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le 03/10/2008 à 23:14
Apple veut décrédibiliser Psystar
L'affaire Apple-Psystar continue de plus belle et cette fois, c'est la firme de Cupertino qui s'adresse à la Cour dans le but de conserver la position de son système d'exploitation.

En avril dernier, la société Psystar avait annoncé la commercialisation des ordinateurs "Open Computer" et des serveurs "OpenServ» en mentionnant que les composants avaient tout spécialement été choisis pour une installation facilitée de Mac OS X. D'ailleurs, le système d'Apple est préinstallé sur certaines de leurs machines. Un mois plus tard, la société de Steve Jobs déposa 8 plaintes contre Psystar pour violation de propriété intellectuelle, compétition déloyale et violation des accords CLUF (Contrat de Licence utilisateur Final). L'affaire aurait pu en rester là mais Psystar décida de porter plainte à son tour avec l'aide Colby Springer, l'un des trois avocats du cabinet Carr & Ferrell LLP. Ce dernier avait soulevé des pratiques anticoncurrentielles avec la violation de deux lois antitrust : le Sherman Antitrust Act et le Clayton Antitrust Act.

Apple vient de répondre aux accusations de Psystar en s'adressant à la cour fédérale de San Francisco. La société affirme que la Cour devrait rejeter les plaintes de Psystar qui ne viseraient qu'à dissimuler les entraves à la CLUF et aux droits d'auteur. En dénonçant le caractère propriétaire du système d'Apple, Psystar avait déclaré qu'il n'y avait pas de "marché pour Mac OS", Apple reprend cet argument en affirmant qu'en conséquence il ne peut y avoir de marché pour "les systèmes informatiques conçus spécialement pour Mac OS ".

Aussi Apple estime que les plaidants eux-mêmes sont en violation du Sherman Act. En effet, selon Psysar, Apple devrait autoriser des licences aux autres fabricants pour entrer en compétition directe, mais selon la loi, le fabricant peut tout à fait distribuer ses produits à qui il le souhaite sans pour autant entraver le Sherman Act.

James Gilliland Jr, l'avocat d'Apple, affirme : " Psystar ne peut pas démontrer de compétition déloyale chez Apple, ni utiliser les lois antitrust pour créer une concurrence directe. En conséquence, les plaintes de Psystar devront être rejetées de but en blanc".
Lorsque vous achetez une chanson sur l'iTunes Store, pour chaque dollar vendu, Apple reverse 70 centimes aux maisons de disque. De leur côté, ces labels versent 9 centimes aux artistes. Ce sont précisément ces 9 centimes qui ont récemment été remis en cause par le Copyright Royalty Board, un organisme  en charge de réguler les droits d'auteur aux États-Unis

Jeudi dernier, les trois juges du Copyright Royalty Board ont formulé une requête de la part de la National Music Publishers' Association, un groupe défendant les droits d'auteur pour les artistes américains. Ces derniers ont estimé que pour chaque dollar acheté sur le marché de la musique sur Internet, 15 centimes devraient être reversés aux artistes; cela représente une hausse de 66%. Bien entendu, cette soudaine demande n'est pas au goût d'Apple qui n'a pas hésité à menacer de fermer son l'iTunes Stores si de telles mesures devaient être mises en place.

Eddie Cue, le vice-président du département iTunes explique que : "si l'iTunes Store devait être forcé de subir cette hausse du taux de droits d'auteur, il en résulterait une augmentation des prix de son contenu et une perte financière [...] À plusieurs reprises, Apple a clairement répété que la société est dans ce marché pour faire de l'argent et il est donc vraisemblable que la firme ne continuera pas à maintenir l'iTunes Music Store si ce dernier ne s'avérait plus profitable ".

