LA GLOBULE

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L'équipe chargée de développer le navigateur Internet Explorer annonce une nouvelle version de la Platform Preview d'IE9. Cette septième mouture se concentre davantage sur les performances du moteur d'exécution JavaScript Chakra.

Dans un billet, Dean Hachamovitch, directeur général du développement de l'application, explique avoir publié de nouveaux outils permettant de comparer les performances d'IE9 à celles de Google Chrome, Firefox ou Safari. Le test  Shakespeare's Tag Cloud  permet de générer, sous la forme d'un nuage, les mots-clés à partir d'un texte donné. HTML5 Sudoku montre la rapidité avec laquelle l'application est capable de résoudre une grille de jeu tandis que Galactic illustre les possibilités des animations Canvas et du rendu 3D.

« Les scénarios de la vie de tous les jours se portent sur l'ensemble des sous-systèmes plutôt que de se focaliser sur un seul sous-système précis », explique M. Hachamovitch en réfutant l'idée qu'un navigateur ne puisse être jugé que par son moteur d'exécution JavaScript. Il ajoute : « N'utiliser qu'une partie des fonctionnalités pour en déduire une idée générale ne fait aucun sens tout comme les tests Acid ne révèlent pas la véritable conformité aux standards ».

Pour télécharger cette nouvelle Platform Preview, rendez-vous ici. Nos confrères américains d'Ars Technica ont récemment publié une astuce pour activer l'interface utilisateur.
Nouveau réseau social fraîchement arrivé sur le Web, Path part d'un postulat à contre-courant de la concurrence : limiter le nombre de contacts associé à un profil pour renforcer les liens entre l'utilisateur et ses "amis".

Co-fondé par le créateur de Napster Shawn Fanning et Dave Morin, ancien de Facebook, Path se base sur une étude menée par Robin Dunbar, professeur de psychologie évolutionniste à l'université d'Oxford. "Il a laissé entendre que le nombre maximum de relations sociales que le cerveau humain est capable de supporter à un moment donné est de 150" commente sur le blog du site Dave Morin. "Les recherches de Dunbar montrent également que les relations personnelles tendent à s'étendre d'un facteur 3. Donc nous pouvons considérer 5 personnes comme étant des amis proches, et 20 avec lesquels on entretien des contacts réguliers. 50 est, en gros, la frontière de nos réseaux personnels".C'est la raison pour laquelle Path limite la liste d'amis de ses membres à 50 personnes, là où Facebook limite la sienne à 5000. Plus "personnel" que "social", Path s'articule principalement autour du partage de photos, sur lesquelles l'utilisateur peut tagguer des personnes et introduire des indications de géolocalisation. Des données intimes réservées dans ce contexte à des contacts proches.

A l'heure actuelle, l'utilisation de Path est particulièrement restreinte, dans la mesure où seules deux applications destinées à l'iPhone et à l'iPod touch sont proposées pour gérer l'upload de photos. Une version Web et des applications pour Android et Blackberry semblent néanmoins sur les rails, à en croire les annonces de recrutement proposées sur le site.

Totalement à l'opposé des autres réseaux sociaux tels que Facebook, MySpace ou Twitter, qui jouent vertement sur l'augmentation du nombre de contacts pour favoriser la "cyber élévation sociale", Path a donc la lourde tâche d'imposer sa vision à la fois originale et limitée des relations sur Internet. En l'absence d'une véritable version Web le site permet juste de s'inscrire et de configurer son profil il semble néanmoins difficile, de prime abord, de se faire une idée concrète et de tenter de convertir ces contacts à cette version intimiste du réseau social.

Pourtant, le lancement des applications iPhone et iPod touch dimanche dernier a démontré un véritable engouement des américains pour le projet : la mouture iPhone de l'app s'est rapidement hissée dans le top 5 des applications les plus téléchargées dans la catégorie "Style de vie" d'iTunes, et jouit de retours positifs de la part des premiers utilisateurs. "Pour partager des souvenirs personnels, ce programme est parfait" commente un adepte de l'application iPhone, qui se refuse à partager ses informations personnelles sur Facebook.

