LA GLOBULE

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Ce weekend, plusieurs rumeurs pointèrent vers la sortie prochaine d'une déclinaison gratuite du bouquet de services hébergés d'Apple. En effet, le site spécialisé MacRumors rapporte qu'en analysant le code source de la prochaine version d'iOS, certains développeurs ont pu observer de nouvelles portions annotées.

Si l'on en croit la capture d'écran publiée, Apple s'apprêterait à proposer différentes déclinaisons de son service MobileMe dont une version gratuite. Cette initiative viserait à être plus compétitif face à Google qui déploie sur son système Android une connexion de type Exchange gratuite. Apple pourrait alors également proposer la synchronisation des contacts, des événements, des favoris ou des notes (l'accès à l'email resterait pour sa part réservé aux comptes payants). Notons par ailleurs, que HTC a récemment dévoilé un service similaire baptisé HTCSense.com pour ses smartphones Android. Aussi, avec ses Windows phone 7 Microsoft offre la connexion Exchange gratuitement pour les comptes Hotmail.

Pour rappel, MobileMe est aujourd'hui facturé à 79 euros et propose un webmail, un calendrier, un carnet d'adresses, un espace stockage en ligne sur iDisk, une galerie de photos / vidéos, le service d'accès à distance Back to my Mac ou encore Find my iPhone pour localiser un iPhone ou un iPad perdu ou volé grâce à la puce GPS.
Ces dernier temps, le service spécialisé dans les offres promotionnelles Groupon ne cesse de faire parler de lui. En effet, après les rumeurs qui spéculaient sur un éventuel rachat par le portail Yahoo! pour 3 milliards de dollars, c'est finalement un accord commun que les deux parties ont dévoilé la semaine dernière lors du sommet Web 2.0.

Yahoo! intègrera l'offre de Groupon au sein des déclinaisons locales de ses sites internet en incluant également le contenu d'autres sociétés spécialisées telles que LivingSocial, Gilt City, BloomSpot, BuyWithMe, DealOn, Zozi, CrowdSavings, Lifebooker, FreshGuide, Scoop St, Goldstar, HomeRun, Tippr, Coupons.com, ou encore Valpak. Pourtant, si Yahoo! n'a pas su finaliser ce rachat, d'autres, tels que Google se montrent également intéressé.

Selon le magazine AllThingsD, la startup de Chicago serait en train de considérer une offre de rachat émanant cette fois de la part du géant de Mountain View. Pour beaucoup il s'agirait de la plus grosse acquisition du spécialiste de la recherche, la dernière en date étant la régie publicitaire DoubleClick pour 3,2 milliards de dollars. Groupon permettrait à Google d'avoir la main mise sur le marché de la publicité locale aux Etats-Unis évalué à 133 milliards de dollars et de devancer Facebook qui a récemment introduit la fonctionnalité Places sur son réseau.

Selon plusieurs personnes proches de cette affaire, les investisseurs du cabinet Allen & Co souhaiteraient pour leurs parts rester indépendants. D'autres rapportent que les discussions actuelles tournent autour d'un prix que seules quelques firmes peuvent envisager à savoir Microsoft, eBay ou Amazon. Cette année Google a effectué une dizaine d'acquisitions pour un montant total de 1,6 milliard de dollars.

Pour de plus amples informations sur Groupon, retrouvez notre entretien avec Frank Zorn, directeur commercial de la filiale française.
Face à Google et son Android Maket ou Apple et son App Store, la société Yahoo! et le répertoire d'applications GetJar ont décidé de s'allier. En effet, Yahoo! teste actuellement l'intégration du catalogue des 75 000 applications directement au sein de son moteur de recherche.

En seconde position derrière l'App Store d'Apple, GetJar propose des applications à destination des utilisateurs d'Android, de BlackBerry, de Windows Mobile ou encore de Symbian. Fondé en 2004, GetJar fut premièrement populaire auprès des détenteurs de téléphones utilisant la plateforme Java. A la fin du mois de juin le site enregistrait 3 millions de téléchargements par jour. Récemment GetJar a signé un accord avec l'éditeur du navigateur BOLT qui se targue de présenter parfaitement une page Internet sur n'importe quel téléphone compatible Java. Les utilisateurs de BOLT ont également accès à l'ensemble du catalogue.

Pour Yahoo! il s'agit de rendre la déclinaison mobile de son moteur de recherche toujours plus pertinente pour le mobinaute. Du côté de sa stratégie mobile, outre ses différentes applications pour l'iOS et Android, Yahoo! mise également sur le marché des pays en voie de développement au sein desquels nous retrouvons des appareils plus anciens compatibles avec la plateforme de Sun. Cette année, la firme de Sunnyvale a également dévoilé un téléphone en partenariat avec Alcatel qui sera commercialisé en Asie.

