LA GLOBULE

Inscris le 25/09/2002 à 10:40
  • Site web
  • Nombre de sujets
    47
  • Nombre de messages
    8 345
  • Nombre de commentaires
    142
  • Nombre de news
    8 346
  • Niveau en PHP
    Excellent

Ses dernières news

En affirmant que la transition des employés vers les technologies hébergées pouvait être déroutante, Google annonçait au mois de mars dernier le rachat de DocVerse, un plugin pour la suite bureautique Microsoft Office. DocVerse permet de sauvegarder ses documents sur Google Docs, de les synchroniser et de les mettre à jour automatiquement.

Depuis, DocVerse a évolué pour devenir Google Cloud Connect et propose de combiner l'interface des logiciels de Microsoft aux fonctionnalités de collaboration offertes par Google. « Les utilisateurs d'Office 2003, 2007 et 2010 peuvent synchroniser leurs documents avec les serveurs de Google sans quitter Office », expliquent les développeurs. Chaque fichier mis en ligne est ainsi sauvegardé et génère un lien à partager ultérieurement si nécessaire. Récemment l'équipe a introduit une fonctionnalité permettant de mettre à jour un document déjà hébergé sur les serveurs afin de faciliter le processus de collaboration avec un lien unique pour différentes éditions d'un même document. Une fois Cloud Connect installé il sera possible de collaborer à plusieurs sur un texte ou une présentation et chaque modification sera synchronisée avec une résolution « intelligente » des éventuels conflits.

Pour l'heure Google Cloud Connect est disponible en bêta pour les comptes Google Apps Business. Par la suite, l'équipe promet de déployer le plugin pour l'ensemble des consommateurs. Notons tout de même qu'il faudra utiliser la version Windows de la suite bureautique. A ce sujet, Google déclare : « malheureusement étant donné qu'il n'y a pas d'interfaces de programmation ouvertes pour Microsoft Office pour Mac, nous ne pouvons pas déployer Google Cloud Connect sur les Macs pour l'instant ».
Créé en 2004, le service Yelp propose aux internautes de rédiger leurs avis sur les lieux publics dans lesquels ils se rendent. Qu'il s'agisse, d'un bar, d'un restaurant, ou d'un cinéma il suffira d'effectuer une requête à partir du site pour retrouver diverses opinions pouvant alors contrebalancer votre programme de la soirée. Déjà internationalisé et présent en France depuis le mois de mai, Yelp souhaite donc s'inscrire davantage dans la mouvance « hyper locale » en proposant aux commerçants un programme de fidélité.

L'idée n'est pas nouvelle. Foursquare ou Gowalla misent déjà sur ce marché avec leurs applications mobiles invitant les mobinautes à partager leur position géographique au sein de leurs contacts et des réseaux tiers connectés. Les services hyperlocaux permettent aux commerçants de vérifier la fidélité d'un client et, le cas échéant, lui proposer des offres promotionnelles. L'idée fut reprise par Facebook en août avec la fonctionnalité Places à laquelle le PDG Mark Zuckerberg y a ajouté une série de « Deals » commerciaux en début de mois.

Sur son blog officiel, l'équipe de Yelp invite alors les professionnels à consulter leur tableau de bord personnel au sein duquel ils pourront créer certains avantages pour leurs clients fidèles. Parmi les options proposées il est possible d'effectuer une réduction sur le prix de vente initial, de fixer un tarif alternatif ou encore d'offrir un produit gratuitement.

Pour l'heure ce nouveau programme est déployé en Amérique du Nord et en Irlande.
En dépit des objections soulevées par les acteurs du Web français, le Sénat a voté lundi dans le cadre du projet de loi de finances 2011 la mise en place d'une taxe frappant les dépenses publicitaires réalisées en ligne par des professionnels.

Défendu par le sénateur Marini (UMP), l'amendement ainsi approuvé prévoit que tout annonceur professionnel soit taxé à hauteur de 1% sur les dépenses qu'il effectue auprès d'un service de publicité en ligne.

Une idée qui trouve ses sources dans les travaux de la mission Zelnik, initiée suite aux débats relatifs à la loi Hadopi. L'objectif, selon ses premiers défenseurs, consiste notamment à compenser le manque à gagner occasionné par la domiciliation fiscale à l'étranger de grands acteurs de l'Internet tels que Google (Irlande) ou Apple (Luxembourg).

En taxant à la source, directement au niveau de l'annonceur qui lui, est établi sur le sol français, il serait possible d'engendrer de « 10 à 20 millions d'euros » de recettes fiscales par an.

