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Depuis que Microsoft a dévoilé Silverlight en mars 2007 pour empiéter sur le marché de l'animation en ligne détenu par Adobe Flash, les discussions vont bon train chez les développeurs au sujet de la puissance des deux technologies. Clubic s'est intéressé au sujet et, en contactant simplement les deux éditeurs et deux agences de développement web françaises, a tenté de mettre en perspective les différentes approches, sans prétendre à l'exhaustivité quant aux mérites comparés de ces deux technologies. Quels arguments utilisent les partisans de l'une ou l'autre ? De quelle manière l'arrivée de Silverlight a-t-elle été perçue par certains Flashers ?

Lancé en 1996 par Macromedia, Flash est aujourd'hui la solution la plus répandue pour diffuser du contenu multimédia sur un site Internet. Cet environnement de développement, basé sur le langage ActionScript, est largement lié au logiciel d'édition d'Adobe Flash Professionnel CS. De son côté, l'internaute visualise le contenu publié au travers du lecteur Flash Player. Le 16 octobre dernier, Adobe a lancé la 10e version du lecteur, lequel permet d'animer un objet en 2D dans environnement tridimensionnelle, d'appliquer des filtres en temps réel ou d'obtenir une meilleure prise en charge des caractères textuels. En parallèle, Adobe développe et propose une série d'outils autour de Flex,un environnement d'exécution basé sur l'emploi de composants XML, du langage ActionScript et d'interfaces en Flash.Non content de dominer le marché des systèmes d'exploitation et des navigateurs, Microsoft a développé sa propre solution pour concurrencer Adobe et tirer parti des dernières technologies web. Silverlight est une plateforme basée sur .NET Framework permettant de véhiculer le même type de contenu que Flash ainsi que de développer des applications Internet riches. Avec la version 2.0 de Silverlight, sortie le 14 octobre 2008, Microsoft convoite le marché des diffuseurs professionnels avec notamment une infrastructure DRM basée sur la technologie PlayReady.

Popularité et part de marché

Selon une étude menée par Adobe et publiée en juin 2008, Flash Player atteindrait une part de marché d'environ 99,1% aux États-Unis et 98,5% en Europe. Une couverture très large, favorisée par le caractère multi-plateforme de Flash, qui suscite évidemment l'intérêt des professionnels. Parmi ces développeurs spécialisés, Érik Guittière est DFO (Developer Front Office) Flash au sein de l'agence FullSIX . Ce dernier insiste sur le fait que Flash domine de loin le marché : "on peut supposer que le lecteur Silverlight aura un taux de pénétration suffisant vers 2010/2012 mais d'ici là, cela me semble insensé de développer un contenu en Silverlight si on souhaite toucher une large cible.". Pour M Guittière, les choses sont claires : "selon moi, Silverlight versus Flash, c'est le néolithique versus l'ère moderne !".

De son côté, le 13 octobre dernier, à la sortie de Silverlight 2.0, Microsoft avait annoncé que le lecteur aurait atteint un taux de pénétration de 50% dans certains pays. Plus globalement, Thomas Lucchini, chef de produit Plateforme chez Microsoft France nous confie que d'une manière générale, environ 1 poste sur 4 serait pourvu du plugin.

Usage et développement

La prise en main des outils de création est aussi sujette à de nombreux débats. En effet, si les designers ont pris leurs repères avec Adobe Flash Professionnel CS, les développeurs logiciel seront quant à eux plus à l'aise au sein de l'environnement Visual Studio.

Thomas Lucchini explique qu'avec la suite Expression, et plus particulièrement le logiciel Blend, la société met à disposition des outils de développement web classiques. "Il est possible d'avoir deux interfaces pour un même projet sur lequel collaborent le graphiste et le développeur […] Cela permet de sortir un projet plus rapidement.".