Un démarrage en fanfare donc, pour une application très minimaliste à l'heure actuelle, mais dont la sobriété va finalement de concert avec le concept même du "réseau personnel" qui s'engage à aider ses membres à partager avec leurs amis, sans fioritures. Selon les dires de l'acteur Ashton Kutcher, grand adepte de Twitter et investisseur dans Path, ce nouveau service cherche à "faire du monde un endroit plus heureux" en contribuant au partage de souvenirs entre proches. Le bonheur, simple comme une photo tagguée et géolocalisée ?
Après plusieurs années de résistance acharnée Hachette a finalement cédé mercredi aux avances de Google dans l'épineux dossier de la numérisation des livres. Le numéro un du marché français de l'édition vient en effet d'annoncer la signature d'un accord selon les termes duquel le moteur de recherche pourra numériser et diffuser en ligne les ouvrages de la maison Hachette qui ne sont plus disponibles dans le commerce, soit le catalogue des "épuisés".

Si sur le plan financier, l'accord n'aura sans doute qu'une portée limitée - les livres concernés n'étant plus distribués, cette annonce signe tout de même la fin du front uni qu'offrait jusqu'ici l'édition française face aux ambitions de Google : Hachette va même jusqu'à appeler les autres éditeurs français à reprendre à leur compte les dispositions de l'accord en question, qui doit aboutir sur un contrat définitif dans les six mois. Entre 40 et 50 000 ouvrages sont concernés.Hachette Google, partenaires inattendusL'éditeur assure toutefois ne pas avoir vendu son âme au diable. Selon le protocole établi par les deux partenaires du jour, c'est lui qui sélectionnera la liste des ouvrages pouvant être à nouveau distribués - et non Google. En échange de l'effort de numérisation, Google pourra les exploiter sur sa plateforme Google Livres, ainsi que sur sa future plateforme de distribution payante, Google Edition, mais Hachette recevra une copie de l'ouvrage concerné et sera également en mesure de l'exploiter pour son compte.

« Ce n'est pas un quitus donné à Google pour son comportement passé, mais un cadre permettant de repartir sur de nouvelles bases, équitables, équilibrées et respectueuses de nos droits et de ceux de nos auteurs », a commenté Arnaud Nourry, président de Hachette Livre.

Les négociations n'étaient pourtant pas gagnées d'avance : depuis 2004 et l'ouverture du programme Google Livres (initialement appelé Google Print), les maisons d'édition, françaises comme américaines, reprochent à Google d'avoir pioché sans les consulter dans les grandes bibliothèques américaines des livres tombés dans le domaine public... ou encore sous droits. Suite à plusieurs procès, dont l'un soldé par un accord à 125 millions d'euros, Google avait alors fini par mettre en place une procédure permettant aux éditeurs de signaler les ouvrages numérisés apparaissant sur sa plateforme sans leur accord. Une procédure de type opt-out qui n'a pas franchement fait le bonheur de la profession.Google ? Méfiance, répond l'édition

Egalement porté sur le terrain des bibliothèques nationales - au premier rang desquels la BnF, cette bataille avait fait naître la crainte que Google parvienne à s'arroger le pan littéraire des cultures nationales au détriment des acteurs de ces dernières. Aujourd'hui, le moteur de recherche se félicite avec Hachette d'avoir pu sortir de ce conflit "par le haut". « Les auteurs français auront de nouveaux débouchés commerciaux pour leurs livres ; et les lecteurs à travers le monde auront le plaisir de voir réapparaître des livres en langue française qu'ils ne parvenaient plus à trouver », se réjouit ainsi David Drummond, vice président en charge du développement et des affaires juridiques chez Google. Les plus virulents des éditeurs partisans d'une plateforme servant mieux les intérêts français risquent pourtant de ne pas partager cet enthousiasme.
Le blog officiel du site de micro-blogging annonce qu'une nouvelle fonctionnalité est disponible. Plus précisément, il s'agit d'une extension des « trending topics » ou sujets tendances, chauds, diffusés sur Twitter. De nouveaux pays, dont la France mais aussi de nouvelles villes sont ajoutées.L'intérêt est donc de savoir quels sujets font l'actualité dans la twittersphère française, on aura noté que l'intervention télévisée du président de la République sous le hashtag #sarkotv était l'un des sujets les plus commentés, ce mardi. Il suffit simplement de cliquer sur « trends ». Une liste est alors dévoilée avec 18 nouveaux pays : Argentine, Australie, Chili, Colombie, France, Allemagne, Inde, Indonésie, Italie, Pays-Bas, Singapour, Espagne, Turquie et Venezuela.

