LA GLOBULE

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Trois hommes viennent de plaider coupable pour avoir mis en place un système qui détournait des Captchas (Completely Automated Public Turing Test to Tell Computers and Humans Apart). Ce système de sécurité existe pour éviter que des bots ne puissent inonder un site par des spams, par exemple. Ici, les accusés s'étaient attaqués à une boutique en ligne vendant des tickets pour des concerts.Techniquement, Kenneth Lowson, Kristofer Kirsch et Joel Stevenson inondaient un système de réservation en ligne afin d'obtenir les meilleurs sièges, les meilleurs prix. Ils les revendaient ensuite au prix fort. Une méthode simple mais qui se serait développée au fil des années, explique Computerworld. Des programmeurs bulgares auraient même été embauchés afin de créer un réseau national d'ordinateurs qui « virtualisent » de nouveaux visiteurs.

Ces trois californiens ont donc été reconnus coupables de fraude et de hacking par la Cour du District de New Jersey. Ils risquent entre 1 et 5 ans de prison, selon le nombre de charges retenus contre eux.

C'est donc un vaste réseau qui vient d'être mis à terre par la Justice américaine. Ces hackers avaient créé des sociétés écrans avec des centaines de faux domaines Internet. Les « bulgares » embauchés pour la cause étaient rémunérés entre 1 000 et 1 500 dollars par mois. Un business rentable…
Depuis l'annonce des détails de la taxe « Google » et de son vote la semaine dernière auprès de la commission des finances du Sénat, les inquiétudes se multiplient. Dans un communiqué commun, des associations de professionnels du secteur (ACSEL, AFDEL, ASIC, Geste, IAB France, Renaissance Numérique, SRI mais aussi l'UDA) critiquent la position adoptée par Philipe Marini (UMP).En détail, la proposition vise à créer deux nouvelles taxes, l'une de 0,5% sur les échanges commerciaux entre professionnels. Une autre contribue à taxer à hauteur de 1% tout achat de publicité sur Internet.

En instaurant ce système, le Sénat cherche ainsi à taxer les entreprises qui échappent à la fiscalité française. Les cas de Google, Apple, eBay et Amazon ont même été clairement évoqués comme étant des exemples de firmes installés au Luxembourg ou en Irlande et qui profitent ainsi de la fiscalité avantageuse de ces Etats.

Les associations de professionnels décrivent des taxes « adoptées sans consultation préalable des acteurs et usagers du numérique. Nous deviendrions le seul pays au monde à envisager de telles taxations et la compétitivité française, ces taxes ne pouvant s'appliquer qu'aux seuls acteurs établis sur notre territoire, s'en trouverait à terme fortement menacée ».

L'appel au calme est donc lancé pour « éviter de créer un environnement hostile pour le développement de l'économie numérique ». Une position déjà affirmée par l'IAB (Interactive Advertising Bureau) au début du mois de novembre. L'association avait fait valoir que les grands groupes ne subiront pas l'impact de la taxe. Seuls les petits annonceurs seraient touchés...

Reste à savoir quelle écoute réservera le Sénat à ces doléances. Le projet est à nouveau en débat en ce moment même dans le cadre du vote du budget de l'Etat pour 2011.
Apple annonce qu'une nouvelle mise à jour de sécurité est disponible depuis le 18 novembre corrige plusieurs vulnérabilités pour Safari 5.0.3 sur Mac ou sous un environnement Windows. De même, la version 4.1.3 du navigateur est également prise en compte pour Mac OS X v10.4.11, connu sous le nom de Tiger.Selon la firme, 23 bugs pourraient être exploités par du « drive-by », une méthode destinée à faire exécuter un programme par l'utilisateur s'il se connecte sur un site avec du contenu malveillant. Apple avance alors le risque que certains esprits peu scrupuleux cherchent à traquer les habitudes des internautes...

Un tiers des bugs rapportés ont été trouvés par des développeurs de Google, un seul par l'équipe de recherche en sécurité de Microsoft. Enfin, une autre est à mettre au crédit d'un spécialiste appartenant à l'équipe du navigateur Opera.

Les utilisateurs de Mac OS X sont prévenus de ce patch de manière automatique. Les internautes sous Windows utilisant Safari sont, eux, alertés grâce à l'outil de mise à jour.
L'outil Instant Previews lancé par Google au début du mois serait déjà utilisé par les cyber-escrocs. C'est en tout cas ce qu'affirment certains éditeurs de sécurité dont Websense. Pour rappel, cette fonction permet de visionner l'aperçu d'un site sur la droite du navigateur. L'accès à l'aperçu s'effectue en passant le curseur sur un lien proposé lors d'une recherche.Sur son blog, Websense met en garde : « les images présentées dans les prévisualisations instantanées ne sont pas mises à jour aussi souvent que vous le souhaiteriez ». L'éditeur précise alors qu'il n'y a « aucune garantie » pour que la page visitée soit la bonne.

