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Ambitieuse réécriture d'une technologie implémentée, selon Adobe, sur 95% des PC connectés à Internet dans le monde, la version 10.1 du composant Flash Player est désormais disponible au téléchargement dans sa version finale pour Windows, Mac OS et Linux. Au programme de cette nouvelle mouture, on trouve principalement la prise en charge de l'accélération matérielle des vidéos encodées en H.264 à l'aide de la carte graphique, même si cette dernière est pour l'instant réservée à Windows. Adobe signale par ailleurs avoir procédé à la correction de la vulnérabilité récemment découverte au sein de son logiciel.

Avec Flash Player 10.1, l'éditeur promet également une gestion plus intelligente des ressources du système, avec une consommation de mémoire vive revue à la baisse, la possibilité de libérer automatiquement cette dernière en cas de saturation et une modulation plus fine des priorités au niveau du processeur, afin que l'utilisateur ne voit plus son navigateur ou son système gelé par Flash comme on a pu parfois le déplorer sur les déclinaisons antérieures.

Entre autres nouveautés, Adobe signale également une amélioration des capacités en matière de streaming, avec par exemple un bitrate vidéo évoluant en fonction de la qualité de la connexion (techno connue sous le nom de smooth streaming au sein du Silverlight de Microsoft), la prise en charge du multicasting - streaming depuis plusieurs sources, sans oublier un niveau système de mise en cache (buffering) devant autoriser une navigation plus aisée au sein d'un contenu vidéo.

Flash Player 10.1 est par ailleurs accompagné de nouvelles interfaces de programmation (API) dédiées à ActionScript 3 qui doivent faciliter la mise au point d'interfaces tirant parti des écrans tactiles multipoints, un point sur lequel Adobe avait été critiqué par Steve Jobs dans sa lettre ouverte à propos de Flash. Le logiciel se veut enfin respectueux des différents modes de navigation privés que proposent les navigateurs modernes. Pour l'instant, la prise en charge de WebM, le nouveau conteneur vidéo soutenu par Google et Mozilla, ne semble pas de la partie, en dépit du soutien qu'avait affiché Adobe au projet.

La sortie de Flash 10.1 s'accompagne de la mise en ligne de la version 2.0 de l'Adobe Integrated Runtime (AIR), qui permet de faire fonctionner des applications Flash / Flex en dehors du navigateur.

On pourra télécharger Flash 10.1 depuis le site d'Adobe. Comptez 2,45 Mo pour la version Windows et 7,44 Mo pour Mac OS X.
Sous le feu de la critique depuis plusieurs mois, le logiciel Flash d'Adobe est victime d'une nouvelle faille critique, rendu publique il y a tout juste quelques jours. Cette faille permet de provoquer un plantage du système pouvant entrainer sa prise de contrôle à distance. Toutes les versions courantes de Flash sont affectées par cette vulnérabilité, tout comme d'ailleurs Adobe Acrobat. Déjà exploitée, cette faille 0-day pose un vrai problème de sécurité qu'Adobe compte régler dès ce jeudi, en avance donc sur son cycle habituel de mise à jour.

Il est à noter que seul Flash bénéficiera d'une mise à jour ce jeudi, Adobe ayant choisi de proposer son correctifs pour le logiciel Acrobat le 29 juin prochain. La mise à jour pour Flash sera donc disponible demain, le 10 juin. Il est à noter que la version Beta de Flash 10.1 n'est pas affectée par ce problème de sécurité.
La sécurité informatique ne connaît pas de trêve. Alors que le patch de sécurité de Microsoft de ce mois de juin promet d'être bien dodu, cette fois, c'est Adobe qui explique être victime d'une faille critique. Les trois produits Flash, Reader et Acrobat sont touchés dans leurs versions Windows, Mac, Linux et Solaris.

