet donné, en échange d'une rémunération à base fixe, à laquelle s'ajoutera à terme une part de variable en cas de succès d'audience.

Financée par la publicité, et tout particulièrement par le lien sponsorisé, la plateforme doit permettre à Wikio de proposer à Google - et donc, à l'ensemble du Web - une réponse à toutes les questions qu'est susceptible de se poser l'internaute. Le groupe annonce une levée de fonds de 4 millions d'euros auprès de son actionnariat actuel, somme exclusivement dévolue à l'achat de « quelques centaines de milliers d'articles » qui viendront alimenter les différentes déclinaisons européennes de Wikio Experts.Demain, tous rédacteurs ?

Si les contributions spontanées sont les bienvenues, Wikio a d'ores et déjà dressé une liste de sujets proposée au travers de sa place de marché. Partagés entre une quinzaine de rubriques, ils visent à répondre à des problématiques bien concrètes. Celles que l'internaute peut rencontrer dans la vie tous les jours, mais aussi et surtout celles pour lesquelles aucune réponse pertinente n'est à l'heure actuelle proposée dans les premières pages de résultat de Google.

« Si vous vous intéressez aux dispositifs anti-aboiement pour chiens, vous allez essentiellement trouver des sites marchand sur Google, mais peu ou pas de contenus pertinents », prend comme exemple Frédéric Montagnon, cofondateur d'Overblog, pour illustrer la démarche. Au travers de Wikio Experts, on cherchera donc à recruter un internaute compétent sur le sujet, qui produira un contenu à même d'adresser la curiosité du quidam victime d'un animal de compagnie trop expressif. « On s'intéresse à la longue traîne », confirme Pierre Chappaz (Kelkoo, Wikio). Autrement dit, à tous les sujets entre lesquels il existe un rapport favorable entre intérêt des lecteurs et absence de contenus pertinents.

Et ces sujets, Wikio compte bien les identifier de façon précise : à l'aide d'outils publics tels que ceux que fournit Google (Trends), mais aussi à partir des technologies développées pour le moteur Wikio ou des statistiques remontant de la plateforme Overblog (11,4 millions de visiteurs uniques / mois en France selon Nielsen). « Aujourd'hui, nous surveillons 16 millions de mots clé », indique Frédéric Montagnon.Une écriture SEO compliant : optimisée pour Google

Le rédacteur d'un jour devra respecter un certain nombre de contraintes : titre imposé, répétition d'un certain nombre de mots clé associés à la thématique et longueur minimale ; l'idée étant ici d'obtenir un texte à même d'être référencé le plus efficacement par l'inévitable Google. Afin de garantir un certain niveau de qualité, Wikio teste ses rédacteurs sur un premier sujet libre, avant de leur donner le statut confirmé qui leur permettra de postuler à la rédaction rémunérée. Les articles resteront toutefois soumis à modération, notamment pour vérifier qu'il s'agit bien de contenus uniques.

Versées de façon automatique, via Paypal par exemple, les rémunérations s'échelonnent de 5 à 10 euros pour la plupart des articles. Pour certains, c'est un niveau de rétribution variable qui est proposé, avec par exemple 2,5 euros à la livraison, puis un maximum de 12,5 euros supplémentaires à venir au fil du temps, en fonction de l'audience générée et, bien sûr, des recettes publicitaires associées. Les participants seront réglés en droit d'auteur, comme le sont aujourd'hui les utilisateurs de la plateforme Overblog qui font appel à son programme de monétisation.Un Demand Media « à la française »

Cette idée d'une place de marché dédiée à la création de contenus éditoriaux n'est effectivement pas nouvelle. Le principal promoteur en est l'américain Demand Media (créé en 2006), dont la prochaine introduction en bourse pourrait porter la valorisation à une somme comprise entre 1,4 et 1,7 milliard de dollars selon certains analystes. Le modèle a depuis fait des émules, avec des initiatives telles que Associated Content (racheté par Yahoo en mai dernier pour 100 millions de dollars), Seed.com ou Suite101, qui s'est récemment lancé en France.

« Deux spécificités nous permettent de nous démarquer d'eux », commente Frédéric Montagnon. « La première, ce sont des technos très fortes que n'a pas Demand Media, au niveau de l'analyse sémantique par exemple. La seconde, c'est un parc de contributeurs extrêmement étendu. Nous avons par exemple 1,5 million de blogueurs sur Overblog, auxquels s'ajoutent 1,5 million de blogs indexés sur Wikio ». Ce riche panel produit déjà bien des contenus susceptibles d'être référencés et monétisés, qu'il suffirait de correctement agréger et mettre en forme.