Toufik Lerari, directeur de l'agence Tequila Rapido, qui a notamment pris en charge le développement de la plateforme vidéo de France Télévision sur Silverlight, avoue avoir été perplexe lorsque Microsoft leur a présenté sa technologie. Depuis dix ans, la société commercialisait des sites développés en Flash. Puis, il explique qu'au final le travail de collaboration au sein de Tequila Rapido a bel et bien été bousculé avec Silverlight. Alors que "Flash est monoposte ", les développeurs de Silverlight travaillent de manière effective en parallèle sur un même projet. " C'est un vrai gain de production".

Ingénieur système chez Adobe France, Thibault Imbert souligne que même s'il ne s'agit que d'une poignée d'utilisateurs, les produits de la suite Expression ne sont pas compatibles avec le système d'exploitation Mac OS X avant d'ajouter que "Flash propose des outils mieux adaptés aux designers souhaitant créer des sites Internet attractifs". Cet argument est d'ailleurs repris par Érik Guittière qui affirme que si le point fort de Silverlight est la prise en charge de plusieurs langages de programmation, il en devient alors "un outil rébarbatif pour les designers [...] et s'adresse en premier lieu aux développeurs "purs" qui l'aborderont comme une curiosité sympathique".

Puissance de développement

Chez Microsoft on explique que la première motivation avec Silverlight réside véritablement dans volonté de porter la puissance de .Net au sein du navigateur. Ainsi contrairement à Flash qui n'utilise qu'un seul langage particulier, Silverlight permet d'interpréter du contenu développé aussi bien en C# qu'en Visual Basic ou en Ruby, et ce, même au sein du logiciel d'édition gratuit Visual Web Developer Express Edition.

Chez Tequila Rapido, c'est véritablement la souplesse de manipulation de l'objet vidéo qui semble avoir conquis les développeurs. "nous avons mis seulement trois semaines ou un mois pour le développement de la plateforme dédiée à la retranscription des J.O sur France Télévision " déclare M. Lerari.Face à cet argument, Thibault Imbert estime que l'un des points forts de Flash face à Silverlight est surtout la prise en charge des échanges avec le serveur. "Le protocole d'échange AMF est optimisé et compressé alors que Silverlight utilise une communication standard en XML ou HttpRequest" explique-t-il. Par ailleurs, selon lui, si beaucoup de développeurs se rendent compte des outils prometteurs au sein de Silverlight, ils sont aussi très nombreux à être déçus par les fonctionnalités d'intégration web qui seraient moins poussées que sur Flash. La montée en puissance de Flex, environnement d'exécution complet, permet en outre à Adobe de répondre aux besoins des développeurs "purs et durs".

Au final, dans ce débat de fond, tous s'accordent à penser que Silverlight est en phase d'adoption. Pour certains il s'agit d'un handicap en terme d'audience, pour d'autres, d'une belle promesse d'avenir. Tous, Adobe y compris, reconnaissent que l'arrivée de Microsoft sur ce marché stimule la concurrence tout en joignant deux mondes: les designers et les développeurs.
Hasard du calendrier ? Alors que Microsoft vient de rendre accessible la version finale de Silverlight 2.0, Adobe annonce cette semaine la mise à disposition du lecteur Flash Player 10. Proposé aussi bien pour les environnements Windows et Mac que Linux, cette nouvelle mouture du lecteur Flash introduit un certain nombre de nouveautés, allant d'un codec audio open source multi-canal à la prise en charge de la 3D en passant par l'utilisation de la puissance de calcul des cartes graphiques pour le rendu des animations et vidéo.

Elément clé de la stratégie d'Adobe en matière d'applications Internet enrichies (RIA), Flash 10 introduit une technologie baptisée Pixel Bender - utilisée dans After Effects CS4 - qui permet d'appliquer simplement des filtres et des effets sur une image ou une animation. L'éditeur évoque par ailleurs la prise en charge d'effets 3D, grâce auxquels il devrait être possible de modifier et d'animer au sein d'un environnement en trois dimensions une image initialement conçue en 2D. Dans ces deux cas, l'utilisateur devrait profiter d'une accélération matérielle de l'animation, de façon à limiter l'appel aux ressources processeur.