Si le cabinet d'analyste Piper Jaffray estime qu'à la fin de l'année, Apple aura vendu 2,4 milliards de chansons en 2008, Cue affirme que les profits de la firme de Cupertino restent modestes. De leur côté, les maisons de disques ne sont certainement pas prêtes à reverser 15 centimes par chanson vendue et propose au Copyright Royalty Board d'abandonner ce modèle pour recevoir 8 % de leur revenues globaux. En essayant de limiter les pertes face au déclin des ventes de CD, l'Association de défense des droits d'auteurs affirme : "Apple  souhaite proposer des chansons à moindre prix pour vendre des iPods [...] mais nous ne gagnons pas un centime sur ces ventes",

Finalement, les discussions ont été gelées et le débat devrait reprendre l'année prochaine.
Apple serait plus rentable que ses concurrents qui vendent des machines sous Windows sur le marché mondial des ordinateurs portables. La firme à la pomme empoche en effet 35% des revenus de ce dernier avec des parts de marché pourtant légèrement inférieures à 20%. C'est ce qu'a constaté le magazine en ligne DailyTech en compilant diverses analyses récentes.

Des recherches indépendantes montrent effectivement qu'en dépit d'un prix moyen quasiment deux fois plus élevé que les ordinateurs sous Windows Vista, les machines d'Apple enregistrent une progression des ventes nettement supérieure à celle de la concurrence. Malgré une baisse plus lente de leur prix moyen, les ventes de Mac portables ont augmenté de 35% en un an, celles des portables sous Windows de 10%. Un ordinateur portable de marque Apple coutait 1 574 dollars en juin 2006, il en coutait 1 515 en juin dernier, soit une baisse d'un peu moins de 4%. Les PC portables quant à eux sont passés 877 à 700 dollars sur la même période, une baisse de 25%. Les revenus d'Apple sur le segment ont ainsi augmenté de 30% pendant que ceux des fabricants de PC portables gagnaient péniblement 1,5%.

Certains analystes jugent toutefois qu'Apple a atteint l'apogée sur ce domaine. "Je crois que sans baisse des prix, la soif de dollars d'Apple a trouvé ses limites," a déclaré à ce sujet Joe Wilcox d'eWeek. Il rappelle que le cabinet d'analyse IDC estime que les ordinateurs portables économiques mèneront prochainement le marché. De quoi renforcer les rumeurs d'une nouvelle gamme d'ordinateurs portables Apple au prix en nette baisse dévoilée le 14 octobre ?
Rien ne va plus pour Apple ! Après avoir été accusé de concurrence déloyale, la firme de Cupertino, voit l'une de ses publicités pour l'iPhone rejetée par l'ASA (l'Autorité des Standards de la Publicité). Vous rappelez-vous de ce spot publicitaire dans lequel l'on vous présente les fonctionnalités Internet du téléphone? Le clip explique que le navigateur ne se contente pas d'interpréter une version wap des pages web et conclut sur "c'est simplement Internet dans votre téléphone". Et bien deux Anglais ont décidé de porter plainte pour publicité mensongère. Pourquoi? Tout simplement parce que le navigateur de l'iPhone ne supporte ni la technologie Flash, ni le Java.

Apple a rétorqué que cette publicité ne fait pas mention de détails techniques, des fonctionnalités ou des plug-ins de l'iPhone mais se réfère à la variété des sites que l'utilisateur peut visiter et utiliser. La firme a mentionné que tous les sites web du spot sont accessibles sur l'iPhone et présentés tels qu'un utilisateur les verrait.

Après avoir conclu : "nous avons trouvé que cette publicité donne une impression trompeuse des capacités Internet de l'iPhone", l'ASA a interdit Apple de continuer la diffusion de ce spot.
L'accès à l'iTunes Store a été bloqué à plusieurs endroits de Chine cette semaine, suite à la mise en ligne sur la plateforme d'Apple d'un album de soutien à la cause tibétaine et au Dalai Lama. Baptisé Songs For Tibet, cet album rassemble une vingtaine de titres émanant d'artistes comme Sting, Moby ou Ben Harper, à l'initiative de la fondation Art of Peace.