Le risque est donc certain d'induire en erreur l'internaute en proposant de fausses pages reprenant du contenu d'actualité. L'éditeur prend alors comme exemple le risque que comporte le fait de télécharger une mise à jour sur une fausse page de Firefox. Il serait alors possible d'installer, à son insu, un malware de type cheval de Troie…

Websense estime même que ces pratiques seraient déjà visibles, notamment au sujet du futur mariage du Prince William… Enfin, rien ne dit si Google compte réagir à cette critique puisqu'à l'heure actuelle aucun mécanisme ne peut garantir que les pages affichées sont les bonnes.
le 19/11/2010 à 00:00
Forum PHP 2010 : Le Bilan
Une semaine après le Forum PHP 2010, organisé par l'AFUP (l'Association Française des Utilisateurs de PHP), a été marqué par les 15 ans du
langage et les 10 ans de l'association.

Cet évènement a permis de voir de nombreuses personnalisés et de créateurs de nombreux projets comme (PHP, Prestashop, Dolibarr, Drupal, Magento, MySQL, SkySQL, Zend, Symfony, CakePHP, etc...).

Un communiqué vient d'être publié, affichant le succès de l'évènement avec quelques points forts, qu'il est intéressant de connaître (nombre de visiteurs, les outils présents...).

Par ailleurs, l'équipe de l'AFUP donne rendez-vous l'année prochaine pour une nouvelle édition.
Bien sur, si vous avez raté l'évènement, vous pouvez voir et revoir :
- Les slides des conférences ont été publiés sur le site de l'évènement
- Le reportage de PHP TV
- Quelques photos disponibles sur flick'r
- La présence de l'elePHPant gonflable
- etc...

- Communiqué : L AFUP propulse le Forum PHP au sommet pour sa 10ème édition
- Reportage PHPTV : Forum PHP 2010
- ElePHPant gonflable est arrivé
Kaj Arnö - photo Arnaud LimbourgSi les questions autour du futur de MySQL peuvent parfois paraître absconses, le forum PHP, qui s'est tenu la semaine dernière à la Cité des Sciences de la Vilette à Paris, nous a permis d'approcher la question d'une manière toute concrète. Les représentants de SkySQL et Monty Program, Kaj Arnö et Rasmus Johansson, ont fait pour nous le tour de la question.Séparation de l'Eglise et de l'Etat

Vues les attaques récentes d'Oracle sur les anciens produits de Sun, de Java à OpenSolaris, faut-il abandonner tout espoir de voir l'éditeur soutenir MySQL ? La récente augmentation du prix des services d'assistance liée peut faire craindre le pire, et nos deux interlocuteurs n'ont rien fait pour nous rassurer. « En fait, à l'origine, nous travaillions tous pour MySQL, » explique Kaj Arnö. « Il y avait à l'époque une sorte de dichotomie entre l'équipe business et l'équipe communauté. Les premiers voulaient faire de l'argent, les autres s'en fichaient, et voulaient aider les utilisateurs à adopter la solution. Avec SkySQL et Monty Program, il y a eu une sorte de séparation de l'Eglise et de l'Etat, qui a résolu le problème, mais chez Oracle, la question a été traitée autrement : c'est le business qui a gagné. »

Et à écouter le PDG de SkySQL, le but d'Oracle ne serait pas de développer l'utilisation de MySQL. En cause : Oracle DB, le gestionnaire de bases de données maison. Plutôt que de tenter de gagner des parts de marché sur la solution SQL de Microsoft, au risque de vampiriser le marché d'Oracle au passage, l'éditeur aurait, selon Kaj Arnö, une position défensive. MySQL ne serait donc plus qu'une barrière pour ne pas laisser trop de parts de marché à Microsoft. « En tous cas, si j'étais du côté d'Oracle, c'est ce que je ferais. »

Garder le statu quo, au risque de tuer MySQL ? « Ils ne diront jamais ouvertement qu'ils veulent tuer MySQL, » explique Kaj Arnö. « Mais il y a d'autres façons de faire : Oracle peut embrasser MySQL jusqu'à l'étouffer. Mais ils ne s'en débarrasseront pas ouvertement, car ils craignent trop que l'Union européenne, par exemple, puisse enquêter sur la question. » En clair, MySQL serait le dernier bastion de l'open-source chez Oracle. « C'est fondamental ! Il n'y a qu'à voir ce qu'ils font à Java ou OpenOffice. »