L'éditeur a donc fourni un bulletin d'alerte afin d'expliquer que la faille était déjà exploitée et qu'elle était déjà présente dans plusieurs versions de Flash (10.0.45.2 et antérieures) mais également d'Acrobat et Reader 9. Pour autant, Flash 10.1 et Acrobat 8 ne sont pas touchés.

La faille permettrait de pouvoir mener une attaque de type DoS (déni de service) afin de prendre à distance le contrôle d'un poste. Pour autant, une parade existe sur Flash Player. Il est possible d'installer la récente version 10.1, qui en est à sa version RC7 (proche de la version finale), et qui n'est pas affectée par cette vulnérabilité.

A la loupe, la vulnérabilité sur Adobe Reader et Acrobat touchent les environnements Windows mais aussi Macintosh et les systèmes UNIX, ou la vulnérabilité critique vient du fichier authplay.dll. Pour autant, aucun correctif n'est encore programmé à ce jour...
Après avoir dévoilé Flash 10.1 sur la version 2.2 du système Android, voici désormais un kit de développement pour Adobe AIR. L'Android Market devrait donc s'enrichir de nouvelles applications écrites en ActionScript et compilées pour fonctionner nativement sur les smartphones.

Initialement destiné à Windows, Mac OS X et Linux, Adobe AIR permet d'écrire des Applications Internet Riches. Ces dernières sont ainsi en mesure d'intégrer des interfaces de programmation de services Internet (Facebook, Twitter) tout en communicant avec les composants de l'ordinateur (webcam, explorateur de fichiers...). En ce sens Adobe AIR s'apparente à Silverlight.

La publication d'un kit de développement sur Android devrait donc permettre de déployer des applications spécialement conçues pour les usages Internet tout en tirant parti de l'appareil photo, le GPS ou encore la mémoire du téléphone. Pour le développeur, cela simplifie également portage d'un logiciel Adobe AIR existant puisqu'il ne suffira que de le recompiler pour créer un fichier APK. Enfin, si Adobe n'a pas réussi à imposer Adobe AIR sur iPhone, la présence de cet environnement sur plusieurs systèmes mobiles facilitera également le déploiement d'une application sur différents éco-système ; cette dernière ne devra être écrite qu'une seule fois. Enfin, cette homogénéité facilitera aussi les publications de mises à jour.

Pour télécharger le kit de développement rendez-vous ici.
La saga Flash continue ! Alors que Steve Jobs a pu dire tout le bien qu'il pensait de la technologie Flash d'Adobe, à de nombreuses reprises, le co-fondateur d'Apple récidivait récemment en publiant une lettre ouverte sur le site Apple.com. Lettre expliquant les raisons qui font que selon Apple, Flash n'a pas le droit de citer sur les plate-formes mobiles de la firme à la pomme, à savoir l'iPhone, l'iPod et l'iPad. Pour Jobs, Flash est responsable de bien des maux et son implémentation dénaturerait l'expérience utilisateur des terminaux mobiles précédemment cités. Rappelons que ce déchainement de passions, autour de Flash, une technologie rachetée par Adobe à Macromedia, trouve son origine dans les récents changements des termes de licence du SDK de l'iPhone OS, le système d'exploitation des iPhone, iPod Touch et iPad. Des changements faits précisément pour interdire que des applications conçues en Flash s'exécutent sur les terminaux d'Apple via une compilation intermédiaire.

A la lumière de ces récents développements, Adobe a dit abandonner purement et simplement l'idée de développer Flash pour iPhone alors que la firme de San-José se concentre sur le développement de Flash pour les terminaux Android. Alors que des rumeurs évoquent qu'Adobe pourrait se tourner vers la justice pour obtenir gain de cause, d'autres voix se faisaient entendre dans la cacophonie ambiante visant à réduire à néant Flash. Et pas des moindres puisque Microsoft, via l'un des développeurs leaders de la nouvelle version 9.0 d'Internet Explorer, disaient croire tout comme Apple dans la technologie HTML 5 au détriment précisément du Flash. Plus nuancé, le développeur en question expliquait toutefois que la prochaine version d'Internet Explorer serait bien sûr compatible avec Flash pour permettre aux utilisateurs de profiter du contenu existant, tout en insistant sur le fait que Flash n'est pas l'avenir...