Du côté de l'audio, Adobe annonce la prise en charge du codec open source Speex aux côtés de ceux qui étaient déjà gérés par Flash 9, et évoque la possibilité d'associer plusieurs canaux sonores à une animation en 3D, de façon à ce que le son retranscrit par une animation dépende du point de vue adopté par l'utilisateur. Afin d'améliorer la lisibilité du texte au sein des animations Flash, ou des sites Web faisant appel à sa technologie, Flash 10 intègre en de nouvelles options typographiques, censées améliorer entre autres le support des langues orientales et optimiser le moteur d'anti-aliasing (lissage des caractères) de façon à limiter l'occupation mémoire.

L'éditeur met enfin l'accent sur les capacités améliorées de Flash 10 en matière de diffusion en direct et en continu, avec la possibilité d'adapter le flux aux contraintes inhérentes à l'encombrement du réseau, l'ajout de nouvelles interfaces de programmation dédiées à la gestion de fichiers envoyés ou téléchargés par l'utilisateur, ou la prise en charge de nouvelles données vectorielles.

Alors que Microsoft met avec Silverlight l'accent sur la prise en charge du framework .NET, de nombreux contrôles intégrés ou l'intégration de la technologie Deep Zoom (qui permet de naviguer au sein d'une image de résolution extrêmement élevée avec une parfaite fluidité, pour peu que la connexion Internet suive), Adobe a assuré mercredi lors d'une conférence téléphonique que Flash 10 disposait d'atouts supérieurs à ceux de son récent concurrent. Et si Microsoft est à la recherche de partenaires médias, susceptibles d'adopter Silverlight pour diffuser leurs contenus et populariser sa technologie, Adobe joue la force tranquille, en expliquant que Flash touche 98% des ordinateurs connectés à Internet. Reste maintenant à voir quel usage feront les développeurs de ces deux technologies.
Adobe vient de publier une méthode pour permettre aux internautes d'éviter d'être victime d'un style d'attaque particulier : le clickjacking.

Jeremiah Grossman, Chef des opérations techniques de WHitman Security explique que le clickjacking est est un procédé par lequel le hacker trompe l'utilisateur en le faisant cliquer sur un élément de la page à peine visible. Le hacker place un objet malicieux dans le code HTML de la page et, pour que cet objet puisse être cliquable, il rajoute un cadre ou un bouton en Flash, JavaScript ou Silverlight. Certaines pratiques du clickjacking font usage d'une feuille CSS particulière ou d'un cadre en Ajax pour déguiser leur piège.

Adobe informe donc qu'il faut se rendre dans les paramètres du lecteur Flash Player pour choisir l'option Toujours refuser afin que le site Internet ne puisse accéder à votre webcam ou votre microphone.

D'ailleurs, Guy Aharonovsky a publié une vidéo de démonstration dans laquelle il simule une page truquée qui prend le contrôle de la webcam de l'utilisateur. Le clickjacking concerne une large majorité d'internautes puisqu'il est potentiellement dangeruex pour les utilisateurs d'Internet Explorer, de Firefox, d'Opera, de Safari, et de Google Chrome. les utilisateur de Firefox peuvent cependant installer le plug-in NoScript et le régler pour que les iframes soient bloqués.

Grossman conclut : "le clickjacking est un problème très connu mais largement sous estimé et bien réel ".
En marge des logiciels de partage peer-to-peer, certains pirates ont concentré leurs efforts sur une faille de sécurité du serveur d'Adobe Flash afin de capturer le flux de lecture des films.

Plusieurs distributeurs de vidéo à la demande, tels que Amazon, CBS.com ou NBC.com utilisent le logiciel Adobe Flash Server afin d'encoder leurs films au format Flash pour les proposer ensuite aux Internautes via une formule de souscription. Cependant, le logiciel ne chiffre pas la vidéo et ne se contente que de proposer des boutons de lecture (lecture, pause...). Aussi, afin d'accélérer le téléchargement flux de lecture, Adobe a choisi de ne pas sécuriser la connexion entre le logiciel et l'utilisateur.

