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le 18/11/2010 à 00:00
Choisir un forum alternatif
Le site Webification a publié un article, montrant qu'il existe des applications PHP assez légère pour avoir un forum dans votre site web,

Ces forums sont alternatifs par rapport aux forums très connus comme phpBB, SMF ou vBulletin.

La liste des applications de cette catégorie sont :
- Advanced Electron Forum
- bbPress
- Drupal Forum
- FluxBB
- MiniBB
- IceBB
- MyBB
- Phorum
- PunBB
- UBB.threads
- UseBB
- Viscacha
- WoltLab Burning Board

Par ailleurs, l'article propose un tableau récapitulatif avec différents critères de références pour faciliter la sélection.

- Top 13 lightweight PHP boards for running a forum
le 18/11/2010 à 00:00
Twitter compte lancer son "Analytics"
L'information n'a pas encore été vérifiée mais tout laisse à penser que le site de micro-blogging va lancer son service d'analyse du trafic. Baptisé « Twitter Analytics », l'outil devrait permettre d'afficher un panel de statistiques pour les professionnels qui souhaitent avoir de la visibilité sur leurs gazouillis.C'est le site Mashable qui, graphiques à l'appui, à dégainé le premier. Une poignée d'utilisateurs auraient été sélectionnés pour tester l'outil d'analyse. Ce dernier devrait comprendre les tweets les plus repris, ceux réécris par des personnes considérées comme « influentes ». Un graphique devrait ainsi être généré toutes les six heures.

Cet Analytics ressemblerait donc fortement à celui de Google. Il pourrait logiquement proposer une analyse différente entre les tweets normaux et ceux sponsorisés. Pour autant, rien ne dit s'il sera payant. Il serait particulièrement destiné aux professionnels qui souhaitent analyser l'efficacité des tweets de promotion achetés. Analytics pourrait également être un bon moyen de savoir si Twitter apporte une meilleure visibilité ou une monétisation plus importante d'un trafic donné.

Enfin, on pouvait se douter de la sortie imminente d'un tel service après le rachat par Twitter de la société Smallthought Systems, spécialisée dans les outils d'analyse sur Internet. Par contre, aucune date n'a été avancée pour une sortie officielle du service. Certaines rumeurs évoquent fin 2010 ou attendent le Web 2.0 Summit à San Francisco en mars prochain…
Dévoilée au mois de mars par le PDG d'Apple Steve Jobs, la régie publicitaire iAd a été précisément pensée pour les annonceurs souhaitant déployer leurs campagnes promotionnelles sur iPhone et iPod Touch. En promettant une expérience riche et peu intrusive pour le mobinaute, Apple déploie, une fois de plus, une stratégie spécifique. Ainsi l'annonceur reçoit 60% des revenus générés par sa campagne.

Apple souhaite étendre davantage sa régie en s'ouvrant au Vieux Continent. Plus précisément, les annonceurs français et britanniques pourront profiter de la plateforme dès le mois de décembre, et donc juste à temps pour les fêtes de fin d'année. Par la suite, la firme de Cupertino s'invitera en Allemagne au mois de janvier. Plusieurs sociétés se sont déjà montrées intéressées à savoir L'Oréal, Renault, Louis Vuitton, Nespresso, Perrier, Unilever, Citi, Evian, LG Display, AB InBev, Turkish Airlines et Absolute Radio.

« En seulement quatre mois, nous avons doublé le nombre d'annonceurs sur notre réseau et des milliers de développeurs bénéficient désormais d'une nouvelle source de revenus », explique Apple dans un communiqué en précisant que selon les prédictions du cabinet IDC, iAd devrait représenter 21% du display mobile aux Etats-Unis.