Proposé à la vente depuis le 5 août dernier et déjà fort bien classé dans les charts internationaux, Songs For Tibet a été proposé en téléchargement gratuit aux athlètes actuellement en lice à Pékin. Selon l'association Campaign For Tibet, plus de quarante d'entre eux l'aurait téléchargé : un acte à dimension politique que n'aurait pas particulièrement goûté le gouvernement chinois.

Suite à cette provocation, ce dernier aurait en effet décidé de bloquer, au moins partiellement, l'accès à l'iTunes Store d'Apple, seul plateforme à vendre l'album en chine. Divers utilisateurs, chinois ou venus de l'étranger, se sont en tout cas fait l'écho de ce blocage, qui n'a été confirmé ni par la Chine, ni par Apple.

D'après le site China.org.cn, voix plus ou moins officielle du pouvoir, la publication de cet album aurait suscité des manifestations de colère au sein de la population, certains Chinois allant jusqu'à appeler au boycott des produits Apple, pour punir la firme d'avoir proposé Songs For Tibet au téléchargement.
Apple continue d'essuyer les plâtres avec son bouquet de services MobileMe. Les fonctionnalités de courrier électronique, d'agenda et de gestion des contacts de ce dernier ont effectivement connu des débuts chaotiques. Mais à plusieurs semaines de son lancement, le service continue à enregistrer régulièrement des dysfonctionnements. La firme de Cupertino en a bien conscience, et après avoir déjà offert un mois gratuit, elle a envoyé un e-mail à tous ses abonnés :La transition de .Mac à MobileMe s'est avérée plus difficile que nous l'avions anticipé. Nous avons déjà apporté de nombreuses améliorations à MobileMe, mais il nous reste encore beaucoup à faire. Afin de remercier nos utilisateurs de leur patience, nous offrons à chaque abonné MobileMe une prolongation gratuite de 60 jours. Ainsi la pomme prolonge gratuitement l'abonnement de ses abonnés de 2 mois, et l'offre concerne également les utilisateurs qui profitent actuellement d'une période d'essai. Ce geste commercial attendu et bienvenu vient à point à un moment où le service commence enfin à devenir stable. Pour obtenir plus d'informations à ce sujet, vous pouvez consulter cette page mise en ligne par Apple.

Pour autant les utilisateurs du "moyen le plus efficace de tout synchroniser" ne sont pas au bout de leurs peines. Ainsi en marge des dernières attaques à la mode de type phishing, notre confrère ComputerWorld a identifié une campagne ciblée sur les abonnés du service Mail de MobileMe. Le courrier indésirable a été reçu par environ 200 destinataires, il demande aux abonnés de feu .Mac de confirmer leurs coordonnées bancaires dans le but de finaliser leur transition vers MobileMe. Le courrier est très bien camouflé et il pourrait passer pour un e-mail authentique. De nouveau, la prudence est de mise ! Aussi assurez-vous tout particulièrement que les adresses des sites sur lesquels les courriers vous invitent à vous rendre vous sont familières.
Apple continue paisiblement la conquête du monde, sa valeur boursière dépasse désormais celle de Google. La firme de Cupertino est effectivement devenue mercredi après-midi la deuxième capitalisation boursière du NASDAQ, dépassant le géant de la recherche internet. La capitalisation boursière est une donnée financière, calculée à partir du cours de la bourse, qui indique la valeur d'une entreprise à un instant donné. Google passe donc à la quatrième place du classement américain (troisième du NASDAQ), loin devant Dell qui ne vaut que 50 milliards de dollars. Microsoft quant à lui reste en tête, valorisé à 255 milliards de dollars.

Portée par la réussite de l'iPhone et par une progression supérieure à celle du marché, l'action d'Apple n'a cessé d'augmenter. En quelques semaines, l'action a pris 15% quand celle de Google gagnait péniblement 5%. Avec une action à 180 dollars mercredi après-midi, Apple valait 159 milliards de dollars, devant Google qui valait alors 157 milliards de dollars.
Après les récentes révélations de Gartner qui indiquent qu'Apple est le troisième plus gros vendeur d'ordinateurs aux États-Unis, c'est au tour d'un analyste du cabinet Piper Jaffray, Gene Munster, d'aller de sa prédiction au sujet de la firme de Cupertino : "Apple pourrait avoir 40 milliards de dollars sur ses comptes dans 2 ans" a-t-il déclaré. Le fabricant en vogue deviendrait ainsi la plus riche société au monde.

