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Le torchon brûle entre Apple et certains grands éditeurs japonais : ces derniers accusent la firme de Cupertino de violer les droits d'auteur en proposant des ouvrages piratés sur l'App store.

Parmi les auteurs lésés, on trouve Haruki Marakami et Keigo Higashino, dont certains ouvrages ont été numérisés et proposés illégalement à la vente sous la forme d'applications. "Nous n'avons pas d'autre choix que de considérer qu'il est illégal de la part d'Apple de distribuer des applications qui violent manifestement le droit d'auteur" a déclaré l'association des éditeurs japonais dans un communiqué. "Certains ouvrages ont été supprimés en réponse aux demandes des auteurs et des éditeurs, mais la majorité d'entres eux continuent à être distribués illégalement" ajoute également ce dernier.

Apple Japon n'a pas tardé à répondre aux accusations, en expliquant bien évidemment "comprendre parfaitement l'importance de la propriété intellectuelle" et avoir la volonté de "répondre rapidement aux plaintes concernant la violation du droit d'auteur". La firme a par ailleurs précisé qu'elle n'est pas en mesure de vérifier systématiquement si les applications proposées sur l'App Store enfreignent ou non le droit d'auteur, mais qu'elle supprime automatiquement tout programme signalé comme tel par les ayants droit. Une démarche insuffisante pour les éditeurs japonais, qui désirent se rapprocher d'Apple pour mettre en place une procédure plus fiable.
Sur Internet, l'une des grandes tendances de cette année reste incontestablement la géo-localisation. La prise en charge des interfaces de programmation du W3C par les navigateurs a permis de populariser cette technologie. Par ailleurs, le marché croissant du smartphone associé à celui de la puce GPS a donné naissance à de nouveaux types d'applications dont Foursquare reste incontestablement l'un des pionniers.

Principalement utilisé à partir d'un smartphone, l'application Foursquare dresse une liste des lieux publics aux alentours et, grâce à une série de partenariats avec certains commerçants, permet au mobinaute qui accepte de partager sa position géographique, de bénéficier de certaines offres promotionnelles.

Lors du salon LeWeb'10 qui s'est tenu à Paris la semaine dernière nous avons rencontré Dennis Crowley, PDG de la start-up new-yorkaise qui revient sur ce nouveau marché.De combien d'utilisateurs disposez-vous ?Dennis Crowley : Je n'ai pas de chiffres pour l'Europe. Nous venons de dépasser les 5 millions de membres dans le monde. Environ 40% de ces derniers sont en dehors des Etats-Unis. Nous venons tout juste d'embaucher quelqu'un qui sera justement chargé d'analyser ces chiffres que nous partagerons prochainement.Foursquare n'est pas un service très développé en France. Selon vous quels sont les défis spécifiques pour déployer Foursquare en Europe ?D.C : Je pense qu'il s'agit principalement d'un problème de localisation. Notre service est en anglais et nos partenariats sont à New York ou aux Etats-Unis. Nous faisons des efforts pour développer ces derniers mais pour une petite société il n'est pas facile d'avoir une présence internationale avec trente ou quarante salariés. Ceci dit nous y travaillons.Facebook a récemment annoncé Facebook Places puis Facebook Deals. Est-ce une menace selon vous ?D.C : Facebook est très bon pour connecter les gens sur Internet. Cependant ce que nous tentons de faire est complètement différent. Nous développons des produits permettant de connecter les gens dans la vraie vie. Même si nous avons des "check-ins" et des "deals" la finalité du produit et la manière dont il est utilisé est différente. Donc nous ne sommes pas très inquiets à ce sujet, nous avons une feuille de route solide et des partenaires fantastiques.Avant que Facebook n'annonce Places, la société vous a-t-elle approchée ?D.C : Nous en sommes à un stade où nous discutons avec plusieurs sociétés pour d'éventuels partenariats. Mais je ne peux pas vous en dire plus.Avez-vous songé à d'autres fonctionnalités qui viendraient compléter votre service de géo-loalisation ? Je pense à Facebook ou Yelp qui proposent des atouts autres que le partage de la position géographique.D.C : Oui nous allons dévoiler beaucoup d'autres fonctionnalités mais il y a une différence entre apporter d'autres fonctions et changer la véritable nature du produit. La mission principale de Foursquare est d'aider les gens à naviguer le monde déconnecté. Cela inclut notamment la suggestion de certains itinéraires ou encore des astuces sur des lieux susceptibles de plaire à l'utilisateur.