L'avenir serait donc le HTML 5 et Apple et Microsoft seraient tombés d'accord là dessus ? Une bien étrange position presque commune, quant on connait les antagonismes entre les deux compagnies. D'autant plus étonnant qu'on attendait que Microsoft vante les mérites de SilverLight... en vain ! Seul Google semble ici soutenir Adobe, en intégrant Flash dans Android... mais à bien y regarder le géant de la recherche développe dans le même temps une version HTML 5 de YouTube, alors que Chrome prend en charge le HTML 5.

Du coup, Adobe vient de se fendre d'une campagne de publicité sur les médias papiers américains mais également en ligne pour promouvoir la liberté (voir le site dédié)... du choix ! Cette campagne est l'occasion pour les deux co-fondateurs d'Adobe de s'exprimer publiquement et de répondre à certains des arguments de Steve Jobs. Une lettre qui cite la marque Apple une seule fois et se termine par une conclusion troublante : l'Internet ne peut être contrôlé par une seule compagnie. N'est ce pas là donner un peu trop de pouvoir à Apple ? Ou n'est ce pas une formule expiatoire visant en quelque sorte à clamer haut et fort qu'Adobe n'a jamais voulu contrôler l'Internet ?

Quoiqu'il en soit, la saga continue et l'objet de la lettre co-signée par Chuck Geschke et John Warnock est bien de défendre la stratégie poursuivie par Adobe avec sa technologie Flash tout en rappelant que Flash aurait été dès le départ conçu, dans les années 90 donc, pour être utilisé sur des ordinateurs de type tablette.
Adobe a levé le voile sur sa nouvelle plateforme de gestion des verrous numériques. Autrefois connue sous le nom de Flash Media Rights Management Server, la voici rebaptisée Flash Access 2.0.

Cette nouvelle version est livrée sous la forme d'un kit de développement en Java permettant à l'éditeur d'associer plus facilement cette technologie à une base de données. Ce kit propose différentes options de protection pour les fournisseurs de contenu souhaitant proposer des offres de lectures en streaming, de téléchargements définitifs ou de téléchargements en location.

Si jusqu'à présent les outils de protection numérique d'Adobe ne fonctionnaient que sur l'environnement AIR 2.0, cette nouvelle mouture est désormais compatible au travers du lecteur Flash. Dans un entretien recueilli par IDG, Ashley Still, du groupe Adobe Flash, explique ainsi : "vous pouvez protéger votre contenu tout en le mettant sur YouTube".

Notons par ailleurs que la technologie de Flash Access 2.0 devrait trouver sa place au sein de Flash 10.1 qui prendra également en charge l'accélération matérielle.
La lettre ouverte de Steve Jobs a indéniablement suscité de nombreuses réactions. Dans un billet du blog officiel d'Adobe, Kevin Lynch a complété la semaine dernière la réponse de Shantanu Narayen. Si le PDG d'Adobe avait plutôt répondu aux attaques du PDG d'Apple, le directeur technique d'Adobe a quant à lui mis l'accent sur ce qui se préparait. Son billet s'intitule d'ailleurs : "Aller de l'avant".

Kevin Lynch a commencé par constater que "Apple avait choisi de bloquer les environnements largement utilisés d'Adobe ainsi que diverses technologies d'autres fournisseurs", et qu'ils avaient par conséquent déjà décidé de ne plus s'intéresser à l'iPhone et à l'iPad pour le lecteur Flash et pour l'environnement d'exécution AIR. Il estime toutefois qu'ils auraient pu "apporter à Flash une formidable expérience utilisateur sur iPhone, iPad et iPod Touch" en "collaborant comme ils le font avec de multiples partenaires".