Comme nous l'avons vu avec les analyses prédictionnelles de Gartner, Apple a enregistré sur le marché américain une importante progression des ventes de 38% entre le deuxième trimestre de l'année 2008 et celui de l'année précédente, loin des 4,2% enregistrés par le marché. Depuis deux ans, la société progresse plus vite que ce dernier, de 4 à 5 fois plus en ce moment. D'après l'étude de Piper Jaffray, la société californienne devrait ainsi rapidement dépasser Microsoft qui détient actuellement 23,7 milliards de dollars.

Grâce aux importantes ventes d'iPod, d'iPhone mais surtout d'ordinateurs, sur lesquels le fabricant réalise d'importantes marges, Apple possède actuellement 20,8 milliards de dollars. Or, pendant que Microsoft engage des acquisitions de plusieurs dizaines de milliards de dollars, en tentant par exemple d'acquérir Yahoo, Apple engrange 1 milliard de dollars par trimestre. À ceux qui reprochent à Apple de ne rien faire de tout cet argent, son directeur financier Peter Oppenheimer répond : "Nous préférons maintenir un bilan fort pour préserver notre flexibilité".

D'après les Échos, qui rapportent les paroles de Tim Bajarin, directeur de la firme d'analyse Creative Strategies, "Apple ne fait pas des acquisitions à plusieurs milliards de dollars". Mais on pourrait s'attendre à ce que la société fasse des acquisitions plus modestes, dans le domaine de la musique par exemple, ce qui aurait des effets positifs sur les ventes de baladeurs numériques et téléphones mobiles à pomme, tout en assurant la suprématie de l'iTunes Store. Il se pourrait également qu'Apple travaille à l'amélioration de certaines technologies, comme de meilleures batteries pour les nouveaux iPhone, en prenant des participations dans les capitaux de quelques startups.
Après le lancement plutôt chaotique du service en ligne d'Apple, MobileMe, le magazine Ars Technica nous apprend que Steve Jobs a envoyé un email à l'ensemble de ses employés dans lequel il admet que le lancement du service aurait dû être repoussé. Entre des serveurs surchargés, des pré-autorisations bancaires erronées et des utilisateurs privés de leur emails, Jobs estime que MobileMe "n'est pas à la hauteur des standards de la compagnie". Selon lui, il aurait été préférable de diviser le lancement en plusieurs étapes en commençant par introduire la technologie Push sur l'iPhone et l'ordinateur puis ensuite dévoiler les applications web.

Le PDG de la firme de Cupertino ajoute : "C'était une erreur de lancer Mobileme en même temps que l'iPhone 3G, le système l'iPhone 2.0 et l'App Store [...] Nous étions tous surchargés de travail et l'on aurait aussi bien pu repousser la sortie de MobileMe [...] Le lancement de MobileMe démontre que nous avons encore beaucoup de choses à apprendre sur les services Web. Et il est clair que nous allons apprendre. La vision de MobileMe est à la fois excitante et ambitieuse et nous allons nous dépêcher d'en faire un service dont nous serons fier à la fin de l'année ".

Jobs annonce aussi une réorganisation de l'équipe de MobileMe, laquelle sera désormais dirigée par Eddie Cue - déjà en charge d'iTunes et de l'App Store - qui répondra directement à Steve Jobs.
Si Apple a une bête noire, il s'agit véritablement d'Internet! Après que la firme a laissé croupir son service de souscription .Mac, son remplaçant, MobileMe, ne tient pour l'instant pas ses promesses. Dévoilé le 9 juin dernier lors de la WWDC de San Francisco par Phil Schiller, Vice-Président du Département Marketing chez Apple, MobileMe semblait plutôt novateur. En offrant une suite complète de services web 2.0 basés sur une infrastructure SproutCore ainsi qu'une technologie Push globale pour les emails, le carnet d'adresses, le calendrier ou les signets de Safari, MobileMe avait tout pour plaire... Malheureusement son déploiement fut catastrophique.