De même, 24 villes sont également disponibles comme Detroit, Miami, Minneapolis, Rio De Janeiro, Sydney, Toronto… Aucune française.

A noter enfin que le site a également fait le choix de lancer un outil de traduction des tweets. En partenariat avec Google Translate, ce service est censé permettre la compréhension entre utilisateurs.
La dernière fois que nous parlions de Kayak dans nos colonnes, c'était pour évoquer son mécontentement : comme d'autres spécialistes de la comparaison de billets d'avion, Kayak souhaite empêcher Google de racheter ITA Software, le logiciel qui leur permet d'obtenir les informations de vols. Mais il semblerait que tout n'aille pas si mal pour le moteur de recherche de billets d'avion, puisqu'il vient de remplir un formulaire de demande d'entrée en bourse. Kayak espère y lever 50 millions de dollars.

Kayak est l'éditeur derrière les sites de voyage Expedia et Orbitz. Le groupe a déjà levé 22 millions de dollars depuis sa création en 2004. L'introduction en bourse (IPO) sera menée par un groupe de banque dont Morgan Stanley et la Deutsche Bank. Aucun prix par action n'a été communiqué.

Et si le rappel de l'affaire ITA Software a son intérêt, c'est parce que Kayak vise l'introduction en bourse en partie pour contrer Google. Car pour lui, si le géant rachète ITA Software, « les gens pourront trouver des informations sur les vols comparables sur Internet, sans passer par un service comme le nôtre. Selon Experian Hitwise, en septembre 2010, environ 30% des recherches de voyages ont débuté sur Google. Avec le rachat d'ITA, ce nombre pourrait largement augmenter, puisque Google devrait choisir d'offrir des services qui sont en compétition directe avec ceux que nous offrons. »

L'entrée en bourse de Kayak risquait donc fort d'être repoussée avec le rachat d'ITA Software par Google. Le site a donc accéléré le processus, profitant de l'enquête en cours du département américain de la justice sur l'arrangement ITA-Google, pour tenter son IPO.
De l'e-commerce classique au kiosque de musique en passant par le livre électronique et le prêt-à-porter, le cyber-marchand Amazon diversifie de plus en plus ses activités sur la Toile. Cette fois la société américaine s'attaque au monde du cinéma et présente Amazon Studios.

Ce nouveau site invite les scénaristes et les réalisateurs américains à soumettre leurs travaux. Amazon précise que les vidéos doivent être mises en ligne dans leur intégralité (au moins 70 minutes) et se baser sur des scénarios également publiés sur le site. Amazon Studios fera ensuite appel à la communauté des cinéphiles pour évaluer chacune des soumissions voire pour modifier le déroulement d'une histoire. Si les films proposés doivent être originaux et présenter de talentueux acteurs, Amazon n'exige cependant pas une qualité irréprochable. D'ailleurs, la société s'engage à reverser 2,7 millions de dollars pour la production finale des meilleurs clips.

Pour cette initiative, Amazon travaille en collaboration avec les studios de Warner Bros. Si un réalisateur voit son projet sélectionné, il recevra 200 000 dollars. Par la suite, si le film enregistre une recette de 60 millions de dollars au box office américain, le réalisateur touchera un bonus de 400 000 dollars. En cas de refus de production de Warner Bros, Amazon n'exclut pas faire appel à un autre studio. Les artistes peuvent soumettre leurs oeuvres jusqu'au 31 décembre 2011.

Si cette nouvelle plateforme de contenus remplit ses promesses, Amazon devrait alors bénéficier d'une meilleure visibilité en se positionnant comme studio de production. L'on imagine également que la société a négocié avec Warner pour obtenir une part des recettes générées par les films qui entreront dans le box office.

L'appel à la communauté pour découvrir de nouveaux talents n'est pas une idée nouvelle. Dans l'Hexagone, certaines sociétés ont entrepris de faire financer les artistes directement par les internautes, c'est le cas de MyMajorCompany dans le domaine de la musique ou de TousCoProd dans le monde du septième art.
Belle descente ! Le caviste virtuel 1855, spécialisé dans la vente de vins en ligne, vient d'annoncer une nouvelle levée de fonds portant sur un montant de 7 millions d'euros qui doit lui permettre de procéder à des opérations de croissance externe. C'est, pour cette société cotée sur Alternext, la deuxième de l'année, après une augmentation de capital de 9 millions d'euros réalisée en février.Comme la précédente, cette levée de fonds est réalisée par le biais d'une émission de nouvelles actions (0,08 euro l'unité, prime d'émission comprise), qui une fois menée à son terme permettra à la société de disposer de fonds propres augmentés de 7 millions d'euros. La part du capital restant au main des fondateurs passera de 59,1 à 51% à l'issue de la procédure.

