LA GLOBULE

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le 17/11/2010 à 00:00
Oracle publie Solaris 11 Express
Oracle vient d'annoncer la disponibilité immédiate et générale de Solaris 11 Express, son système d'exploitation Unix dédié aux développeurs.

Ce n'est donc pas la version qui sera commercialisée aux entreprises, mais elle permet toutefois de voir les changements apportés par Oracle à son système d'exploitation - le dernier de la ligne Solaris, Oracle ayant récemment enterré la variante open-source OpenSolaris.

Pour la nouvelle version de son système, Oracle met l'accent sur les gains de performances, avec un temps d'arrêt réduit jusqu'à 50% grâce à « l'élimination virtuelle des redémarrages liés aux traditionnelles opérations de maintenance et de mise à jour. » Oracle annonce aussi un temps de démarrage du système limité « à quelques dizaines de secondes. »

Parmi les nouvelles fonctionnalités, on trouve la virtualisation réseau et la gestion de ressources associées. Oracle explique qu'il utilisera Solaris 11 Express pour faire tourner ses machines Exadata X2-2 et X2-8 Database, ainsi que son Exalogic Elastic Cloud. Autres nouveautés, l'installation est facilitée par plusieurs processus d'automatisation, et l'Image Packaging System (IPS), annoncé ils y a plusieurs semaines, a été intégré pour offrir une mise à jour système plus sécurisée.

Oracle Solaris 11 Express est disponible au téléchargement sur le site de l'éditeur, avec toutes ses spécifications et les manuels associés. Des versions SPARC, x86 sont disponbibles, en installation manuelle, live CD, USB ou image de dépôt.
Lors du sommet Web 2.0, Yahoo! a dévoilé un nouvel outil d'analyse basé sur les usages de son moteur de recherche. Baptisé Yahoo! Clues, ce service permet de retourner différents types de données pour une requête spécifique ou de comparer les caractéristiques de deux mots-clés. Ces informations proviennent de l'adresse IP de l'internaute ainsi que des données des comptes utilisateur de Yahoo!

Probablement plus utile pour l'annonceur que pour l'utilisateur lambda, Yahoo! Clues bêta est capable de déterminer la part d'hommes et de femmes effectuant telle ou telle requête ainsi que leur tranche d'âge. Le service prend également en compte la position géographique des internautes ainsi que leurs revenus annuels. Yahoo! Clues présente les dernières requêtes associées au mot-clé ainsi que d'autres types de recherches similaires. Les sujets chauds du moment sont aussi mis à jour quotidiennement avec une archive hebdomadaire et mensuelle.

Pour l'heure réservé aux Etats-Unis, ce nouvel outil devrait ainsi se révéler particulièrement intéressant pour l'annonceur souhaitant déployer une campagne tout en ciblant une zone géographique précise et un public en particulier.

Retrouvez ci-dessous une vidéo de démonstration en anglais :
Belle descente ! Le caviste virtuel 1855, spécialisé dans la vente de vins en ligne, vient d'annoncer une nouvelle levée de fonds portant sur un montant de 7 millions d'euros qui doit lui permettre de procéder à des opérations de croissance externe. C'est, pour cette société cotée sur Alternext, la deuxième de l'année, après une augmentation de capital de 9 millions d'euros réalisée en février.Comme la précédente, cette levée de fonds est réalisée par le biais d'une émission de nouvelles actions (0,08 euro l'unité, prime d'émission comprise), qui une fois menée à son terme permettra à la société de disposer de fonds propres augmentés de 7 millions d'euros. La part du capital restant au main des fondateurs passera de 59,1 à 51% à l'issue de la procédure.

Emeric Sauty de Chalon, président de 1855, ne fait aucun mystère des ambitions expansionnistes du groupe : « dans tous les secteurs d'activité où internet a radicalement changé les règles du jeu, le marché s'est consolidé et a vu émerger un ou deux leaders en position incontournable », fait-il valoir dans un communiqué, annonçant son intention de positionner la société sur les futures étapes de concentration qui surviendront sur le marché du vin en ligne.
Les efforts de Microsoft dans le domaine de la recherche sur Internet ont-ils porté leurs fruits ? Pas encore et Microsoft semble s'impatienter. Il faut dire qu'avec ses 3,2% de parts de marché, le moteur Bing reste plutôt à la traîne face au mastodonte Google qui recueille de son côté 85,15% des requêtes.

