LA GLOBULE

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C'est aujourd'hui, dans la capitale de l'Hexagone, que s'ouvre l'édition 2010 du sommet annuel LeWeb dédié aux technologies Internet. Des géants de la Toile tel que Google ou Microsoft, aux jeunes pousses innovantes comme Evernote ou Foursquare il y en aura pour tous les goûts. Cette année l'événment, créé par l'entrepreneur Loïc Le Meur, rassemble 2400 participants venus de 60 pays différents.

LeWeb 2010, abordera cette année le thème de "la plateforme et son écosystème" au sens large. Très large même puisque cette édition a été lancée par Carlos Ghosn, président et PDG de Renault et Nissan qui dresse un parallèle entre l'ère de la voiture écologique et la manière dont les prochaines innovations en feront un produit de consommation de masse dans quelques années.Par la suite, M. Le Meur entreprend d'interroger Charlie Kindel (photo), directeur de l'écosystème du développement de Windows Phone 7. En rappelant que les Windows Phone furent lancés il y a un peu près un mois, M.Kindel n'a pas souhaité précisé le nombre de terminaux commercialisés jusqu'à présent, ni formuler les estimations de vente de la société sur le marché. Il se contente ainsi de préciser : "nous nous concentrons principalement sur le consommateur plutôt que dans le domaine professionnel".

En revenant sur les difficultés et les problèmes rencontrés, Charlie Kindel déclare : "Nous étions sur le marché avec Windows Mobile mais nous sommes tombés de haut. Il nous fallait des changements drastiques pour rester dans la course" avant d'ajouter : "pour nous c'est un peu le XBox Live Phone". Interrogé sur un éventuel terminal directement fabriqué par Microsoft, M.Kindel répond : "je ne pense pas. Notre stratégie est de travailler avec des partenaires et ils ont tous leurs propres caractéristiques", et différents styles de terminaux.

Le directeur du développement conclut : "sur le marché nous n'étions pas crédibles, mais désormais je suis fier de ce que nous avons conçu". M. Kindel rappelle que Windows Phone 7accepte différents langage de programmation et met à disposition des outils de pour les développeurs ayant précédemment conçu leurs applications sur d'autres plateformes comme Android.
Stephen Richard, PDG de France-Telecom et Orange France s'est exprimé lors de la conférence LeWeb 2010 qui se tient actuellement sur Paris. Interrogé par Davir Barroux, journaliste aux Echos, il est revenu sur le succès des terminaux d'Apple et les enjeux à venir pour les opérateurs mobiles.

Dévoilée en grandes pompes, la tablette iPad d'Apple est actuellement commercialisée dans trois pays sur le vieux continent : la France, le Royaume-Uni ainsi que l'Espagne. "L'iPad arrivera dans d'autres pays à l'avenir, une dizaine en tout en Europe", explique M. Richard. Concernant l'iPhone, ce dernier serait commercialisé dans une trentaine de pays par Orange, ce qui placerait aujourd'hui l'opérateur en tant le second distributeur derrière l'américain AT&T. Un quart des téléphones commercialisés par Orange France seraient des smartphones. "Au total, l"iPhone représenterait environ 20% des ventes", déclare le PDG de l'opérateur historique.

Interrogé sur la progression du système Android, M. Richard estime que l'on ne peut comparer la progression ce dernier face à l'iOS d'Apple. "L'iPhone est encore très cher et Android à un objectif plus global en étant installé sur différents terminaux". Il souligne également que la part de marché d'Android qui a dépassé celle de l'iPhone dans le monde est un phéonomène que l'on peut également observer sur le territoire français. Orange possède d'ailleurs une trentaine de développeurs spécialisés dans la création d'applications pour Android.