Les acteurs de l'Internet ne contestent pas ce point, mais regrettent en revanche l'impact négatif que pourrait avoir cette taxation. « Nous deviendrions le seul pays au monde à envisager de telles taxations et la compétitivité française, ces taxes ne pouvant s'appliquer qu'aux seuls acteurs établis sur notre territoire, s'en trouverait à terme fortement menacée », signalaient récemment dans un communiqué commun des associations de professionnels du secteur (ACSEL, AFDEL, ASIC, Geste, IAB France, Renaissance Numérique, SRI mais aussi l'UDA).
Le Tianhe-1A chinois, nouveau premier de la classe des super-calculateurs avec ses 2,57 petaflops, serait-il en train de faire des émules ? Car la principale innovation du Tianhe - outre de multiplier par deux la puissance de calcul du premier super-calculateur mondial - est d'utiliser (en partie) des puces graphiques, fabriquées par NVIDIA, en plus des processeurs Intel. Amazon semble en tous cas faire le même calcul : avec des GPUs pour remplacer une partie des traditionnels CPUs, la vitesse peut être augmentée avec un coût économique et énergétique réduit.

La nouvelle instance commercialisée par Amazon contient deux puces graphiques NVIDIA Tesla M2050, deux processeurs Intel Xeon X5570 quad-core, 22 Go de mémoire, 1,69 To de stockage et une connexion Ethernet à 10 gigabits par seconde.

Pour l'heure, cette nouvelle machine n'est disponible que pour les clients étatsuniens, puisqu'elle a été installée dans le datacenter de Virginie du Nord. Elle coûte 2,10 dollars par heure d'utilisation, et fonctionne avec un système d'exploitation GNU / Linux.

Elle soutient le réseau EC2 Cluster, et permet du calcul haute-capacité - tant en terme de latence, très basse, et d'entrées-sorties, ou des applications avec un grand volume de données.
Ces dernier temps, le service spécialisé dans les offres promotionnelles Groupon ne cesse de faire parler de lui. En effet, après les rumeurs qui spéculaient sur un éventuel rachat par le portail Yahoo! pour 3 milliards de dollars, c'est finalement un accord commun que les deux parties ont dévoilé la semaine dernière lors du sommet Web 2.0.

Yahoo! intègrera l'offre de Groupon au sein des déclinaisons locales de ses sites internet en incluant également le contenu d'autres sociétés spécialisées telles que LivingSocial, Gilt City, BloomSpot, BuyWithMe, DealOn, Zozi, CrowdSavings, Lifebooker, FreshGuide, Scoop St, Goldstar, HomeRun, Tippr, Coupons.com, ou encore Valpak. Pourtant, si Yahoo! n'a pas su finaliser ce rachat, d'autres, tels que Google se montrent également intéressé.

Selon le magazine AllThingsD, la startup de Chicago serait en train de considérer une offre de rachat émanant cette fois de la part du géant de Mountain View. Pour beaucoup il s'agirait de la plus grosse acquisition du spécialiste de la recherche, la dernière en date étant la régie publicitaire DoubleClick pour 3,2 milliards de dollars. Groupon permettrait à Google d'avoir la main mise sur le marché de la publicité locale aux Etats-Unis évalué à 133 milliards de dollars et de devancer Facebook qui a récemment introduit la fonctionnalité Places sur son réseau.

Selon plusieurs personnes proches de cette affaire, les investisseurs du cabinet Allen & Co souhaiteraient pour leurs parts rester indépendants. D'autres rapportent que les discussions actuelles tournent autour d'un prix que seules quelques firmes peuvent envisager à savoir Microsoft, eBay ou Amazon. Cette année Google a effectué une dizaine d'acquisitions pour un montant total de 1,6 milliard de dollars.

Pour de plus amples informations sur Groupon, retrouvez notre entretien avec Frank Zorn, directeur commercial de la filiale française.
Les dés en sont désormais jetés pour Novell, officiellement en vente depuis plusieurs mois. Dans un communiqué, l'éditeur de SUSE Linux a en effet annoncé lundi avoir accepté une offre de reprise formulée par Attachmate Corporation, un spécialiste du logiciel détenu par les fonds d'investissement Francisco Partners, Golden Gate Capital et Thoma Bravo. Selon la rumeur, plus d'une vingtaine de repreneurs potentiels étaient sur les rangs parmi lesquels VMWare.

La cession, négociée en numéraire à 6,10 dollars par titre pour un total d'environ 2,2 milliards de dollars, ne se fera toutefois pas d'un seul tenant. Le repreneur précise en effet que son acquisition sera scindée en deux entités distinctes, Novell d'un côté et SUSE de l'autre, réparties au sein de la coentreprise constituée par Attachmate et NetIQ.

Enfin, tout un pan de la propriété intellectuelle de Novell fera l'objet d'une transaction séparée, portant sur un montant de 450 millions de dollars. Ici, l'acquéreur sera une holding baptisée CPTN. Inconnue, ou presque, cette dernière cache en réalité une vieille connaissance : Microsoft, qui conclut ici plusieurs années de négociations et d'accords avec Novell sur ce terrain épineux, notamment pour assurer l'interopérabilité entre leurs systèmes d'exploitation respectifs.