Pourtant les initiatives n'ont pas manqué. Outre une campagne promotionnelle de 80 millions de dollars, Microsoft a enrichi les fonctionnalités de son moteur tirant tantôt parti de Silverlight, tantôt de HTML5. Le rapprochement avec Yahoo! et le partenariat avec Wolfram Alpha ne semblent pas non plus avoir modifié de manière fulgurante la place du moteur qui reste inlassablement derrière Yahoo!.

Lors du sommet Web 2.0 qui se tient actuellement à San Francisco, Yusuf Mehdi, vice président du département Online Audience Business, déclare alors : « il nous reste beaucoup de chemin pour accomplir nos objectifs ». En référence aux internautes qui ne s'y prennent pas à deux fois pour effectuer une requête directement sur Google, il ajoute : « c'est dur, il n'est pas facile de changer les habitudes ».

Pourtant Google semble prendre les initiatives de Microsoft au sérieux. Au mois de septembre le PDG Eric Schmidt avait ainsi déclaré : « Notre principal concurrent est Bing, c'est un moteur de recherche bien géré et très compétitif ». Microsoft saura-t-il un jour changer la donne ? Rien est moins sûr car M. Schmidt a également affirmé le mois dernier qu'au travers des données recueillies par les internautes : « nous pouvons plus ou moins savoir ce que vous êtes en train de penser ».

De toute évidence, Bing a donc quelques travaux de retard...
La dernière fois que nous parlions de Kayak dans nos colonnes, c'était pour évoquer son mécontentement : comme d'autres spécialistes de la comparaison de billets d'avion, Kayak souhaite empêcher Google de racheter ITA Software, le logiciel qui leur permet d'obtenir les informations de vols. Mais il semblerait que tout n'aille pas si mal pour le moteur de recherche de billets d'avion, puisqu'il vient de remplir un formulaire de demande d'entrée en bourse. Kayak espère y lever 50 millions de dollars.

Kayak est l'éditeur derrière les sites de voyage Expedia et Orbitz. Le groupe a déjà levé 22 millions de dollars depuis sa création en 2004. L'introduction en bourse (IPO) sera menée par un groupe de banque dont Morgan Stanley et la Deutsche Bank. Aucun prix par action n'a été communiqué.

Et si le rappel de l'affaire ITA Software a son intérêt, c'est parce que Kayak vise l'introduction en bourse en partie pour contrer Google. Car pour lui, si le géant rachète ITA Software, « les gens pourront trouver des informations sur les vols comparables sur Internet, sans passer par un service comme le nôtre. Selon Experian Hitwise, en septembre 2010, environ 30% des recherches de voyages ont débuté sur Google. Avec le rachat d'ITA, ce nombre pourrait largement augmenter, puisque Google devrait choisir d'offrir des services qui sont en compétition directe avec ceux que nous offrons. »

L'entrée en bourse de Kayak risquait donc fort d'être repoussée avec le rachat d'ITA Software par Google. Le site a donc accéléré le processus, profitant de l'enquête en cours du département américain de la justice sur l'arrangement ITA-Google, pour tenter son IPO.
De l'e-commerce classique au kiosque de musique en passant par le livre électronique et le prêt-à-porter, le cyber-marchand Amazon diversifie de plus en plus ses activités sur la Toile. Cette fois la société américaine s'attaque au monde du cinéma et présente Amazon Studios.

Ce nouveau site invite les scénaristes et les réalisateurs américains à soumettre leurs travaux. Amazon précise que les vidéos doivent être mises en ligne dans leur intégralité (au moins 70 minutes) et se baser sur des scénarios également publiés sur le site. Amazon Studios fera ensuite appel à la communauté des cinéphiles pour évaluer chacune des soumissions voire pour modifier le déroulement d'une histoire. Si les films proposés doivent être originaux et présenter de talentueux acteurs, Amazon n'exige cependant pas une qualité irréprochable. D'ailleurs, la société s'engage à reverser 2,7 millions de dollars pour la production finale des meilleurs clips.