Du coup, Kaj Arnö et Rasmus Johansson accréditent la thèse du responsable de l'open-source d'Adobe, David McAllister, selon laquelle Oracle aurait remplacé Microsoft à la tête de la coalition anti-open-source. Sans aller jusqu'à accepter le terme de « Super-Villain » (super-méchant, qui correspond en anglais à l'ennemi fondamental du super-héros dans les comics), Kaj Arnö ne s'empêche pas une petite pique au géant de Redmond : « Je suis d'accord, mais surtout parce que désormais, Microsoft n'est plus vraiment significatif. Ils ne sont plus au centre, donc ce n'est plus important, ce qu'ils font, ce qu'ils pensent... Oracle, de son côté, détient tellement de technologies open-source, et les attaque à tel point, que c'est bien plus grave. »Nouvelles opportunités

Pour autant, les deux entrepreneurs ne voient pas d'un mauvais oeil l'augmentation des prix de l'assistance sur MySQL. Ça ne peut qu'être bon pour leurs activités, résument-ils. Pour Kaj Arnö, « nous pouvons le faire à des prix très compétitifs par rapport à ce que fait Oracle, car nous avons les ressources pour fournir des services moins chers. »

Autant de nouvelles opportunités qui pourraient profiter à d'autres entreprises de services. Mais là encore, les deux entrepreneurs ne craignent pas la concurrence. Le monde de MySQL serait petit et assez solidaire pour compliquer la tâche des candidats à une entrée. Rasmus Johannson - Photo Arnaud LimbourgPour autant, toutes ces considérations n'empêchent pas SkySQL et MariaDB de poursuivre leurs activités avec MySQL. Même s'ils craignent l'attitude d'Oracle, ils continuent de voir MySQL comme une solution pertinente. « De toute façon, » pour Rasmus Johansson, « MySQL est encore très utilisé dans le monde. Donc il faut bien que quelqu'un prête assistance à ces utilisateurs, et ces entreprises. Même si on ne travaille plus pour MySQL AB, l'entreprise à l'origine de MySQL, il y a une sorte de conscience que, puisqu'on l'a créé, on doit aider à l'utiliser. C'est pour cela que nous maintenons des interopérabilités entre MySQL et MariaDB. »Barrières de protection

Pourquoi ne pas tout simplement amener les gens vers MariaDB, alors ? Selon Kaj Arnö, ce n'est pas si simple. « Il faut du temps pour que les choses changent, il faut commencer par créer des compatibilités avec vos nouveaux produits. Si vous voulez battre MacDonald's, il ne suffit pas de faire un fork à côté et de dire "Ok, venez". C'est un beaucoup trop grand pas. » Même si, évidemment, pour Rasmus Johannson, le but est d'amener au final les utilisateurs vers MariaDB.

Mais voilà, l'exemple de MySQL est suffisamment parlant pour qu'on se pose la question suivante : et si, demain, MariaDB était rachetée par un Oracle ? Quelles barrières, quelles préventions contre une attaque en règle de sa partie open-source ? Rasmus Johannson explique le principe : « Nous avons un business model baptisé le "hacking business model". Tous les employés ont des parts dans l'entreprise, donc si une grosse société voulait l'acheter, ils devraient être acceptés par n'importe qui. Et ce n'est pas facile de convaincre tous ces développeurs très attachés à l'open-source... »
Après avoir admis le mois dernier avoir récupéré bien plus que de informations relatives aux réseaux WiFi "accidentellement" avec ses voitures Street View, Google vient de consentir à effacer les données privées récoltées en Grande-Bretagne, a annoncé aujourd'hui le Commissaire à l'information du Royaume-Uni (ICO), Christopher Graham. "Je salue le fait que les données récupérées sur les réseaux WiFi puissent finalement être détruites" a-t-il commenté.

Le vice-président de Google Alan Eustace s'est également engagé à améliorer la formation de son personnel, en mettant en place des mesures visant à le sensibiliser sur le sujet de la protection des données personnelles, rapport le quotidien DailyMail. L'ICO procèdera à une vérification dans 9 mois pour s'assurer que les mesures sont bien appliquées.

Si cette nouvelle résonne comme une victoire pour les défenseurs de la vie privée de Grande-Bretagne, elle souligne également les réticences de Google à effacer les données récoltées "par accident" ces derniers mois. L'histoire ne dit pas si Google dispose encore de données privées récoltées dans d'autres pays, mais il y a fort à parier que les équivalents locaux de notre CNIL ne vont pas tarder à se pencher sur la question.
Juniper Networks vient d'annoncer le rachat d'une partie des brevets de Blackwave, un fournisseur d'infrastructure pour le stockage de vidéos en ligne.

La propriété intellectuelle de Blackwave porte sur des technologies d'amélioration de la performance du stockage, et de sa flexibilité pour les montées en charge, selon Juniper. Le fabricant souhaite intégrer ces technologies dans son système de distribution de médias, Media Flow Controller. Ce dernier permet de gérer la mise en cache et la distribution des contenus multimédias comme la vidéo.