L'une des raisons pour laquelle Foursquare fonctionne bien c'est justement parce que ces fonctionnalités ont été développées dès le début. Parfois certains services rajoutent d'autres couches au-dessus du coeur du produit mais souvent l'intégration n'est pas très bien réussie. Je vois cela tous les jours au sein des grandes sociétés.

Certaines entreprises sont très performantes pour faire une chose et soudain elles se mettent à faire trois nouvelles choses et ces dernières ne sont pas populaires.Lors du sommet ad:tech vous avez parlé du futur de Foursquare avec des recommandations de lieux publics ou un partage simplifié de sa position géographique. Ces nouveautés sont-elles en développement ?D.C : Nous avons plusieurs choses. Il y a probablement trois ou quatre produits qui sont actuellement en développement. Nous espérons en déployer la majorité au début de l'année prochaine et voir ce que ca donne.Vous avez récemment levé entre 20 et 30 millions de dollars. Qu'allez-vous faire de cet argent ?D.C : Nous allons investir dans des locaux pour accueillir les développeurs, embaucher de nouvelles personnes, couvrir les frais de voyage. Vous savez cela coûte beaucoup d'argent d'avoir une société. Cet argent devrait couvrir nos besoins jusqu'à la fin de l'année prochaine.Après une acquisition en 2005, Google a fermé Dodgeball, votre première start-up, en janvier 2009 . Si la société vous approchait aujourd'hui comment réagiriez-vous ?D.C : Mon rôle est de trouver ce qu'il y a de mieux pour Foursquare et pour assurer le développement des produits que nous souhaitons voir. Nous avons parlé à plusieurs personnes sur le sujet et j'ai cette expérience du passé. Il y a des jours où cela fait sens et d'autres jours où ce n'est pas le cas. On ne peut pas prédire ce que nous réserve l'avenir.

Je n'ai pas de parti pris sur la question, je veux juste m'assurer que nous irons de l'avant et que les choses seront développées. Et si cela implique que nous signons avec une grosse société alors pourquoi pas. Si au contraire cela signifie qu'il nous faut rester indépendants pour les cinq prochaines années alors c'est ce que nous ferons.Il y a eu Dodgeball puis Foursquare, pourquoi êtes-vous autant attiré par la téléphonie mobile ?D.C : Je ne me vois pas comme étant particulièrement focalisé sur le mobile mais plutôt sur le développement d'un produit que mes amis et moi pouvons utiliser lorsque nous ne sommes pas à la maison. Je n'aime pas développer des logiciels pour rester devant mon ordinateur. Je veux des produits qui rapprochent les gens et les encouragent à communiquer dans le monde réel. Et le mobile est la meilleure façon de réaliser cela. Si tout le monde utilisait une Nintendo DS alors nous aurions fait cela sur la console. Il se trouve que le téléphone portable est l'objet que les gens sont les plus susceptibles d'avoir sur eux.Je vous remercie
La firme McDonalds vient d'avertir qu'elle avait perdu certaines données personnelles comme des adresses e-mail ou des dates de naissances de clients américains qui s'étaient inscrits volontairement sur des sites du groupe. Des hackers se seraient introduits dans les bases de données de la firme.Par contre, McDonalds informe que des données comme le numéro de sécurité sociale, véritable pass aux Etats-Unis, n'avaient pas été dérobées. Les numéros de cartes de crédit ou « toute information sensible » auraient également été saufs.