Côté consommation, le marché en pleine croissance du smartphone alerte les grands opérateurs à travers le monde. Aujourd'hui Orange enregistre plus de trafic en data qu'en communication. "Et l'on estime que dans deux ans il y aura dix fois plus de trafic Internet", déclare Stephen Richard, avant d'ajouter : "cela pose des questions en ce qui concerne la stratégie commerciale autour de l'accès à internet".

Sur le sujet de la publicité, M. Richard reste prudent. "Google est le numéro un dans sur le marché mondial et a su déveloper sa stratégie. Nous restons modestes et nous n'avons pas pour ambition d'entrer en compétition avec eux". Il ajoute tout de même que la firme de Mountain View devra tôt ou tard faire face à plusieurs problèmes, 80 à 90% de ses revenus étant précisément générés par le marché publicitaire.
Suite à l'arrestation de Julian Assange, le responsable charismatique du site Wikileaks, des questions se posent quant à l'avenir du site. Si d'un côté, les sites miroirs se sont développés afin de relayer les fuites d'informations, les attaques Ddos se multiplient également contre les anciens services qui collaboraient avec Wikileaks. Reste donc à connaître l'avenir du site de fuites.Julian Assange est actuellement placé en détention provisoire à Londres jusqu'au 14 décembre. Accusé de « sexe par surprise », la justice suédoise le soupçonne d'avoir commis un viol et des violences sexuelles l'été dernier. Plus intéressant, selon le quotidien britannique The Independent, des « discussions informelles » seraient déjà menées entre responsables suédois et américains afin d'aboutir à une extradition d'Assange vers les Etats-Unis…

Certaines pistes sont alors évoquées et d'anciens textes de lois sont ressortis du placard comme l'Espionage Act datant de… 1917 afin que les autorités américaines puissent condamner l'australien de 39 ans pour « activité anti-américaine ». Cet acte qui ne contrevient pas à la liberté de parole (selon ses termes) s'ajouterait alors aux accords passés entre Europe et Etats-Unis afin de faciliter l'extradition de personnes visées par un mandat d'arrêt international.

En dehors du cas Assange, reste donc la question du site Wikileaks et de son avenir. Kristinn Hrafnsson, porte-parole du site a donné les premières pistes. Elle affirme : « Wikileaks est toujours opérationnel. Nous allons continuer dans la même voie. Tout changement concernant la situation Julian Assange ne modifiera pas les plans mis en place ». Il faut donc croire que la multiplication des sites miroirs permettant d'accéder au contenu de Wikileaks représente l'avenir du site.Pour ce qui est de la renommée de Wikileaks, il semble qu'une partie des internautes se soient chargés de faire justice eux-mêmes en programmant des attaques Ddos. Le blog officiel de Paypal, Mastercard, Visa ont tous connu les affres de l'indisponibilité suite à un nombre trop important de requêtes…

Sans évoquer l'action des Anonymous, il semble que le cas Wikileaks et la réaction quasi-épidermique des autorités aient conduits à une fracture. Il est alors intéressant de se plonger dans le passé et de se remettre en mémoire le scandale qu'avait créé le Watergate aux Etats-Unis dans les années 70. Et de noter ainsi les réactions totalement différentes des gouvernements en place.

Le président américain d'alors, Richard Nixon, avait été accusé d'avoir placé des micros chez ses concurrents politiques. A l'époque, les deux journalistes qui avaient exhumé l'affaire tiraient leurs informations d'un informateur appartenant aux services secrets, appelé également « Gorge profonde ». La principale conséquence de ce scandale avait alors été la promulgation de lois levant certains secrets et élargissant les libertés de la Presse américaine (appelées aussi Sunshine laws).