Face à ce problème, Adobe a déployé au début du mois une mise à jour du lecteur afin de corriger la faille et, selon un porte-parole, la société aurait mis en place une technologie de chiffrage afin d'enrayer l'enregistrement des flux au travers du lecteur d'Adobe. Pourtant, selon Reuters, certains outils permettant de capturer le flux vidéo, tel que le logiciel Replay Media Catcher de Applian Technologies, fonctionnent toujours. Bill Dettering, PDG de Applian affirme: "le flux d'Adobe n'est pas réellement sécurisé. Au sein du logiciel, l'une de leurs erreurs est que l'on peut capturer les flux. ". En plus d'enregistrer le film, le logiciel propose aussi de séparer les publicités dans un dossier distinct afin d'éviter toute coupure indésirable.

Alors l'exploitation du flux de lecture serait-elle la nouvelle bête noire de l'industrie cinématographique? Pas sûr. En effet, selon l'analyste James McQuivey du cabinet Forrester Research "pour la plupart des utilisateurs, c'est trop compliqué [...] les gens veulent du contenu que l'on peut trouver facilement et regarder simplement". Mais ce n'est pas l'avis de tout le monde. Reuters rapporte les propos de Brian Baker, directeur de Widevine, une plateforme permettant de proposer plusieurs formats d'encodage pour les services de VoD : "le problème fondamental c'est que le manque de technologie d'Adobe ne permet pas de garantir le modèle économique actuel."
Après avoir dévoilé la RC1 de Flash 10 le 13 août dernier, Adobe a mis en téléchargement une nouvelle Release Candidate de Flash Player 10. Cette nouvelle mouture corrige un certain nombre de bugs comme l'optimisation du mode plein écran sous Linux ou l'impression vectorielle sous Mac OS X

En plus d'un ensemble de correctifs et d'optimisation, cette dixième mouture permettra d'animer un objet 2D dans un environnement tridimensionnel (zoom, rotation...). L'utilisateur pourra aussi appliquer des filtres en temps réel à partir du lecteur. Les développeurs auront la possibilité de coder ces filtres dans un nouveau langage baptisé Pixel Bender et de les intégrer directement au lecteur Flash. Notons aussi que l'affichage des caractères textuels sera amélioré grâce à une palette d'outils typographiques. Aussi, le support multi-national permettra d'écrire de droite à gauche ou de haut en bas.

Pour en savoir plus rendez-vous ici
le 12/09/2008 à 23:18
Adobe Flash Media Encoding Server
Originellement développé par Macromedia, Flash est resté le format vidéo de référence sur Internet pendant des années. Cependant, en 2007, Microsoft a introduit Silverlight, une nouvelle technologie basée sur le .Net Framework 3.0 qui permet non seulement la lecture de contenus multimédias mais aussi la mise au point d'applications Internet enrichies. De son côté Adobe a dévoilé AIR, un moteur d'exécution se couplant à la technologie FLEX pour le développement d'applications web. Afin de freiner l'adoption massive de Silverlight pour la diffusion de contenu video, Adobe a présenté cette semaine Flash Media Encoding Server.

Si avec l'actuel Adobe Flash Server, les compagnies peuvent proposer à leur visiteurs du contenu vidéo en streaming, Flash Media Encoding Server permettra aux visiteurs de facilement encoder une vidéo Windows Media, MPEG-4 ou H.264 au format FLV ou F4V, lesquelles pourront par la suite être diffusées au travers du lecteur Flash.

Laurel Reitman, chef produit de Flash Media Server affirme : "Flash est le format le plus populaire pour la diffusion de vidéos sur Internet [...] Pour les clients ayant songé à utiliser Silverlight pour leur vidéos encodées au format WIndows Media, ce produit facilitera leur migration vers Flash."

Flash Media Encoding Server devrait être proposé fin 2008 pour 6000 dollars.
D'abord dévoilé sous le nom de d'Appolo, Adobe Air (Adobe Integrated Runtime) est sortie en première bêta en juin 2007 afin de permettre aux développeurs de créer leur applications Internet enrichies (RIA). En surfant sur la vague 2.0 et les technologies web telles que xHTML, le JavaScript, Flash ou Flex, Adobe avait pour ambition de dévoiler un cadre sur lequel les applications seraient compatibles sur l'ensemble des systèmes d'exploitation et donc, sur tous les ordinateurs.