GetJar explique que pour être mieux indexé au sein du moteur de Yahoo! les développeurs doivent cependant ajouter quelques méta-données constituées de mots-clés à la description de leurs applications. Actuellement en test aux Etats-Unis, cette intégration devrait être déployée dans d'autres pays dans le courant de l'année prochaine.
le 21/11/2010 à 00:00
10 outils pour déboguer et tester
Lors de la réalisation d'un projet web, vous devez effectuer des tests pour être certain du bon fonctionnement de celui-ci avant la mise en production.

Le site PHPbuilder propose un ensemble d'outils utiles pour déboguer et tester votre projet. Ces outils incontournable pour eux, sont :
- Cucumber
- PHPUnit
- SimpleTest
- Xdebug
- Firebug
- FirePHP
- Watir
- Selenium
- Simulation Humaine
- Bugzilla

L'ensemble de ces outils ont tous leurs avantages, et en les combinant, vous vous trouvez avec une trousse très complète.

- 10 Productive PHP Tools for Testing and Debugging
Lorsque vous réalisez un projet web en PHP et que vous souhaitez avoir de la visibilité, il est nécessaire de mettre en place certaines fonctionnalités.

La visibilité est l'un des points qu'il ne faut pas négliger comme aussi le référencement classique. Cependant cela n'est pas la solution miracle, c'est pourquoi le site nettuts+ a regroupé dans un article 50 astuces pour que votre site soit régulièrement visité :
- Ecrire du contenu
- Faites participer la communauté
- Organiser des jeux avec des prix
- Payer de la publicité
- Ajouter un blog
- Réaliser un twitter
- Créer des applications mobiles
- etc

La liste proposée est très complète, et utile à consulter.

- 50 Ways to Get Your Site Noticed
Trois hommes viennent de plaider coupable pour avoir mis en place un système qui détournait des Captchas (Completely Automated Public Turing Test to Tell Computers and Humans Apart). Ce système de sécurité existe pour éviter que des bots ne puissent inonder un site par des spams, par exemple. Ici, les accusés s'étaient attaqués à une boutique en ligne vendant des tickets pour des concerts.Techniquement, Kenneth Lowson, Kristofer Kirsch et Joel Stevenson inondaient un système de réservation en ligne afin d'obtenir les meilleurs sièges, les meilleurs prix. Ils les revendaient ensuite au prix fort. Une méthode simple mais qui se serait développée au fil des années, explique Computerworld. Des programmeurs bulgares auraient même été embauchés afin de créer un réseau national d'ordinateurs qui « virtualisent » de nouveaux visiteurs.

Ces trois californiens ont donc été reconnus coupables de fraude et de hacking par la Cour du District de New Jersey. Ils risquent entre 1 et 5 ans de prison, selon le nombre de charges retenus contre eux.

C'est donc un vaste réseau qui vient d'être mis à terre par la Justice américaine. Ces hackers avaient créé des sociétés écrans avec des centaines de faux domaines Internet. Les « bulgares » embauchés pour la cause étaient rémunérés entre 1 000 et 1 500 dollars par mois. Un business rentable…
Après avoir admis le mois dernier avoir récupéré bien plus que de informations relatives aux réseaux WiFi "accidentellement" avec ses voitures Street View, Google vient de consentir à effacer les données privées récoltées en Grande-Bretagne, a annoncé aujourd'hui le Commissaire à l'information du Royaume-Uni (ICO), Christopher Graham. "Je salue le fait que les données récupérées sur les réseaux WiFi puissent finalement être détruites" a-t-il commenté.

Le vice-président de Google Alan Eustace s'est également engagé à améliorer la formation de son personnel, en mettant en place des mesures visant à le sensibiliser sur le sujet de la protection des données personnelles, rapport le quotidien DailyMail. L'ICO procèdera à une vérification dans 9 mois pour s'assurer que les mesures sont bien appliquées.

Si cette nouvelle résonne comme une victoire pour les défenseurs de la vie privée de Grande-Bretagne, elle souligne également les réticences de Google à effacer les données récoltées "par accident" ces derniers mois. L'histoire ne dit pas si Google dispose encore de données privées récoltées dans d'autres pays, mais il y a fort à parier que les équivalents locaux de notre CNIL ne vont pas tarder à se pencher sur la question.
Juniper Networks vient d'annoncer le rachat d'une partie des brevets de Blackwave, un fournisseur d'infrastructure pour le stockage de vidéos en ligne.