Concrètement, la faille proviendrait d'un contractant de McDonalds, Arc Worldwide, qui n'aurait pas suffisamment protégé les données des clients. Un porte-parole du groupe a signalé qu'une « enquête était actuellement menée. Arc et McDonalds coopèrent activement avec les autorités concernées ».

Chacun tente donc de comprendre comment les hackers ont réussi à accéder aux données et à passer outre les sécurités mises en place par le groupe. McDonalds n'a pas non plus indiqué quelles personnes sont concernées par la perte d'informations.
Dans l'optique de renforcer le contrôle des vidéos qu'il diffuse, Youtube encourage désormais ses utilisateurs à signaler les contenus faisant la "promotion du terrorisme" en rajoutant une nouvelle option a sa fonction de signalement de vidéos offensantes.

Critiqué depuis longtemps par les législateurs pour son refus fréquent de supprimer des contenus jugés injurieux par certains pays, Youtube fait une nouvelle fois le choix de laisser les utilisateurs décider du caractère offensant ou non des vidéos, et se réserve le droit de les supprimer en cas de signalement massif. Une démarche réalisée au nom de la liberté d'expression.

La question des vidéos prônant le terrorisme sur Youtube fait particulièrement débat depuis quelques semaines : en novembre, le site avait été contraint de supprimer de ses serveurs les vidéos mettant en scène l'imam Anwar al-Awlaki, dont les sermons, en anglais, appellent au djihâd. Des centaines de vidéos ont été supprimées, mais certaines seraient néanmoins toujours disponibles sur le service, dissimulées sous de faux noms et appellations.

Cette nouvelle fonction d'alerte devrait donc permettre à Youtube de conserver ses principes en y voyant plus clair dans le flux continuel de vidéos qu'il accueille : 35 heures de contenu sont uploadées chaque minute sur le site, une performance qui rend difficile, voire même impossible, un contrôle automatique de chaque fichier.
Dans un communiqué, l'Autorité de la concurrence estime que « Google est en position dominante sur le marché de la publicité liée aux moteurs de recherche ». Entre les lignes, elle explique que la firme ne respecterait pas totalement le droit français puisque « le droit de la concurrence peut mettre des bornes aux agissements de Google ». Nul besoin d'une régulation globale du secteur…Suite à la demande formulée par le ministère de l'Economie, des Finances et de l'Emploi, l'autorité rend donc son avis. Elle affirme que certains acteurs s'estiment victimes de comportements déloyaux voire illicites de la part du moteur de recherche. Google est donc sommé de s'expliquer sur des « pratiques de fermeture du marché, des agissements arbitraires et opaques… »

De même, l'Autorité de la Concurrence considère que Google est en position dominante sur le marché de la publicité liée aux moteurs de recherche vu « qu'il n'existe pas d'offre alternative équivalente aux yeux des annonceurs ». Elle met alors en avant de nombreux éléments pour démontrer que Google détient bien une position dominante : part de marché, niveau de prix, nature des relations avec les clients, niveau de marge…

Il est donc rappelé que cette position dominante n'est pas condamnable mais qu'un tel exercice abusif pourrait être sanctionné… L'Autorité explique d'ailleurs que « ces investigations méritent d'être poursuivies ». Elle évoque alors, comme exemple de la marche à suivre, le cas Navx dans lequel l'organisme avait ordonné à Google de mettre en oeuvre une série de mesures conservatoires.

Pour rappel, fin novembre dernier, la Commission européenne avait annoncé l'ouverture d'une enquête sur les pratiques de Google dans la recherche en ligne après des dépôts de plaintes des éditeurs concurrents. L'Europe va donc devoir déterminer si Google a favorisé ses propres services sur les résultats naturels ainsi que sur la mise en avant payante via son programme Adwords.
Le site AT Internet a dévoilé hier son baromètre des moteurs de recherche du mois de novembre dernier, par l'intermédiaire d'un graphique qui ne laisse aucun doute quant à la suprématie de Google, non seulement en France mais également en Espagne, au Royaume-Uni et en Allemagne. Si les parts de visites Web du moteur de la firme de Moutain View accusent une infime baisse dans l'hexagone, sa cote ne cesse globalement de monter.