Ils travaillent d'ailleurs à "apporter Flash à tous les autres acteurs du monde mobile", dont Google (concepteur du système d'exploitation Android), Microsoft (Windows Mobile), Nokia, Palm (donc HP) ou encore RIM (concepteur du BlackBerry). Ils sont impatients de publier une version préliminaire pour smartphone Android de Flash Player 10.1, à l'occasion du Google I/O qui se tiendra du 19 au 20 mai à San Francisco, avant de publier la version finale pour toutes les plateformes au mois de juin. Flash 10.1 promet pour rappel une petite révolution.
La réponse d'Adobe ne s'est pas faite attendre. Steve Jobs justifiait hier l'absence de Flash sur iPhone et iPad, c'est donc aujourd'hui au tour de Shantanu Narayen d'exprimer son point de vue. Le PDG d'Adobe a effectivement immédiatement accordé une interview au quotidien américain Wall Street Journal, publiée en France dans la nuit, dans laquelle il riposte. Adobe contre Apple, round two…

Shantanu Narayen estime que les raisons technologiques invoquées par Steve Jobs ne sont qu'un "écran de fumée". La centaine d'applications conçues au moyen d'outils Adobe qui furent approuvées par l'App Store avant qu'Apple n'interdise les compilateurs tiers en seraient la preuve. "Avoir recours aux conditions d'utilisation pour limiter ce type de développement n'a aucun rapport avec la technologie," explique le PDG d'Adobe. Les restrictions d'Apple seraient "lourdes" pour les développeurs, qui doivent développer d'une part pour Apple, et d'autre part pour toutes les autres plateformes.

Il insiste d'ailleurs sur le fait que le contenu Flash est bel et bien "ouvert", puisqu'il est disponible sur de multiples plateformes et peut être affiché sur une multitude de dispositifs. C'est justement ce qui inquièterait Apple, d'après M. Narayen. "Nous avons des visions différentes du monde," a-t-il affirmé, "notre vision du monde est multi-plateforme". Steve Jobs estime à contrario que les outils multi-plateformes mènent à de mauvaises expériences utilisateur.

En terme de stabilité enfin, concernant l'affirmation de Steve Jobs selon laquelle "Flash est le premier facteur de plantage d'un Mac", Shantanu Narayen répond que les plantages de Flash sur Mac "sont liés au système d'exploitation d'Apple".

Pour conclure, Shantanu Narayen affirme qu'il est pour "laisser le consommateur décider" mais qu'il pense que le monde multi-plateforme "finira par l'emporter".
En attendant l'arrivée de la version finale de Flash Player 10.1, qui doit introduire l'accélération matérielle des vidéos encodées en H.264, Adobe a mis en ligne une préversion de la déclinaison Mac du logiciel.

Surnommée « Gala », elle permettra donc de se faire un premier avis sur l'efficacité du procédé, dès lors que l'on dispose d'un Mac équipé d'une puce GeForce 9400, 320M ou 330M et de la dernière version en date de Mac OS X, Snow Leopard.

En tirant parti de la puissance de calcul de la carte graphique, Gala est censé soulager le processeur de la machine mais aussi améliorer ses performances générales et de façon générale, améliorer le confort de lecture.

D'après les premiers tests, menés notamment par Engadget, il semblerait que le contrat ne soit pour l'instant pas parfaitement rempli. Adobe insiste toutefois sur le fait que Gala n'est pour l'instant distribué qu'à des fins de tests. Il parait donc logique que les performances ne soient pas encore à la hauteur des espérances de l'éditeur.

Les curieux pourront télécharger et installer Gala depuis le Labs d'Adobe.
Las, Adobe vient d'annoncer par la voix de Mike Chambers, son responsable des relations développeurs concernant Flash, la fin des efforts visant à permettre la mise au point d'applications iPhone depuis ses propres outils. L'option qui permet d'exporter vers iPhone OS un développement réalisé sous Flash CS5 est conservée, mais elle ne fera plus l'objet d'efforts particuliers de la part de l'éditeur.