Peu de temps après la sortie officielle d'Adobe Air, la compagnie annonce que le logiciel a été installé 25 millions de fois à travers le monde et serait utilisé aussi bien par les grandes société que les start-ups. L'application eBay Desktop aurait enregistré 1 millions de téléchargements.

Michele Turner, vice-président de l'unité Business chez Adobe affirme : "Seulement six mois après sa sortie, nous observons déjà la création d'un tout nouvel écosystème avec une base croissante de développeurs web qui découvrent de nouvelles façons de créer de fascinantes applications en utilisant Adobe AIR [...] C'est intéressant de voir l'adoption d'applications AIR au sein des réseaux communautaires, des distributeurs de médias et même dans les entreprises."
La prochaine version majeure du célèbre lecteur d'Adobe est en approche, la Release Candidate 1 de Flash Player 10 nom de code Astro a effectivement été publiée hier. Cette dixième version apporte un grand nombre de correctifs, d'optimisations et de nouvelles fonctionnalités.

Parmi celles-ci notons l'apparition d'effets 3D natifs qui permettent de transformer et d'animer n'importe quel objet 2D dans un environnement tridimensionnel. Le rendu du texte est amélioré par l'intégration d'options typographiques qui améliorent entre autres le support des langues orientales ansi que par l'optimisation du moteur d'anti-aliasing qui devrait désormais occuper moins de mémoire.

Adobe aurait beaucoup travaillé sur l'optimisation de son gourmand lecteur. Celui ci est dorénavant capable de tirer parti de l'accélération graphique, déchargeant le processeur dans le décodage des vidéos par exemple. Linux n'est pas en reste puisqu'un grand nombre d'améliorations lui sont destinées, comme le tout nouveau support de l'API Video4Linux 2 prenant en charge les webcams.

Flash Player 10 RC1 est disponible pour Windows, Mac OS X et Linux dans toutes les langues supportées par la précédente version. Le téléchargement et l'obtention de plus amples informations se fait dans les laboratoires d'Adobe. L'animation de démonstration de Flash Player 10.
Note de l'auteur :

Dans cet article, je vais vous montrer comment construire un uploader d'images avec Adobe AIR, Javascript et HTML. Mon premier exemple sera le chargement d'un fichier. Puis, en se basant sur cet exemple, nous allons voir comment télécharger un groupe de fichiers. Et je finirais en affichant la liste des fichiers actuellement disponibles sur le serveur, après leur téléchargement.

Jack Herrington s'attaque au problème classique des téléchargements d'images, si populaires auprès des utilisateurs, mais tellement inefficaces en HTML.

- Desktop Image Uploaders Using Adobe AIR and JavaScript
Adobe annonce la sortie de la version bêta de Flash Player 10 (nom de code Astro). Présenté pour la première fois à l'Adobe Max 2007, Flash Player 10 inclut plusieurs nouveautés. Les possibilités d'affichage de texte se voient tout d'abord améliorées : le nouveau moteur de rendu prend en charge les langues bi-directionnelles et les écritures telles que l'arabe, l'hébreu et le thai. De nouvelles bibliothèques permettent quant à elles de gérer l'affichage multi-colonnes (avec possibilité de faire couler le texte automatiquement d'une colonne à l'autre) , les tableaux ou l'habillage du texte.

Flash Player 10 offre également des possibilités intéressantes au niveau des effets : le lecteur permet l'application facile d'effets 3D (zoom, rotation...) et de filtres en temps réel à des élements tels que des images ou des clips vidéo. Les développeurs ont la possibilité de créer leurs propres filtres à intégrer à leurs applications grâce à un nouveau langage, Pixel Bender (anciennement connu sous le nom de code Hydra). Après l'avoir installé, vous pouvez visualiser une démonstration des possibilités sur cette page.

- Télécharger Flash Player 10 beta pour Windows et Linux
- Télécharger Flash Player 10 beta pour Mac OS X
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