A l'heure où certains se recueillent sur la mort de John Lennon, personne idolâtrée assassinée en pleine rue de cinq balles dans le dos, on pourrait peut-être se réapproprier parmi ses dernières paroles tirées de « The ballad of John and Yoko ». Lennon évoquait alors sa célébrité ainsi : « Au rythme où vont les choses, ils me crucifieront bientôt »… A quand un martyr Assange ?
le 08/12/2010 à 00:00
Le YouTube chinois entre en bourse
Youku, le site chinois de partage de vidéos en ligne vient d'annoncer son entrée à la bourse de New-York. Wall Street, sous la cotation NYSE (New-York Stock Exchange) accueille donc le géant chinois avec une offre d'achat à 12,80 dollars l'action. Une réussite pour Youku qui concrétise là sa domination sur le marché intérieur.Le site de partage de vidéos représente 22,5 % du marché chinois en matière de streaming. Il se paie même le luxe d'être le 10ème site le plus visité dans l'Empire du Milieu avec 264 millions d'utilisateurs réguliers, selon le cabinet Analysys.

Malgré ces bons chiffres, cette « success story » à la chinoise n'est possible que par le fait que des sites comme YouTube ou Hulu sont bloqués ou ne diffusent pas de contenus en Chine. La place pour une croissance continue est donc libre… Malgré des débuts difficiles Youku annonce désormais des recettes de 35,3 millions de dollars pour les neufs premiers mois de 2010. Une croissance rapide puisque sur la même période, Youku annonçait l'an dernier des résultats de 15 millions de dollars.

Si la publicité procure de nombreux revenus à Youku, la question du développement à l'international va se poser. A l'image de Baidu, on peut encore douter de la capacité du site à grappiller des parts de marchés sur des terrains où la concurrence est plus débridée.

De même, s'il souhaite étendre son catalogue de contenus, Youku devra passer des accords avec les ayants-droit afin de diffuser des vidéo de manière légale. A ce jour, certains estiment que plus de 70 % du contenu hébergé par Youku sont des vidéos uploadées par les utilisateurs (émissions TV, films), sans aucun droit…
Salesforce.com, qui tient en ce moment sa conférence Dreamforce à San Francisco, a annoncé le lancement de Database.com. Cette base de données se veut la première dédiée aux données d'entreprise pour le cloud.

En quelques mots, Database.com sera, selon Salesforce, « le moteur d'applications de nouvelle génération. » Il sera centré sur le cloud, la mobilité et les réseaux sociaux.Database.com

« Les bases de données cloud représentent une opportunité majeure pour faciliter l'adoption par les entreprises d'une nouvelle génération d'applications natives pour le cloud, la mobilité et les réseaux sociaux, » a expliqué le PDG Marc Benioff. « Nous avons choisi d'innover en proposant la base de données testée et éprouvée par nos 87 000 clients sous forme d'un service ouvert et autonome pour accélérer radicalement la création de ces applications de nouvelle génération. »

Premier point sur lequel insiste Salesforce.com : Database.com sera entièrement ouverte. En terme de langages de programmation, d'abord. Java, C#, Ruby et PHP devraient normalement être pris en charge. Et ce, quelque soit la plateforme d'exécution (Forcecom, VMforce, Amazon EC2, Google AppEngine, Heroku et Microsoft Azure). Salesforce annonce aussi dans son communiqué que sa base de données devrait être fonctionnelle nativement sur Android, Blackberry, iPad et iPhone.Salesforce met en avant son expérience avec sa base de données. Utilisée depuis plus de 11 ans par ses clients pour stocker des données, Database se veut sécurisée, que ce soit sur les protocoles de chiffrement ou la grande souplesse de configuration des règles d'accès.

Disponible comme service autonome en 2011, Database.com sera proposé dans trois formules : gratuit pour trois utilisateurs, puis sur une base de 10 dollars par utilisateur ensuite. Les prix sont susceptibles d'être modifiés avant le lancement, et sont sujets à des restrictions sur le nombre d'enregistrements et de transactions mensuelles. Les tarifs complets sont disponibles sur le site Database.com.Rachat de Heroku

Par ailleurs, l'inventeur du CRM (gestion de relation client) en mode SaaS vient d'annoncer avoir signé avec Heroku un accord définitif de rachat. Salesforce débourse donc 212 millions de dollars en cash pour acquérir la plateforme d'applications Ruby dans le cloud. Heroku avait été fondé en 2007, et avait levé 13 millions de dollars.