Guerre d'usure

Flash et l'iPhone, c'est une histoire qui traine en longueur. Dès 2008, Adobe fait part de son intention de proposer une déclinaison iPhone de son environnement d'exécution Flash, qui présente pour les développeurs l'intérêt de pouvoir s'affranchir des contraintes liées à chacun des systèmes d'exploitation mobiles présents sur le marché.

Immédiatement, Apple fait savoir qu'il est hors de question d'accueillir Flash sur iPhone et Steve Jobs lui-même prend la parole pour dénigrer cette technologie, pourtant réclamée à corps et à cris par une partie des utilisateurs d'iPhone. Selon lui, la version standard de l'environnement d'exécution d'Adobe est trop lourde pour fonctionner sur un téléphone. La version mobile de Flash serait quant à elle trop pauvre sur le plan fonctionnel pour apporter une quelconque valeur ajoutée à l'iPhone.

Conscient que sur ce point, il serait difficile d'obtenir gain de cause, Adobe finit par changer son fusil d'épaule et annonce, fin 2009, que l'outil de développement Flash intégré à la Creative Suite 5 permettra la compilation d'applications conçues à l'aide de Flash en vue d'une exécution sur iPhone OS. La solution est élégante : elle autorise en effet les développeurs à partir de Flash pour leurs développements, en partant du principe qu'ils toucheraient ainsi l'iPhone, mais aussi d'autres plateformes mobiles, l'univers des PC ou le Web "fixe".

Nouveau rebondissement en forme de coup de Jarnac début avril, trois jours avant que n'arrive sur le marché la Creative Suite 5, avec la modification du contrat de licence associé au programme de création de logiciels destinés à l'App Store. "Les applications ne pourront utiliser que les interface de programmation, en accord avec les prescriptions formulées par Apple, et ne devront pas utiliser ou faire appel à une quelconque interface de programmation privée", indique la clause 3.3.1 du nouveau contrat de licence, dotée d'une ultime mention sans équivoque : "les applications liées aux interfaces de programmation documentées par l'intermédiaire d'un portage, ou d'un outil ou d'une couche de compatibilité, sont prohibées".

Apple 1 - Adobe 0 ?

Par cette modification, Apple interdit explicitement aux applications qui auraient été conçues à partir de Flash le chemin de l'App Store. Pour Adobe, qui n'est d'ailleurs pas seul concerné, c'en est trop. « Nous allons conserver la possibilité de cibler l'iPhone et l'iPad avec Flash CS 5. Cependant, nous n'investirons plus, pour l'instant, dans le développement de cette fonctionnalité », explique Mike Chambers, ajoutant ce conseil quelque peu désabusé adressé aux développeurs : « Si vous voulez développer pour l'iPhone, vous devez être préparé à un rejet ou une restriction de la part d'Apple à tout moment, et apparemment sans raison tangible ».

En dépit de parts de marché moindres, les faveurs d'Adobe iront maintenant à Android, indique encore Chambers. L'éditeur dit à ce sujet collaborer avec Google pour que soient bientôt proposés sur Android des versions dédiées de Flash Player 10.1 et de l'Adobe Integrated Runtime (AIR) 2.0.

Apple, mauvais cheval ? « Certains prennent le problème à l'envers », a défendu mardi Trudy Muller, porte-parole d'Apple. « Le HTML 5, les CSS, JavaScript et le H.264, qui tous sont pris en charge par l'iPhone et l'iPad, sont ouverts et se posent comme des standards, tandis que le Flash d'Adobe est fermé et propriétaire ».

Reste à voir si à vouloir conserver un riche environnement d'applicatifs exclusifs à sa plateforme mobile, Apple ne risque pas de se couper d'une partie de la population des développeurs, qui verraient sans doute d'un bon oeil la possibilité de pouvoir facilement mutualiser leurs productions. C'est peut-être dans leur camp que se situe la balle.
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