France, les parts de Google chutent de 0,2% par rapport à octobre 2010, passant de 91,6 à 91,4%. Un "score" qui laisse la concurrence loin, très loin, puisqu'en seconde position arrive Bing avec 2,7% de part de marché, puis Yahoo avec 1,7%. En Allemagne et en Grande-Bretagne, Google culmine respectivement à 92,2 et 90,5%. Le pourcentage le plus élevé revient à l'Espagne où les parts de visites de Google atteignent 93,1%.

La domination du géant américain a de quoi laisser songeur, mais elle ne fait clairement pas rêver la concurrence qui, rappelons-le, a récemment déposé plainte auprès de la Commission européenne, motivant cette dernière à ouvrir une enquête à l'encontre de Google pour "abus de position dominante". Cette dernière permettra probablement de savoir si la puissance de Google est due uniquement à sa grande efficacité, ou a des pratiques moins reluisantes… En attendant, il semble bien difficile de le faire chuter de son piédestal.
L'ancien employé de Google Paul Buchneit ne parierait pas sur l'avenir de Chrome OS. Peu médiatisé, il fut cependant chargé du développement du service Gmail. Il fut également à l'origine du modèle Google Adsense et du slogan de la société « Don't be Evil ». En 2007, il lança sa propre startup baptisée FriendFeed, laquelle fut rachetée par Facebook en 2009.

"Prédiction : Chrome OS sera tué l'année prochaine (ou combiné avec Android)", tel sont les mots que cet ingénieur a publié il y a quelques heures sur l'un de ses profils. Face aux réactions des internautes, il ajoute : "Chrome OS ne fait rien de mieux que ce qu'Android pourrait accomplir (avec quelques modifications pour que ce dernier prenne en charge les écrans non tactiles) ».

Il faut dire que la stratégie suivie par Google n'est pas très claire. Officieusement Chrome OS serait réservé aux netbooks et Android aux tablettes, cependant les fabricants ne seraient pas du même avis et jonglent avec ces deux systèmes. Certains, comme le français Archos et l'américain Motorola ont dévoilé leurs tablettes sous Android. D'autres, tels que Toshiba et Acer, ont modifié ce même système pour le déployer sur un netbook.
le 13/12/2010 à 00:00
Twitter fait aussi son Zeitgeist
A l'image de Google et de sa revue des recherches les plus « tendances » de l'année, le service de micro-blogging Twitter a fait son classement. Un site dédié consacre non seulement les personnes connues mais aussi les actualités les plus suivies ou encore les sujets technologiques les plus abordés.Si en matière de People c'est Justin Bieber qui trône loin devant Julian Assange (4ème de la rubrique), les tendances globales suivent plutôt l'actualité de cette année. Parmi les 25 milliards de messages envoyés avec seulement 140 caractères, le sujet le plus récurrent fut donc la marée noire dans le golfe du Mexique suivie de près par la Coupe du Monde de football puis le film Inception. Enfin suivent les sujets évoquant le tremblement de terre en Haïti et la Vuvuzela. L'iPad d'Apple arrive en 6ème position, talonné par… Google Android.

Sur les sujets technologiques, Twitter a également réalisé un classement des sujets les plus tweetés. L'iPad arrive donc en tête devant l'Android de Google et Apple iOS. L'iPhone se positionne en quatrième position confirmant ainsi la suprématie de la firme à la pomme dans les discussions sur Twitter.