La propriété intellectuelle de Blackwave porte sur des technologies d'amélioration de la performance du stockage, et de sa flexibilité pour les montées en charge, selon Juniper. Le fabricant souhaite intégrer ces technologies dans son système de distribution de médias, Media Flow Controller. Ce dernier permet de gérer la mise en cache et la distribution des contenus multimédias comme la vidéo.

Media Flow lui-même est le résultat de l'acquisition par Juniper de l'entreprise Akeena Networks au début de l'année. Juniper avait alors dépensé 100 millions de dollars, mais cette fois, on ne sait pas quelle somme il a déboursée pour s'offrir le portefeuille de Blackwave.

Juniper veut faire de son Media Flow Controller une solution pertinente pour une distribution unifiée des médias en ligne. Il vise les entreprises, et pourra désormais assurer la distribution par le biais de divers protocoles à de larges audiences. Selon Blackwave, cela lui permettra aussi de faire chuter le coût par flux. Le portefeuille Media Flow est désormais doté de solutions à la fois logicielles et matérielles.
Kaj Arnö - photo Arnaud LimbourgSi les questions autour du futur de MySQL peuvent parfois paraître absconses, le forum PHP, qui s'est tenu la semaine dernière à la Cité des Sciences de la Vilette à Paris, nous a permis d'approcher la question d'une manière toute concrète. Les représentants de SkySQL et Monty Program, Kaj Arnö et Rasmus Johansson, ont fait pour nous le tour de la question.Séparation de l'Eglise et de l'Etat

Vues les attaques récentes d'Oracle sur les anciens produits de Sun, de Java à OpenSolaris, faut-il abandonner tout espoir de voir l'éditeur soutenir MySQL ? La récente augmentation du prix des services d'assistance liée peut faire craindre le pire, et nos deux interlocuteurs n'ont rien fait pour nous rassurer. « En fait, à l'origine, nous travaillions tous pour MySQL, » explique Kaj Arnö. « Il y avait à l'époque une sorte de dichotomie entre l'équipe business et l'équipe communauté. Les premiers voulaient faire de l'argent, les autres s'en fichaient, et voulaient aider les utilisateurs à adopter la solution. Avec SkySQL et Monty Program, il y a eu une sorte de séparation de l'Eglise et de l'Etat, qui a résolu le problème, mais chez Oracle, la question a été traitée autrement : c'est le business qui a gagné. »

Et à écouter le PDG de SkySQL, le but d'Oracle ne serait pas de développer l'utilisation de MySQL. En cause : Oracle DB, le gestionnaire de bases de données maison. Plutôt que de tenter de gagner des parts de marché sur la solution SQL de Microsoft, au risque de vampiriser le marché d'Oracle au passage, l'éditeur aurait, selon Kaj Arnö, une position défensive. MySQL ne serait donc plus qu'une barrière pour ne pas laisser trop de parts de marché à Microsoft. « En tous cas, si j'étais du côté d'Oracle, c'est ce que je ferais. »

Garder le statu quo, au risque de tuer MySQL ? « Ils ne diront jamais ouvertement qu'ils veulent tuer MySQL, » explique Kaj Arnö. « Mais il y a d'autres façons de faire : Oracle peut embrasser MySQL jusqu'à l'étouffer. Mais ils ne s'en débarrasseront pas ouvertement, car ils craignent trop que l'Union européenne, par exemple, puisse enquêter sur la question. » En clair, MySQL serait le dernier bastion de l'open-source chez Oracle. « C'est fondamental ! Il n'y a qu'à voir ce qu'ils font à Java ou OpenOffice. »

Du coup, Kaj Arnö et Rasmus Johansson accréditent la thèse du responsable de l'open-source d'Adobe, David McAllister, selon laquelle Oracle aurait remplacé Microsoft à la tête de la coalition anti-open-source. Sans aller jusqu'à accepter le terme de « Super-Villain » (super-méchant, qui correspond en anglais à l'ennemi fondamental du super-héros dans les comics), Kaj Arnö ne s'empêche pas une petite pique au géant de Redmond : « Je suis d'accord, mais surtout parce que désormais, Microsoft n'est plus vraiment significatif. Ils ne sont plus au centre, donc ce n'est plus important, ce qu'ils font, ce qu'ils pensent... Oracle, de son côté, détient tellement de technologies open-source, et les attaque à tel point, que c'est bien plus grave. »Nouvelles opportunités

Pour autant, les deux entrepreneurs ne voient pas d'un mauvais oeil l'augmentation des prix de l'assistance sur MySQL. Ça ne peut qu'être bon pour leurs activités, résument-ils. Pour Kaj Arnö, « nous pouvons le faire à des prix très compétitifs par rapport à ce que fait Oracle, car nous avons les ressources pour fournir des services moins chers. »