Pour cette initiative, Amazon travaille en collaboration avec les studios de Warner Bros. Si un réalisateur voit son projet sélectionné, il recevra 200 000 dollars. Par la suite, si le film enregistre une recette de 60 millions de dollars au box office américain, le réalisateur touchera un bonus de 400 000 dollars. En cas de refus de production de Warner Bros, Amazon n'exclut pas faire appel à un autre studio. Les artistes peuvent soumettre leurs oeuvres jusqu'au 31 décembre 2011.

Si cette nouvelle plateforme de contenus remplit ses promesses, Amazon devrait alors bénéficier d'une meilleure visibilité en se positionnant comme studio de production. L'on imagine également que la société a négocié avec Warner pour obtenir une part des recettes générées par les films qui entreront dans le box office.

L'appel à la communauté pour découvrir de nouveaux talents n'est pas une idée nouvelle. Dans l'Hexagone, certaines sociétés ont entrepris de faire financer les artistes directement par les internautes, c'est le cas de MyMajorCompany dans le domaine de la musique ou de TousCoProd dans le monde du septième art.
Beaucoup a déjà été dit sur la nature et l'origine du ver Stuxnet. Ce dernier est accusé d'avoir attaqué à des réseaux de type SCADA, des infrastructures appelées Supervisory Control And Data Acquisition (télésurveillance et acquisition de données).A en croire le spécialiste Robert Langner, une nouvelle étude estime que ce logiciel malveillant aurait été créé spécifiquement pour « saboter le programme nucléaire iranien ». Certains experts estiment ainsi que l'existence de problèmes techniques inexpliqués dans le programme nucléaire iranien relève du sabotage.

Concrètement, Stuxnet pouvait dérégler certains mécanisme et agir sur les convertisseurs de fréquence du moteur de turbines d'une centrale. Le ver s'attaquerait alors uniquement aux fréquences comprises entre 807 hz et 1210 hz, un type de vitesse qui ne correspond qu'à un nombre limité d'usages.

Ce moyen aurait donc été utilisé afin de « ralentir le programme nucléaire iranien ». Une thèse plausible mais invérifiable. D'autant que les théories se multiplient au sujet de Stuxnet, le mois dernier, Vinny Gullotto, directeur général du Microsoft Malware Protection Center précisait : « je pense que Stuxnet a pu être écrit par un script kiddy mais le plus important est de connaître quel travail collaboratif a été organisé en aval. Il faut des ressources nécessaires pour le faire se propager ». Les doutes persistent donc...
A l'heure où le remaniement ministériel touche toutes les strates du numérique, le secteur du développement durable nourrit encore des ambitions. Concernant les liens entre informatique et préservation de l'environnement, Thomas de Lacharrière, responsable de l'offre Green Tech de Devoteam estime que beaucoup reste encore à faire.Comment recensez-vous les besoins des professionnels en matière de technologies vertes ?

Nous nous basons sur notre expertise pour réaliser un audit des besoins. L'intérêt est ici de voir en amont les projets d'organisation ou de conduite des changements afin de définir les bons angles d'attaque. C'est une structure, une démarche qu'il faut réaliser. Suite à cet audit, on en tire des conclusions et une feuille de route qui vise à mettre en place une série de bons usages. On peut alors recommander des logiciels de supervision de l'énergie par exemple ou des moyens de mesurer la performance énergétique d'un centre de données.Quels sont les manques, les besoins courants des entreprises. Ont-elles suffisamment de recul sur leur activité pour vouloir définir une activité « Green » ferme ?

Il faut bien comprendre que les professionnels ne s'engagent pas dans une production verte pour sauver la planète, ce n'est pas dans leur ADN. Non, le motif principal est plus souvent de nature économique dans un premier temps. Malgré cela, les sociétés savent désormais que des sollicitations en termes d'image, de réglementation ou d'innovation peuvent être des vecteurs motivants pour adopter une attitude Green. Autant de points qui peuvent doper la capacité d'Eco-conception d'un professionnel.Quels sont les freins à l'adoption de mesures prônant une consommation raisonnée ?

Les raisons pour adopter une telle posture ne manquent pas mais les freins existent. D'habitude, on demande aux DSI de porter une grande attention aux coûts,à la rentabilité, au ROI (retour sur investissement,ndr). Cette fois, de nouveaux éléments existent qui sont encore difficile à comprendre pour certains.Ne peut-on pas parler plutôt de convergence des logiques. Sur le Cloud, par exemple, l'économique ne rejoint-il pas l'écologique ?