Heroku a précisé qu'il prenait en charge plus de 100 000 applications sociales et mobiles dans le cloud, et que sa communauté dépassait le million de membres. Groupon - qui a fait récemment l'actualité en refusant un rachat par Google - fait notamment partie de ses clients les plus connus.
Le divorce semble être consommé entre le pays du matin calme et le réseau social. Facebook est accusé en Corée de ne pas suffisamment recueillir le consentement de ses utilisateurs. Le régulateur des Télécoms du pays, KCC (Korea Communications Commission) estime que les informations personnelles seraient ainsi trop peu protégées.A l'appui de sa critique, outre la politique de confidentialité, le KCC critique la manière de Facebook d'autoriser le partage d'informations à des sociétés tierces. Choi Seong Jin, porte-parole du régulateur explique que : « Facebook viole les réglementations sur la protection de la vie privée et l'Information sur les réseaux ».

Le responsable évoque alors l'article 22 d'un texte de loi (.pdf) protégeant les internautes demandant de recueillir tout consentement pour chaque information personnelle mise en ligne. Un texte plutôt strict mais qui pourrait entraîner une nouvelle modification de la politique de confidentialité mise en place par Facebook.

Le site Computerworld rappelle que le réseau social dispose de 30 jours pour répondre à cette critique ouverte. Un début de crise qui devrait faire parler puisqu'environ 2,3 millions d'internautes disposent d'un compte en Corée du Sud, soit environ 5 % de la population totale.
Google vient d'annoncer que le service de boite de réception prioritaire proposée dans Gmail depuis fin août allait être très prochainement optimisé, sur la base des retours effectués par ses utilisateurs.La Boite de réception prioritaire, ou Priority inbox, permet d'identifier les courriels importants et de les séparer des autres emails pour optimiser leur lisibilité. Le service se base sur plusieurs critères, notamment le degré de correspondance de l'utilisateur avec ses différents contacts, pour établir cette priorité. Il est également possible d'affiner manuellement la priorisation ou nom d'une correspondance : un point qui n'était pas pris en compte avec suffisamment de précision par Gmail selon certains utilisateurs. Mashable rapporte que Google a donc optimisé les capacités "d'apprentissage" de la fonction, pour que la messagerie réagisse plus rapidement et avec plus de précision aux ajustements effectués par son utilisateur.

Autre nouveauté, la possibilité de savoir pourquoi un courriel est jugé prioritaire par le service en survolant l'icône située au dessus du corps du texte. Une explication souvent bienvenue pour comprendre comment Priority inbox opère pour déterminer le degré d'importance d'un mail, et qui était auparavant inexistante.

La firme de Mountain View semble donc très motivée pour optimiser ce service qu'elle juge efficace, puisqu'elle explique que les utilisateurs de la Boite de réception prioritaire passeraient 15% de temps en moins à consulter leur messagerie, et 43% plus de temps à ne se focaliser que sur les courriels importants par rapport aux non-adeptes de la fonction.
Encore une fois, les révélations du site Wikileaks mettent le doigt sur des pratiques douteuses de certains Etats. A la lecture de nouveaux documents, on apprend que la Chine aurait utilisé ses accès au code source de Windows afin de développer des attaques qui utilisaient les faiblesses de l'OS.Un câble diplomatique datant de 29 juin 2009 explique que certaines firmes chinoises « en rapport proche avec la république populaire de Chine ont eu accès au code source de Windows grâce à un accord datant de 2003. Ce contrat devait, en principe, servir à améliorer la sécurité de l'OS ». Le CNITSEC, une organisation chinoise spécialisée dans la sécurité aurait ensuite « activement » travaillé avec des hackers afin de développer certains exploits.