Rappelons tout de même que la régie d'Apple ne fait pas l'unanimité. En effet, avant de mettre à disposition un kit de développement, la firme de Steve Jobs avait entrepris de créer elle-même les publicités des annonceurs, une pratique qui ne rassurait pas Lars Bastholm, directeur artistique d'Ogilvy. Si aujourd'hui Apple met à disposition des outils de développement afin de tirer au mieux parti des performances de ses appareils, Apple aurait toujours un control « exagéré", selon la PDG de Yahoo! Carol Bartz. Les développeurs devraient en effet suivre des règles très strictes.
Juniper complète sa série de routeurs T avec un nouveau modèle, le T4000. Annoncé aujourd'hui, il se veut l'offre de plateforme de routage la plus rapide du marché, selon le communiqué de Juniper Networks. Pour l'entreprise, c'est une façon de répondre à la demande de trafic croissante, liée aux besoins de la vidéo, du cloud computing ou des mobiles.

Le T4000 se veut donc « le routeur IP/MPLS le plus rapide et le plus dense du marché. » Il délivre une vitesse de 240 Gbits par port, pour une consommation électrique de 2,7 W par gigabit de trafic traité. A ce titre, il serait trois fois plus efficace que le précédent T1600.

Le nouveau routeur est compatible avec les anciens matériels, permettant un remplacement des T640 et T1600 « sans générer ni interruption de service, ni changement de l'interface utilisateur. » Basé sur le système d'exploitation Junos, comme les autres produits de la gamme T, le T4000 offre une capacité multichâssis intégrée à l'architecture. « Avec le T4000, Juniper est désormais le premier à offrir une solution parfaitement compatible avec trois générations de routeurs depuis le lancement du T640 il y a plus de 8 ans, » explique le communiqué de Juniper.

Juniper Networks précise que son T4000, dont le prix n'a pas été communiqué, sera disponible au cours de la deuxième moitié de l'année 2011.
Au mois de septembre, Google annonçait une mise à jour majeure de son moteur de recherche avec l'implementation d'une technologie de recherche instantanée. Ainsi les résultats d'une requête sont rafraichis en temps réel au fur et à mesure que l'internaute entre son mot-clé.

Quelques heures plus tard, Stephen Hood, ancien chef produit chez Yahoo! Search, avait tenté de remettre les pendules à l'heure en rappelant sur son blog qu'un dispositif similaire avait précédemment été mis en oeuvre sur Yahoo! Search cinq ans plus tôt. En revenant les travaux avec l'équipe du moteur AllTheWeb et en saluant les efforts de Google M.Hood déclarait ainsi : « C'était astucieux, vraiment très utile et potentiellement révolutionnaire. Et c'était quasiment la même chose de Google Instant ». La société de Sunnyvale n'a cependant pas choisi de conserver sa technologie de recherche instantanée. En 2005, Yahoo! affichait une part de marché plus élevée et la direction, craignant un mauvais accueil des internautes, était d'autant plus réticente à démocratiser cette technologie.

Yahoo! n'a cependant pas dit son dernier mot et présente cette fois « Rich Search Assist ». Lorsque l'internaute entre son mot-clé, le volet de suggestions de requêtes est toujours mis à jour en temps réel mais présente cette fois les résultats associés jugés les plus pertinents. Plusieurs personnes ont critiqué Google Instant en affirmant que le rafraichissement de la page entière des résultats en temps réel pouvait perturber l'internaute habitué à frapper la touche Entrée. Yahoo! semble donc avoir tiré quelques leçons des travaux de son éternel concurrent. Plutôt qu'une pâle imitation, le moteur souhaite être plus spécifique en ne proposant qu'un seul résultat.

Interrogé par le magazine SearchEngineLand, Shashi Seth, vice-président du département Yahoo! Search, explique que cette fonctionnalité est actuellement testée sous plusieurs formes auprès de 5% des utilisateurs.SearchEngineLand
Pour 2010, Noël sera numérique. Au niveau des cadeaux, sans doute, mais aussi et surtout au niveau des achats. Selon les résultats d'une étude dévoilée jeudi par la Fevad (Fédération du e-commerce et de la vente à distance) en partenariat avec Médiamétrie, 15,2 millions de Français pourraient en effet recourir aux acteurs du commerce électronique pour effectuer leurs emplettes de fin d'année.Extrapolé à partir d'une étude conduite sur un échantillon de quelque 1750 individus, ce total représenterait deux tiers de la population des internautes adeptes de l'achat en ligne.