Autant de nouvelles opportunités qui pourraient profiter à d'autres entreprises de services. Mais là encore, les deux entrepreneurs ne craignent pas la concurrence. Le monde de MySQL serait petit et assez solidaire pour compliquer la tâche des candidats à une entrée. Rasmus Johannson - Photo Arnaud LimbourgPour autant, toutes ces considérations n'empêchent pas SkySQL et MariaDB de poursuivre leurs activités avec MySQL. Même s'ils craignent l'attitude d'Oracle, ils continuent de voir MySQL comme une solution pertinente. « De toute façon, » pour Rasmus Johansson, « MySQL est encore très utilisé dans le monde. Donc il faut bien que quelqu'un prête assistance à ces utilisateurs, et ces entreprises. Même si on ne travaille plus pour MySQL AB, l'entreprise à l'origine de MySQL, il y a une sorte de conscience que, puisqu'on l'a créé, on doit aider à l'utiliser. C'est pour cela que nous maintenons des interopérabilités entre MySQL et MariaDB. »Barrières de protection

Pourquoi ne pas tout simplement amener les gens vers MariaDB, alors ? Selon Kaj Arnö, ce n'est pas si simple. « Il faut du temps pour que les choses changent, il faut commencer par créer des compatibilités avec vos nouveaux produits. Si vous voulez battre MacDonald's, il ne suffit pas de faire un fork à côté et de dire "Ok, venez". C'est un beaucoup trop grand pas. » Même si, évidemment, pour Rasmus Johannson, le but est d'amener au final les utilisateurs vers MariaDB.

Mais voilà, l'exemple de MySQL est suffisamment parlant pour qu'on se pose la question suivante : et si, demain, MariaDB était rachetée par un Oracle ? Quelles barrières, quelles préventions contre une attaque en règle de sa partie open-source ? Rasmus Johannson explique le principe : « Nous avons un business model baptisé le "hacking business model". Tous les employés ont des parts dans l'entreprise, donc si une grosse société voulait l'acheter, ils devraient être acceptés par n'importe qui. Et ce n'est pas facile de convaincre tous ces développeurs très attachés à l'open-source... »
Spam sur le déclin et malwares en pleine ascension, voilà qui résume le dernier rapport établi par McAfee concernant "le paysage des menaces" au troisième trimestre 2010 (PDF). L'éditeur va même plus loin en annonçant le chiffre faramineux de 60 000 nouveaux malwares identifiés chaque jour.

Le retour du ver Koobface qui sévi sur Facebook, le regain d'activité du réseau de robots Zeus ou encore l'arrivée de l'intrusif et offensif Stuxnet font partie des faits marquant de ce troisième trimestre.

Sur les 14 millions de malwares recensés en 2010, Zeus apparait comme l'un des plus présents. "En termes de sophistication, Zeus représente sans doute une classe de menaces à lui seul. Egalement appelé Zbot ou PWS-Zbot, Zeus se propage généralement via des téléchargement ou des attaques et sites de phishing. Bien qu'il s'agisse techniquement d'un cheval de Troie, Zeus présente de nombreuses fonctions propres aux robots" commente McAfee. Zeus aurait jusque-là coûté plus de 70 millions de dollars aux petites entreprises américaines, ajoute l'éditeur.

Stuxnet semble se tenir ex-aequo avec Zeus sur la première marche du podium en terme de menace et d'invasion. Très médiatisé depuis sa découverte en juillet, ce ver destiné à saboter des installations industrielles spécifiques s'est étendu rapidement à travers le monde, contaminant des millions d'ordinateurs en peu de temps. Si son objectif est désormais connu, son origine reste, quant à elle, un mystère à l'heure actuelle, et sa propagation s'avère inquiétante : "Stuxnet est devenu incontrôlable et a infecté des milliers, voire des millions d'ordinateurs qui n'étaient pas initialement visés. Aujourd'hui, des particuliers ou des sociétés du monde entier signalent des infections et les dommages provoqués par Stuxnet vont dépasser de très loin ceux prévus par ses auteurs".

L'éditeur conclut tout de même son rapport sur une note positive, en rapportant une baisse de diffusion du spam sur la période. "A l'exception de la Biélorussie, de la Grèce, de l'Indonésie et de laRussie, tous les pays actuellement surveillés par McAfee Labs affichent une baisse des volumes de spam" commente l'éditeur, qui présente un graphique offrant une vision globale de l'évolution du spam depuis septembre 2009. Une évolution positive néanmoins noyée dans une actualité foisonnante concernant les menaces qui circulent actuellement sur la toile.
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