Parmi ces hackers nationalistes, le nom de Lin Yong est évoqué. Bien connu, il aurait même monté une équipe afin de travailler sur ce projet…

De son côté, Microsoft rappelle au site The Register que le « programme de sécurité GSP (appelé Government Security Program) reste une initiative mondiale qui permet aux gouvernements d'accroître leur assurance dans les systèmes de sécurité en fournissant une partie du code source appartenant à Microsoft ». La firme précise que « l'accès à cet environnement est soumis à une authentification et est protégé par des mesures de sécurité ». A en croire Wikileaks, ces mesures auraient été visiblement outrepassées.
le 07/12/2010 à 00:00
Google Wave tourne l'Apache
En aout dernier, Google annonçait la mort du service Wave. « Nous n'avons pas eu autant d'utilisateurs que nous le souhaitions », voilà le motif invoqué pour signifier que la firme ne développera plus pour cette plateforme et utilisera ses technologies dans d'autres produits.Google Wave devait servir à faire le lien entre la boite e-mail et une messagerie instantanée tout en incluant la possibilité de partager des documents. Si à ses débuts, le service a suscité quelque curiosité, force est de constater que les utilisateurs ne sont pas venus en masse. Pourtant ce raté de Google vient de connaître une seconde vie grâce à l'Apache Software Foundation.

Le projet Wave in a Box avait été lancé par la firme en Open Source mais cette fois, le développement de l'application et des protocoles Wave Federation va pouvoir se poursuivre. Apache Wave devrait ainsi rapidement être développé sous la licence libre Apache.
La version T2 de Sparc, encore brandée Sun.[/lien]La cible est claire : avec le portage de la version Enterprise de sa distribution GNU / Linux sur sa puce pour serveurs Sparc, Oracle s'en prend à IBM et Hewlett-Packard (HP). L'enjeu est important, tant le marché des serveurs de haut niveau dédiés aux entreprises est vigoureux - et tant les marges générées sont intéressantes pour les IBM et HP.

« Nous pensons que le Sparc va clairement devenir la meilleure puce pour faire tourner le logiciel d'Oracle, » a expliqué Larry Ellison, le PDG de l'entreprise. « A partir de là, nous serions idiots de ne pas y amener Oracle Enterprise Linux. Nous sommes encore loin, mais je pense que ça va arriver. »

Pour l'instant, les clients d'Oracle ont le choix entre Solaris et Oracle Enterprise Linux sur les serveurs basés sur une architecture x86 seulement. Pour les systèmes utilisant la puce Sparc d'Oracle, seul Solaris est disponible. Selon Larry Ellison, la prise en charge de l'OS maison (Oracle Enterprise Linux est la distribution GNU / Linux historique chez Oracle, Solaris étant issu du rachat de Sun Microsystems) devrait être assurée pour la version T4 ou T5 de la puce Sparc.

Un an d'attente est donc encore à prévoir, Oracle ayant débuté la commercialisation de la version T3 de Sparc en septembre dernier. Or IBM et HP ont déjà de l'avance sur ce créneau, leurs clients pouvant déjà choisir des distributions UNIX ou GNU / Linux pour leurs serveurs haut-de-gamme. Chez Big Blue, les clients peuvent utiliser une distribution GNU / Linux, AIX ou le System i maison avec un seul hyperviseur sur les systèmes Power7.

Est-ce l'annonce de la fin de l'état de grâce pour Solaris ? Pas vraiment, en fait, et Larry Ellison continue à le considérer comme « le système d'exploitation de pointe dans le monde. Nous voulons que les clients pensent : "Dois-je utiliser Solaris ou Linux ?" Fin de la discussion. Nous ne voulons pas qu'ils se demandent : "Dois-je migrer de Sparc à Power, ou de Solaris à AIX ?" Nous voulons leur donner le choix au sein de notre propre famille de produits. »
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