Reste une question à même de faire frémir tout journaliste : peut-on vraiment acheter des contenus de qualité, à même de satisfaire la curiosité des internautes, à quelques euros la pièce, alors qu'existent déjà des millions de contenus encyclopédiques (Wikipedia) ou produits par des médias et supports spécialisés ? Difficile à croire à première vue, et l'on aura d'ailleurs vite fait de déceler des écrits un peu légers parmi les quelque 10 000 articles que propose déjà le site support, les-experts.com.Acheter le contenu au juste prix

Pour l'instant, aucun sujet n'est rémunéré plus de 15 euros, mais Wikio ambitionne à terme de fédérer de véritables experts - médecins, avocats, etc. - susceptibles de fournir des contenus à forte valeur ajoutée. « Un article comme "Comment renégocier son prêt immobilier" doit être écrit par quelqu'un qui connait le secteur, sinon ça n'est pas intéressant », explique Frédéric Montagnon. Et comme la thématique « prêt immobilier » est, sur la plateforme publicitaire de Google, associée à des mots clé particulièrement lucratifs, il devient envisageable d'acheter ce contenu quelques dizaines, voire centaines d'euros.

Derrière cette mécanique un brin complexe au premier abord réside une logique on ne peut plus simple : payer un article au juste prix, celui-ci n'étant pas déterminé par le postulant mais régi par les revenus potentiels. A partir du moment où la mécanique s'enclenche, il devient donc possible de payer plus cher un contenu prometteur. Ainsi, la qualité viendrait avec la rentabilité, quelques centaines de contributeurs suffisant alors à produire le haut du panier en matière d'articles à forte valeur ajoutée.

Reste à amorcer la pompe. Pour ce faire, Wikio vient de procéder à un nouvel investissement via ses actionnaires actuels - parmi lesquels les fondateurs, Lightspeed Ventures, Gemini ou TF1 - portant sur un montant de 4 millions d'euros. « Si la rentabilité du modèle est confirmée, nous lèverons à nouveau des fonds en 2011 pour assurer le développement européen », confie Pierre Chappaz. Montant avancé : entre 20 et 30 millions, histoire de vraiment « devenir le Demand Media européen ».

Pour l'instant, Wikio n'ambitionne toutefois pas de faire de son portail une marque, au sens média du terme. Plutôt que de développer des sites verticaux (spécialistes d'une thématique donnée), la base a donc vocation à rester horizontale et donc à embrasser le plus de sujets possibles. La dimension média n'est cependant pas laissée de côté. Au lieu d'être développée en propre, elle sera assumée par des partenaires, qui exploiteront les contenus Wikio sous leur propre marque. Le premier bénéficiaire en sera TF1, qui alimentera de textes made in Wikio des sites tels que Plurielles.fr (féminin) ou Excessif.com (actu ciné), puis rétrocédera une partie des recettes publicitaires ainsi générées. D'autres partenariats du même type sont d'ailleurs déjà en cours de négociation, histoire de « créer une nouvelle économie de fabrication du contenu » qui, si elle s'impose, ne sera pas sans conséquences sur les modèles actuellement en vigueur.
Bien qu'étant de nationalité russe, Oleg Nikolaenko, appelé aussi Mega-D ou Ozdok a été arrêté à Las Vegas. Il est accusé par les autorités américaines d'être responsable, via un botnet, de l'envoi de pas moins d'un tiers des spams au niveau mondial. Sur ces chefs d'accusation, il a plaidé non-coupable.Nikolaenko, 23 ans, aurait ainsi envoyé 10 milliards de pourriels par jour lorsque son commerce tournait à plein régime. Le botnet qu'il utilisait regrouperait alors jusqu'à un demi-million d'ordinateurs. Selon le FBI, ce serait un de ses clients qui lui aurait donné des informations permettant de procéder à son arrestation.

En attendant son jugement, ce spammeur présumé est en détention. Il risque jusqu'à 3 ans de prison dans les geôles de l'Oncle Sam. Le juge Erica O'Neil a même demandé à ce qu'aucune caution ne soit demandée histoire que ce jeune russe ne puisse pas quitter les Etats-Unis…
le 05/12/2010 à 00:00
Les Alias des réseaux Sociaux
Si vous utilisez les réseaux sociaux ou des sites de partages (vidéos, photos...), vous devez avoir vu l'existence d'une nouvelle forme d'URL. Il s'agit d'alias qui vont ensuite pointer sur une page HTML ou PHP.

Il existe plusieurs sites qui proposent ce genre de services (bit.ly, tinyurl.com), mais ce qui va vous intéresser c'est de gérer vous même cette nouvelle forme d'URL.

Le site 'La Ferme du Web' propose un ensemble de tutorial pour gérer votre propre service à partir du script YOURLS. L'article se décompose en plusieurs parties : Installer et configurer YOURLS Utiliser son shorturlPour aller plus loin avec YOURLS.

- Tutorial YOURLS : créer son propre service d URLs raccourcies
le 05/12/2010 à 00:00
HES2011
HES (Hackito Ergo Sum) annonce sa conférence HES2011 qui se déroulera du 7 au 9 avril 2011 à Paris.

L’événement rassemblera la scène émergente du hacking planétaire, soutenue par un comité de programme hors pair. 