Media Flow lui-même est le résultat de l'acquisition par Juniper de l'entreprise Akeena Networks au début de l'année. Juniper avait alors dépensé 100 millions de dollars, mais cette fois, on ne sait pas quelle somme il a déboursée pour s'offrir le portefeuille de Blackwave.

Juniper veut faire de son Media Flow Controller une solution pertinente pour une distribution unifiée des médias en ligne. Il vise les entreprises, et pourra désormais assurer la distribution par le biais de divers protocoles à de larges audiences. Selon Blackwave, cela lui permettra aussi de faire chuter le coût par flux. Le portefeuille Media Flow est désormais doté de solutions à la fois logicielles et matérielles.
Oracle poursuit l'un de ses partenaires, Multis, à cause d'un cambriolage. L'éditeur attaque son sous-traitant sur la base des pertes subies, et sur la violation de contrat : Multis n'aurait en effet pas pris les mesures nécessaires pour assurer la sécurité d'un de ses entrepôts, alors que le contrat l'y obligeait. La plainte a été déposée devant un tribunal de Californie, et résonne comme une mise en garde envers tous les partenaires de l'éditeur.Belote

Multis est un revendeur des technologies matérielles de Sun Microsystems. Rappelons que ce dernier a été racheté en début d'année par Oracle. A ce titre, Multis s'occupe de reconditionner certains matériels réseau et serveur d'Oracle, puis en assure la distribution dans le monde. Légalement, il est responsable des produits, et doit en assurer la sécurité par des moyens modernes : alarme, caméras de surveillance, etc.

Sauf qu'en juillet 2009, une usine californienne de Multis a été cambriolée. 36 disques et quatre modules CPU ont été volés, et l'enquête a conclu à un besoin de renforcement des mesures de prévention. Multis aurait même « failli à réaliser certaines améliorations de ses mesures de sécurité existantes, » selon la plainte d'Oracle.Rebelote

Avril 2010. Nouveau cambriolage. Le même site est compromis, avec un mode opératoire qui semble ridiculement simple : les voleurs n'ont eu qu'à briser une vitre pour accéder aux pièces détachées d'Oracle. Bilan du larcin : 1 452 modules mémoire ont été volés, selon la plainte, qui estime les pertes à 61 498 dollars.

Cette fois, ce sont les services de sécurité d'Oracle qui ont débarqué, pour se rendre compte que tout n'avait pas été mis en oeuvre pour assurer la sécurité des locaux, selon la plainte. Nouvelle planification d'améliorations.Dix de der

Mai 2010 : troisième cambriolage. Cette fois, Oracle perd patience, et estime que Multis n'a pas fait ce qu'il fallait. AUcune barre d'acier n'a été installée aux fenêtres, et les voleurs ont pu voler quelque 4 876 modules de mémoire, une perte de 267 244 dollars pour Oracle. L'éditeur porte plainte, et demande des dommages de 328 742 dollars, auxquels s'ajoutent les frais de procédure. En plus de la question de la sécurité, Oracle accuse Multis de ne pas avoir contracté d'assurance, obligatoire selon les termes du contrat.

Oracle n'a pas souhaité faire le moindre commentaire suite au dépôt de plainte, la semaine dernière, et Multis n'a pas encore donné suite aux demandes des journaux américains.
L'équipe chargée de développer le navigateur Internet Explorer annonce une nouvelle version de la Platform Preview d'IE9. Cette septième mouture se concentre davantage sur les performances du moteur d'exécution JavaScript Chakra.

Dans un billet, Dean Hachamovitch, directeur général du développement de l'application, explique avoir publié de nouveaux outils permettant de comparer les performances d'IE9 à celles de Google Chrome, Firefox ou Safari. Le test  Shakespeare's Tag Cloud  permet de générer, sous la forme d'un nuage, les mots-clés à partir d'un texte donné. HTML5 Sudoku montre la rapidité avec laquelle l'application est capable de résoudre une grille de jeu tandis que Galactic illustre les possibilités des animations Canvas et du rendu 3D.

« Les scénarios de la vie de tous les jours se portent sur l'ensemble des sous-systèmes plutôt que de se focaliser sur un seul sous-système précis », explique M. Hachamovitch en réfutant l'idée qu'un navigateur ne puisse être jugé que par son moteur d'exécution JavaScript. Il ajoute : « N'utiliser qu'une partie des fonctionnalités pour en déduire une idée générale ne fait aucun sens tout comme les tests Acid ne révèlent pas la véritable conformité aux standards ».

Pour télécharger cette nouvelle Platform Preview, rendez-vous ici. Nos confrères américains d'Ars Technica ont récemment publié une astuce pour activer l'interface utilisateur.
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