Emeric Sauty de Chalon, président de 1855, ne fait aucun mystère des ambitions expansionnistes du groupe : « dans tous les secteurs d'activité où internet a radicalement changé les règles du jeu, le marché s'est consolidé et a vu émerger un ou deux leaders en position incontournable », fait-il valoir dans un communiqué, annonçant son intention de positionner la société sur les futures étapes de concentration qui surviendront sur le marché du vin en ligne.
le 17/11/2010 à 00:00
Oracle publie Solaris 11 Express
Oracle vient d'annoncer la disponibilité immédiate et générale de Solaris 11 Express, son système d'exploitation Unix dédié aux développeurs.

Ce n'est donc pas la version qui sera commercialisée aux entreprises, mais elle permet toutefois de voir les changements apportés par Oracle à son système d'exploitation - le dernier de la ligne Solaris, Oracle ayant récemment enterré la variante open-source OpenSolaris.

Pour la nouvelle version de son système, Oracle met l'accent sur les gains de performances, avec un temps d'arrêt réduit jusqu'à 50% grâce à « l'élimination virtuelle des redémarrages liés aux traditionnelles opérations de maintenance et de mise à jour. » Oracle annonce aussi un temps de démarrage du système limité « à quelques dizaines de secondes. »

Parmi les nouvelles fonctionnalités, on trouve la virtualisation réseau et la gestion de ressources associées. Oracle explique qu'il utilisera Solaris 11 Express pour faire tourner ses machines Exadata X2-2 et X2-8 Database, ainsi que son Exalogic Elastic Cloud. Autres nouveautés, l'installation est facilitée par plusieurs processus d'automatisation, et l'Image Packaging System (IPS), annoncé ils y a plusieurs semaines, a été intégré pour offrir une mise à jour système plus sécurisée.

Oracle Solaris 11 Express est disponible au téléchargement sur le site de l'éditeur, avec toutes ses spécifications et les manuels associés. Des versions SPARC, x86 sont disponbibles, en installation manuelle, live CD, USB ou image de dépôt.
En août 2008, Microsoft dévoilait Windows Live FrameIt. Ciblant les possesseurs de cadres numériques connectés, le service alors en phase d'évaluation, permettait de rassembler plusieurs flux RSS et de formater le texte ou les images via une sélection de thèmes optimisés pour petits écrans.

A l'ére du smartphone et de la tablette, le cadeau phare des fêtes de fin d'année en 2008 ne suscite cependant plus tellement l'intérêt des consommateurs. D'ailleurs, deux ans plus tard, le service de Microsoft est toujours en bêta. L'équipe de Windows Live a donc simplement décidé de fermer le projet.

Les flux configurés par les utilisateurs cesseront de fonctionner le 15 décembre prochain. Microsoft précise que les images et les vidéos hébergés sur Windows Live Photos ou Live Skydrive seront toujours disponibles au téléchargement.
le 17/11/2010 à 00:00
Meebo lève 25 millions de dollars
Le service Internet Meebo, qui permet de rassembler au sein d'une même interface web l'ensemble de vos comptes de messagerie instantanée, vient de lever 25 millions de dollars auprès des fonds d'investissements Khosla Ventures, Sequoia Capital et Draper Fisher Jurvetso.

Dans un entretien recueilli par AllThingsD, Vinod Khosla explique de 87% des annonceurs ayant déployé leurs campagnes promotionnelles sur Meebo en 2009 ont accepté de reconduire leur partenariat en doublant leur budget publicitaire. De toute évidence la juxtaposition d'une bannières aux côtés d'une fenêtre de discussion est donc une solution payante. Récemment Meebo a dévoilé une nouvelle version de son site Internet, peaufiné ses applications mobiles et intégré un dispositif de checkins similaire à celui de Foursquare permettant aux utilisateurs de partager non pas leur position géographique mais leur lecture sur Internet.

Meebo bénéficierait aujourd'hui d'une base de 190 millions d'utilisateurs soit une croissance de 50% par rapport à l'année dernière. Au total, la société a levé 62,5 millions de dollars.
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