Pour l'instant, Microsoft s'est bien gardé de préciser quels étaient les brevets et technologies couverts par la transaction et s'ils touchaient par exemple à UNIX, propriété de Novell.
Ce week-end, le blog américain Techcrunch US rapportait qu'une faille relativement inquiétante touchait les utilisateurs de la messagerie Gmail. Vahe G, le créateur du blog guntada.blogspot.com, désormais inaccessible, avait en effet mis en place un système capable de générer l'envoi automatique de spams lorsqu'un internaute visitait le site tout en étant connecté à son compte Google.

Ce dispositif a mis en évidence une faille béante sur les serveurs de Google. Pourtant, Vahe G souligne que dans un premier temps, il n'a reçu aucune réponse de la part de Google. Il explique ainsi : « le problème vient entièrement de Google. J'en ai parlé à plusieurs personnes et la plupart d'entre eux ne comprennent pas vraiment ou s'en fichent. Les grosses sociétés estiment qu'elles protègent déjà suffisamment notre vie privée ». Reste qu'une telle faille aurait pu être exploitée par des sites Internet malveillants envoyant de véritables spams redirigeant vers des sites frauduleux.

Le problème a été corrigé par Google qui s'est empressé de désactiver le compte utilisateur créée sur Blogger et de corriger la faille au sein des interfaces de programmation de Google Apps Script.Exemple d'un email envoyé
Il y a quelques jours, le site dbnewz proposait la deuxième partie du quizz pour continuer de tester vos connaissances en MySQL.

Aujourd'hui, le site donne le résultat des 15 dernières questions, vous permettant ainsi de continuer à améliorer vos connaissances autour de MySQL et de les mettre en application dans vos projets PHP.

- 30 questions sur MySQL partie 2
- 30 questions sur MySQL Réponses de la partie 2
Face à Google et son Android Maket ou Apple et son App Store, la société Yahoo! et le répertoire d'applications GetJar ont décidé de s'allier. En effet, Yahoo! teste actuellement l'intégration du catalogue des 75 000 applications directement au sein de son moteur de recherche.

En seconde position derrière l'App Store d'Apple, GetJar propose des applications à destination des utilisateurs d'Android, de BlackBerry, de Windows Mobile ou encore de Symbian. Fondé en 2004, GetJar fut premièrement populaire auprès des détenteurs de téléphones utilisant la plateforme Java. A la fin du mois de juin le site enregistrait 3 millions de téléchargements par jour. Récemment GetJar a signé un accord avec l'éditeur du navigateur BOLT qui se targue de présenter parfaitement une page Internet sur n'importe quel téléphone compatible Java. Les utilisateurs de BOLT ont également accès à l'ensemble du catalogue.

Pour Yahoo! il s'agit de rendre la déclinaison mobile de son moteur de recherche toujours plus pertinente pour le mobinaute. Du côté de sa stratégie mobile, outre ses différentes applications pour l'iOS et Android, Yahoo! mise également sur le marché des pays en voie de développement au sein desquels nous retrouvons des appareils plus anciens compatibles avec la plateforme de Sun. Cette année, la firme de Sunnyvale a également dévoilé un téléphone en partenariat avec Alcatel qui sera commercialisé en Asie.

GetJar explique que pour être mieux indexé au sein du moteur de Yahoo! les développeurs doivent cependant ajouter quelques méta-données constituées de mots-clés à la description de leurs applications. Actuellement en test aux Etats-Unis, cette intégration devrait être déployée dans d'autres pays dans le courant de l'année prochaine.
le 22/11/2010 à 00:00
Tumblr lève 25 millions de dollars
La startup Tumblr, proposant un service de micro-blogging, a récemment levé entre 25 et 30 millions de dollars auprès du cabinet d'investissement Sequoia Capital. Créée en 2007, la société new-yorkaise compte en effet s'agrandir en ouvrant de nouveaux bureaux dans la métropole mais également en augmentant sa masse salariale.

L'équipe devrait accueillir quatre nouveaux salariés d'ici la fin de l'année pour atteindre 20 employés au total. Dès l'année prochaine, Tumblr devrait être constitué d'une trentaine de personnes. Au fil des années, Tumblr a su se distinguer de la compétition avec une communauté artistique très forte. Aussi, les développeurs y ont implementé certaines fonctionnalités reprises aussi bien par Yahoo, Twitter ou Wordpress. C'est notamment le cas du système de republication d'articles créditant automatiquement une personne lorsque son billet est reproduit sur le blog d'un internaute.

Au mois de juillet, Tumblr comptait 6 millions d'internautes et amorçait une phase d'évaluation pour la déclinaison française de son service. En mars, la jeune pousse enregistrait 18 billets publiés chaque seconde. La dernière levée de fond date du mois d'avril. Tumblr avait recueilli 5 millions de dollars auprès de ses investisseurs historiques, Spark Capital et Union Square.
LoadingChargement en cours