Raisons de cet engouement ? 66% des sondés avancent la praticité d'une transaction réalisée sans bouger de chez soi ou de son bureau. 62% évoquent les prix moins élevés qu'en boutique physique, alors que 46% mentionnent le choix plus important que celui que leur offrent les magasins.

Des arguments qui contribuent à l'augmentation de la part des dépenses de Noël dévolues aux achats en ligne : 51% des cyberacheteurs auraient ainsi l'intention d'y consacrer plus de 250 euros, contre 43% en 2009. De quoi envisager « un bon cyber-Noël 2010 », pour reprendre les termes de Marc Lolivier, délégué général de la Fevad.
L'équipe chargée de développer le navigateur Internet Explorer annonce une nouvelle version de la Platform Preview d'IE9. Cette septième mouture se concentre davantage sur les performances du moteur d'exécution JavaScript Chakra.

Dans un billet, Dean Hachamovitch, directeur général du développement de l'application, explique avoir publié de nouveaux outils permettant de comparer les performances d'IE9 à celles de Google Chrome, Firefox ou Safari. Le test  Shakespeare's Tag Cloud  permet de générer, sous la forme d'un nuage, les mots-clés à partir d'un texte donné. HTML5 Sudoku montre la rapidité avec laquelle l'application est capable de résoudre une grille de jeu tandis que Galactic illustre les possibilités des animations Canvas et du rendu 3D.

« Les scénarios de la vie de tous les jours se portent sur l'ensemble des sous-systèmes plutôt que de se focaliser sur un seul sous-système précis », explique M. Hachamovitch en réfutant l'idée qu'un navigateur ne puisse être jugé que par son moteur d'exécution JavaScript. Il ajoute : « N'utiliser qu'une partie des fonctionnalités pour en déduire une idée générale ne fait aucun sens tout comme les tests Acid ne révèlent pas la véritable conformité aux standards ».

Pour télécharger cette nouvelle Platform Preview, rendez-vous ici. Nos confrères américains d'Ars Technica ont récemment publié une astuce pour activer l'interface utilisateur.
L'Hadopi fait le compte dans ses défenseurs. Une mini-polémique s'est formée autour des déclarations du chef de l'Etat au sujet de la loi censée mettre un terme au téléchargement illégal. Certains propos de Nicolas Sarkozy auraient été mal relayés. Erreur de traduction ou divergences de vues internes à la majorité présidentielle ?Ce mercredi 17 novembre, à l'Elysée, le président de la République a prononcé un discours devant les députés UMP. Au sujet du numérique, il aurait expliqué vouloir « revoir pas mal de choses dans l'économie numérique. Ce n'est pas normal que des géants comme Google fassent des millions d'euros de bénéfice en France sans en payer les impôts, que ce n'est pas normal que l'Irlande récupère les taxes avec sa fiscalité avantageuse ». Ces propos étaient alors rapportés par le député Lionel Tardy (UMP) sur le site du NouvelObs.

Plus croustillant, le chef de l'Etat aurait alors évoqué, entre les lignes, la loi Hadopi. « Faire adopter la loi était nécessaire, mais il faut maintenant revoir un certain nombre de choses » aurait estimé Nicolas Sarkozy, selon le député Tardy. Ce dernier, qui avait ouvertement critiqué la loi parle alors clairement d'un mea culpa présidentiel et estime que la tête de l'Etat aurait « changé de position et souhaite passer à autre chose que le simplement répressif »…

Cette analyse des propos présidentiels est en tout cas largement critiquée par un autre membre de la Droite. La députée Muriel Marland-Militello (UMP) se dit « choquée par les propos trompeurs qu'a tenus Lionel Tardy. Le Président de la République, en aucune façon n'a remis en cause de près ou de loin la pertinence de la loi Hadopi. Un mea culpa n'est possible que s'il y a une faute. Et la mise en place de l'Hadopi voulue par le législateur est tout sauf une faute » explique-t-elle dans les colonnes de PcInpact.