Cette édition sera exceptionnelle car de nombreux acteurs mondiaux effectueront le déplacement.Un communiqué est disponible pour connaître toutes les informations.

- Hackito Ergo Sum annonce HES2011
le 04/12/2010 à 00:00
Générer des Accesseurs et Mutateurs
Le blog Yann.info montre une manière d'améliorer la productivité dans vos développements en PHP avec Eclipse PDT.

Il nous explique que pour générer les Accesseurs et Mutateurs (getter et setter), le langage Java utilise cela nativement lorsque vous souhaitez utiliser les classes.

Cependant, en PHP, pour l'obtenir la même chose, vous devez réaliser quelques opérations manuelles comme des Mises à jours, configurations....

Il propose un ensemble de liens nécessaire pour vous permettre d'obtenir les mêmes avantages.

- Générer les Accesseurs et Mutateurs (getter et setter) en PHP avec Eclipse PDT
le 04/12/2010 à 00:00
Logiciels libres Décembre 2010
L'April vient de publier le catalogue libre 2010. Il s'agit d'un catalogue regroupant un ensemble d'outils libres qui sont utiles dans vos différentes réalisations et utilisation de l'informatique.

Ce catalogue propose différents thèmes qui sont :
- La bureautique
- Le multimédia et le graphisme
- L'éducation
- Les Réseaux et l'internet
- Le logiciel libre et ses enjeux

Chaque thème propose plusieurs logiciels incontournables, et pour chacun d'eux, vous découvrirez une capture écran, une notice descriptive du logiciel et quelques informations importantes à connaître.

Ce catalogue est disponible en version PDF téléchargeable, mais si vous le souhaitez vous pouvez en obtenir une version papier (exclusivement sur commande).

- Catalogue libre 2010
Google a annoncé vendredi soir l'acquisition de son compatriote Widevine, spécialiste des solutions techniques de diffusion et de protection des contenus vidéo via Internet, que ce soit à destination des ordinateurs, des téléphones mobiles ou des appareils d'électronique grand public connectés au réseau.

Au coeur de l'offre Widevine, protégée par une soixantaine de brevets, on trouve une solution baptisée Multiplatform DRM, capable de gérer aussi bien l'identification des contenus (watermarking) que leur distribution sécurisée via chiffrement, sans oublier toutes les problématiques de type CAS (conditionnal access, soit la gestion des licences temporaires ou la prise en compte des accès conditionnés, par exemple, à la détention d'une carte à puce).

Fort de cette acquisition, Google deviendra rapidement un acteur incontournable sur le marché de la distribution des contenus vidéo dématérialisés : les solutions Widevine sont en effet employées par les plus grands noms du secteur : opérateurs (AT&T, Deutsche Telekom), acteurs de type over the top (Netflix, VOD BestBuy), fabricants de téléviseurs (Toshiba, LG, Samsung) ou diffuseurs traditionnels (NBC). Les solutions Widevine sont également compatibles PC, Mac, iPhone ou Android.

« Nous nous engageons à maintenir les accords déjà passés par Widevine et nous fournirons un support direct et de qualité à leurs clients actuels et futurs - et nous prévoyons de capitaliser sur la technologie de Widevine pour améliorer leurs produits et les nôtres », indique Mario Queiroz, vice président en charge de la gestion produit chez Google.

Récemment arrivé dans les salons américains par l'intermédiaire de sa Google TV, motorisée par Android, le numéro un mondial de la recherche en ligne ne disposait jusqu'ici d'aucune solution de bout en bout permettant d'assurer la distribution sécurisée de contenus vidéo, à l'exception des technologies déployées sur son portail vidéo phare, YouTube. La plus fameuse d'entre elles, ContentID, qui doit permettre de détecter de façon proactive les contenus protégés par le droit d'auteur mis en ligne par les internautes, ne permet pour l'instant pas à Google de se soustraire aux plaintes des ayant-droits.

Les actifs de Widevine devront donc permettre à Google de se rapprocher des éditeurs et producteurs de contenus, qu'il s'agisse des réseaux de télévision ou des studios, en leur assurant d'un côté une protection efficace du droit d'auteur via ses plateformes en ligne (un sujet sur lequel le moteur a cette semaine pris de nouveaux engagements) et, de l'autre, une proposition de valeur rassurante, susceptible de les amener à accepter autour de ses projets en matière de télévision connectée. Le montant de la transaction n'a pas été communiqué.
le 03/12/2010 à 00:00
WePloy
WePloy est un outil de déploiement, utilisé par la société WePlay. Celui-ci est réalisé en PHP et publié Rasmus Lerdorf. Cet outil peut être utilisé pour déployer n'importe quel type de projet PHP.

Un communiqué autour de l'outil est présenté pour vous montrer comment l'utiliser et le configurer sous la forme d'une document technique et aussi vidéo.

- Présentation WePloy
- Télécharger WePloy
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