Le 9 juillet dernier, alors que les utilisateurs devaient tranquillement observer la mise à jour de leur compte .Mac vers MobileMe, les serveurs d'Apple furent très rapidement surchargés et les services en ligne, inaccessibles pendant plusieurs jours. Mais ce n'est pas tout, car la tension monte au sein des Mac users lorsqu'on apprend qu'Apple s'est adonné à ce qui ressemble fortement à de la publicité mensongère. En effet, si vos données personnelles sont bien synchronisées entre votre iPhone, votre suite d'outils en ligne et votre ordinateur, les changements opérés depuis ce dernier ne sont pas doublés de la technologie Push qui permet une synchronisation immédiate. Au mieux, les modifications sont mises en ligne sur le serveur puis réfléchies sur les autres machines toutes les 15 minutes via iSync.

C'est un long silence qui s'intaure entre Apple et ses utilisateurs. Finalement, une semaine plus tard, la compagnie envoie un message d'excuses à l'ensemble de ses abonnés... en anglais, pour tout le monde. Voici une traduction partielle: "Nous avons terminé le processus de transition de .Mac vers MobileMe. Malheureusement, ce fut plus chaotique que prévu. Bien que la mise en place des services principaux tels que le Mail, iDisk, Sync, Back to My Mac et les Galeries web fut sans encombres, les nouvelles applications de MobileMe ont été bien plus problématiques. Heureusement, nous avons résolu ces problèmes et les services web sont désormais fonctionnels ».

La firme reconnaît par ailleurs qu'il n'y a aucune synchronisation Push depuis l'ordinateur et promet de plus employer ce terme. En guise de compensation, Apple décide d'étendre cette souscription annuelle de 30 jours.

L'histoire aurait pu s'arrêter là, mais non. Au Royaume-Uni, une nouvelle surprise attend les nouveaux utilisateurs ayant décidé d'ouvrir un compte d'évaluation de MobileMe. Au lieu de bénéficier gratuitement de 60 jours d'essai, ces nouveaux arrivants ont vu leur compte en banque débité de 121 livres. Quelques jours plus tard, le 19 juillet, Apple fait un second mea culpa électronique auprès des utilisateurs concernés et promet qu'aucun débit réel n'a eu lieu et que la compagnie devait initialement bloquer un dollar pour vérifier l'existence du compte bancaire. Pour calmer les les vagues de mécontentements, Apple décide de prolonger la période d'essai de 30 jours - lesquels s'ajouteront automatiquement au premier dédommagement de la semaine précédente.

Si Apple a décidé de s'excuser par messages électroniques, encore faut-il que la réception des emails soit belle et bien fonctionnelle ! En effet, deux jours plus tard, nous apprenons que près d'1% des utilisateurs de MobileMe ne peuvent toujours pas accéder à leur boite électronique. Comme pour reprendre le contrôle de la situation, Steve Jobs, le PDG de la firme de Cupertino, demande à ses employés d'informer les utilisateurs continuellement des états de service de MobileMe, directement sur le site Internet d'Apple. L'accès aux email ne sera pourtant restauré qu'une semaine plus tard.

Depuis des années, les performances de .Mac ne furent pas emblématiques des produits généralement soignés d'Apple. Malheureusement, MobileMe ne dément pas cette triste réputation. Pour beaucoup, il s'agit ni plus ni moins du lancement le plus catastrophique de l'histoire d'Apple. Aujourd'hui, d'après le site de la société, MobileMe serait complètement fonctionnel, cependant, beaucoup d'abonnés attendent encore leur extension de 30 ou 60 jours. Quand les problèmes seront-ils définitivement réglés ?
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