Le classement ne s'arrête pas là puisqu'en 5ème position on retrouve le jeu Call of Duty Black Ops suivi par « New Twitter », HTC, RockMelt, MacBook Air et Google Instant. Par contre aucun classement ne figure sur les tweets sponsorisés ou « Promoted Tweets », censés faire venir des revenus publicitaires dans les poches du petit oiseau.
C'est une petite musique qui commence à revenir presque comme un mème de Noel. Celui de l'impact de la loi Hadopi. La haute autorité doit bientôt rendre un bilan chiffré de son activité. Un moyen de s'interroger sur les effets de la loi, la Carte Musique, mais surtout sur les prochaines décisions concernant le marché du divertissement numérique.Concernant la loi Hadopi, difficile pour l'instant de tirer un premier bilan. En attendant une note officielle, l'UFC-Que Choisir a tenté de dresser quelques premières observations. Dans un rapport publié sur PcInpact, l'organisation explique: « Evaluer l'effet de la loi Hadopi à partir de l'évolution des téléchargements observés (appelés piratage) n'est méthodologiquement pas recevable. En effet, non seulement il est impossible de connaître ce qu'ils représentent vraiment, mais aussi, le cas échéant, une baisse des téléchargements visibles ne signifie pas la fin de ce type de comportements. Elle pourrait simplement traduire une migration des consommateurs vers des solutions plus discrètes ».

Concrètement, il est encore difficile de séparer l'évolution des ventes sur les plateformes légales de la lutte contre le téléchargement illégal. D'un côté, l'offre est certes plus vaste mais de l'autre, une part du téléchargement reste invisible pour l'Hadopi (newsgroups, téléchargement direct, streaming…)

Concernant la carte Musique, l'inconnue est encore plus manifeste. Selon certaines informations, le nombre de cartes Musique vendues dépasserait seulement les 22 000 cartes. Pourtant, l'Elysée expliquait qu'une semaine après son lancement 10 000 auraient été vendues. Après six semaines, le stock de cartes serait encore bien rempli…

Contactés sur le sujet, la plupart des participants ont refusé poliment de répondre à nos questions sur le nombre de cartes vendues. Seule précision, l'un des opérateurs précise qu'une réunion sur le sujet a été organisée voilà peu avec le ministère de la Culture…

Enfin, signe que les discussions se poursuivent au sujet du développement de l'offre légale. La commission dirigée par Emmanuel Hoog mène des pourparlers entre ayants droit et plateformes musicales. Parmi les 13 engagements dégagés, il aurait été demandé aux producteurs de modifier certaines de leurs pratiques. Ils devraient arrêter les minimums garantis ou « avances sur contrats ». Ce type de clause s'applique lorsqu'un producteur reçoit des royalties sur les exemplaires vendus. Il arrive qu'il perçoive également une avance sur ces royalties.

Ces discussions ne sont pas terminées puisque le ministère de la Culture doit inviter les parties concernées afin de signer le texte proposé par la commission Hoog. Le bilan attendra…
Faire un copier-coller, faire un blog, consulter ses emails depuis son mobile, optimiser la sécurité de son mot de passe… Autant d'activités dont la pratique est tellement évidente pour le geek de base que l'expliquer simplement à ses parents, parfois récalcitrants, tient du sacerdoce. Heureusement, Google est là pour prêcher la bonne parole, et accessoirement promouvoir ses produits, de Gmail à Android, en passant par Blogger.

La firme de Moutain View est, en effet, en train de lancer Tech parent tech, un service destiné comme son nom l'indique aux parents désireux de s'éduquer en matière de nouvelles technologies. Google prend visiblement comme prétexte les fêtes de fin d'année, et le retour du nerd prodigue dans le cocon familial, lieu où il se fera bien entendu harceler de questions concernant l'ordinateur et ses mystères, une situation qui rappellera sans doute des souvenirs à certains lecteurs…

Si le site en lui-même est à l'heure actuelle toujours en construction, une page Youtube révèle depuis ce week-end 54 vidéos didactiques de moins d'une minute, mettant en scène des employés de Google expliquant le fonctionnement des services de la firme, ou encore des fonctions pratiques comme le transfert de fichiers sur une clé USB, ou le changement d'un fond d'écran sur Mac ou PC. A l'heure actuelle, ces vidéos ne sont proposées qu'en anglais, mais on imagine que des sous-titres seront proposés une fois le site lancé officiellement. Il ne restera plus alors qu'a montrer aux parents comment utiliser Youtube…
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