Les divergences de vues sont donc très claires sur le sujet Hadopi entre membres de la Droite. Une dualité des positions qui a pour effet de troubler la visibilité et la compréhension du sujet. Pour rappel, nous rapportions en juillet les propos de Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée. Sur Hadopi, il estimait : « J'en percevais déjà les faiblesses. Maintenant, j'ai évolué sur cette question mais il fallait protéger le droit d'auteur ». Une position étonnante…

Comme nous l'expliquions dans l'émission 56K, le bilan numérique du gouvernement pourrait (à la marge) être un critère de sélection du prochain président de la République en 2012…
Lors du sommet Web 2.0 qui s'est déroulé cette semaine, Jeff Weiner, le PDG du réseau communautaire professionnel LinkedIn rappelle que l'internaute tient à séparer sa vie privée de sa carrière professionnelle. En ce sens, LinkedIn souhaite se démarquer de Facebook, Twitter et autres MySpace.

Il semblerait en effet y avoir deux marchés bien distincts et si Facebook annonce avoir 500 millions de membres actifs, cela n'empêche pas pour autant LinkedIn d'enregistrer lui aussi une forte croissance. La douce reprise économique inciterait d'ailleurs les internautes à redoubler leurs efforts en terme de networking professionnel. Avec 85 millions d'inscrits, LinkedIn enregistre une croissance continue. S'il avait fallu 477 jours pour atteindre le premier million d'abonnés, le dernier million a été enregistré en seulement neuf jours. La moitié des utilisateurs sont localisés en dehors des Etats-Unis avec une forte activité en Chine et au Brésil.

Si plusieurs sociétés se sont rapprochées de Facebook afin de tirer parti de sa masse d'utilisateurs, M. Weiner estime pour sa part que LinkedIn est un cas à part en ciblant «  seulement les professionnels ». La société a tout de même développé LinkedIn Signal, un système permettant de prendre connaissance des mises à jour de ses contacts sur d'autres réseaux comme Twitter ou Facebook.

Après avoir ouvert un laboratoire d'idées au sein duquel sont rassemblés les projets des développeurs de la société, LinkedIn a récemment permis aux entreprises d'obtenir davantage de visibilité en créant leurs propres pages.
« La Chine a détourné 15% du trafic internet pendant 18 minutes ». Voilà la manière dont la Presse commente le déroutage d'une partie du trafic le 8 avril dernier. Un rapport du Congrès américain (.pdf) détaille ce détournement en estimant que plusieurs sites du gouvernement et de l'armée des Etats-Unis étaient visés. Des données hautement sensibles auraient ainsi été visibles...Concrètement, la commission chargée des questions économiques et de sécurité entre la Chine et les Etats-Unis explique clairement que China Telecom, firme nationale, aurait détourné une partie du trafic e-mail du Sénat américain, du ministère de la Défense ou encore de la Nasa et du ministère du Commerce.

China Telecom a nié ces allégations par un communiqué à l'AFP : « Il n'y a pas de monstre caché dans le placard » explique la firme.

Pourtant, le rapport explique que « 15% des courriels provenant ou à destination de ces sites ont été déroutés vers des serveurs installés en Chine pendant cette courte période ». Un membre de la commission évoque même « un certain niveau de soutien de l'Etat chinois à ce genre d'activités ».

S'il est vérifié, ce détournement peut s'apparenter clairement à une nouvelle déclaration de guerre informatique de la Chine. En effet, depuis 1999, le pays a toujours clairement expliqué que la guerre de l'Information faisait partie intégrante de son arsenal militaire. Les colonels Qiao Liang et Wang Xiangsui avaient alors édité l'ouvrage « La guerre hors limites l'art de la guerre asymétrique entre terrorisme ». Ils expliquaient alors que le meilleur moyen de remporter la victoire, c'est de contrôler et non de tuer…

Mise à jour : malgré les accusations de détournement de trafic, certaines explications tendent à montrer comment le fournisseur chinois aurait pu opérer. Le 8 avril dernier, l'opérateur China Telecom aurait ainsi informé les FAI que ses serveurs étaient, pendant 18 minutes, le meilleur chemin pour acheminer le trafic. Les serveurs auraient alors été organisés avec ce nouveau routage…
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