En ce sens oui. L'externalisation des ressources peut être un gage d'efficacité pour un professionnel. Le Cloud engendre une maximisation des puissances de calcul mais encore faut-il se poser la question de l'endroit où sont stockées ces données. S'il s'agit d'un Etat qui produit son énergie de manière polluante… C'est toute la filière qu'il faut surveiller.

C'est aussi la même logique pour le retraitement des déchets électroniques (conformément à la directive européenne DEEE), même si encore peu de professionnels suivent correctement les obligations, il faut savoir que cela peut leur rapporter beaucoup.Le système de taxation, notamment via l'éco-taxe est donc à revoir en France ?

L'Eco-taxe, qui découle de la directive européenne DEEE, est mal utilisée. Il convient, à mon sens, de mesurer la Valeur ajoutée exacte de cette taxe. C'est comme la problématique de la taxe Carbone, on a vu beaucoup d'annonces après le Grenelle de l'environnement mais peu de choses ont été mises en place. Il est, à l'heure actuelle plus qu'important d'ouvrir le débat sur la fiscalité « Carbone » et d'y inclure les autres activités qui génèrent ces rejets.Quels sont les bons gestes à faire et reproduire au niveau du poste de travail, de l'utilisateur ?

Sur ce point, certaines avancées sont déjà notables. Par exemple, la rationalisation de l'impression est une chose qui commence à être acquise, qui se généralise. Sur ce terrain, je noterais également l'essor du télétravail. Ce domaine a connu un véritable essor l'an dernier. Il faut savoir que ce secteur a connu une hausse de plus de 50% des utilisateurs. C'est, à mon sens, une tendance qui va se maintenir et se confirmer.
Les services permettant de raccourcir les URL sont désormais légion et proposent tous des services similaires : pour tirer leur épingle du jeu, certains tentent donc de proposer de nouveaux services. C'est le cas de Bit.ly qui propose une nouvelle fonctionnalité à ses utilisateurs inscrits.

Cette dernière est baptisée Bundle, et permet de rassembler plusieurs URL à travers une adresse raccourcie. L'utilisation de Bundle nécessite d'être identifié sur le service, l'inscription gratuite prenant quelques instants : le membre a alors accès à un menu étendu qui permet de créer des shorts URL à la volée, et de les compiler en une seule s'il le souhaite : la courte adresse ainsi obtenue renvoie alors sur une page Bit.ly qui rassemble tous les liens choisis, et qu'il est possible de personnaliser avec un titre et une description.

Bit.ly Bundle peut donc offrir un intérêt aux grands consommateurs d'URL raccourcies désireux de compiler certains liens ensemble, façon revue de Web thématique. Un usage qui peut également aller au-delà de Twitter et autres plateformes utilisant massivement les adresses courtes. Il faut cependant noter que Bit.ly n'est pas le premier a proposer une telle fonction : c'est la raison d'être de BridgeURL, qui offre néanmoins un agencement bien différent.
le 16/11/2010 à 00:00
Yahoo! lance son nouveau calendrier
Plus de deux ans après le lancement de la bêta, le service Yahoo! Calendar, proposant un agenda hébergé, est finalement disponible en version finale et devrait prochainement retrouver sa place au sein de Yahoo! Mail.

Basé sur les standards iCalendar et CalDav, Yahoo! Calendar promet une interopérabilité avec les calendriers publics d'Apple, de Microsoft, d'AOL, de Mozilla et de Google. L'usage des dernières technologies Internet comme le DOM et l'Ajax permet le glisser-déposer des événements. Aussi, chaque interaction est directement prise en compte et ne nécessite aucun rafraichissement de la page.

Le support du protocole CalDav permettra de synchroniser les événements par Internet avec les smartphones compatibles (typiquement l'iPhone) ainsi que les applications de type Apple iCal ou Mozilla Sunbird (ou son extension Lightning). Avec la prise en charge du format iCal l'internaute pourra s'inscrire à un calendrier externe et partager plus facilement le flux de son agenda.

Outre une optimisation du chargement, l'équipe de développement a également revu l'ergonomie avec un meilleur affichage à l'écran. Reste tout de même que le service n'est toujours pas disponible en français.
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