LA GLOBULE

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Ses dernières news

le 10/12/2010 à 00:00
Journal de réplication InnoDB
Au paravent, le système de réplication MySQL était associé avec la réplication avec MyISAM. De nos jours, InnoDB a pris une place importante autour de la base de donnée, permettant ainsi d'effectuer les opérations similaires.

Le site Ramblings, présente les orientations suivant les évolutions des années. Mais aussi il explique que d'autres solutions existent autour de la réplication.

- Replication log inside InnoDB
le 10/12/2010 à 00:00
Introduction au thème Magento
Le site « sitepoint » montre une approche, pour vous aider dans la réalisation de thèmes, pour la plateforme de commerce électronique Magento.

L'article explique la structure de template à partir de fichiers PHP et XML. Par ailleurs, vous verrez comment structurer les dossiers et mettre en place la hiérarchie des fichiers que vous aurez besoin.

Enfin, l'article montre avec un script exemple comment mettre en place toute la théorie.

- Tutorial: Introduction to Magento Theme Development
Entre les défenseurs du site Wikileaks et les organismes privés ou publics qui en contestent les objectifs, un véritable conflit semble se nouer. Même si on ne doit pas encore parler de cyberguerre ou de guerilla 2.0 (à l'instar de l'épisode estonien ou de la Géorgie), les attaques Ddos se multiplient contre ceux qui ont protesté ou suspendu leur coopération avec le site de fuites.Selon la BBC, un porte-parole des Anonymous, surnommé Coldblood a affirmé que de nouveaux « adversaires » seraient probablement bientôt attaqués. Il explique : « Je vois ça comme une guerre en train de naître, mais pas une guerre conventionnelle. C'est une guerre informatique. Nous essayons de préserver un internet libre et ouvert à tous, comme internet l'a toujours été. Anonymous prend principalement pour cibles les sociétés qui ont décidé on ne sait pourquoi de ne plus traiter avec WikiLeaks ».

Techniquement, l'utilisation de botnets pour mener des attaques Ddos est une pratique courante dans le milieu de la sécurité informatique. Elle permet de programmer (via des logiciels simples d'utilisation comme le kit Low Orbit Ion Cannon) de nombreux postes pour se connecter au même moment sur un site. Cette multiplication de requêtes a pour conséquence de rendre indisponibles les sites visés à cause d'une surcharge trop importante des serveurs.

Amazon, Mastercard, Visa et PayPal sont donc au centre du viseur. Il est reproché à ces sociétés d'avoir arrêté leur coopération avec Wikileaks. Amazon a justifié l'éviction de son Cloud en invoquant leur contrat et une disposition qui stipule qu'« un client doit garantir qu'il détient bien la propriété du contenu qu'il publie et que cela ne cause aucun dommage à un personne ou administration… ». Une éviction qui est alors survenue quelques heures après les critiques d'une partie du Congrès américain.

Pour sa part, Paypal a justifié la fermeture du compte Wikileaks en parlant d'une « violation de la politique d'usage raisonnable qui énonce que le service de paiement ne doit pas encourager, promouvoir ou faciliter une activité illégale ». Enfin, rien ne dit, pour l'instant si Facebook ou Twitter seront des cibles futures. Le premier a pourtant supprimé la page intitulée « Wikileaks Operation Payback ». Twitter a également réagi en suspendant le compte Twitter d'Operation Payback, soutenant la cause de Julian Assange.Anons humanum est ?Si les victimes sont désignées, d'autres, très critiquées pourraient passer entre les vagues zombies de l'opération Payback, orchestrée par les Anonymous (ou AnonOps). La France, par exemple, a été critiquée à cause des déclarations du ministre de l'Economie numérique Eric Besson. Ce dernier souhaitait savoir comment arrêter l'hébergement de Wikileaks par la société française OVH…

L'agitation règne donc puisque les anti-Wikileaks se font également entendre comme le montre l'éditeur de sécurité Panda qui estime que le site est tombé plus d'une cinquantaine de fois. Après des attaques Ddos menées contre ses serveurs, Wikileaks a sorti la parade en s'appuyant sur des adresses qui redirigent ses informations. Une pratique plutôt efficace puisque le compte Twitter du site reconnaît désormais 1 368 sites miroirs.

Par contre rien ne permet de faire le lien entre Anons et Wikileaks dans le sens où les motivations des deux entités ne sont pas forcément les mêmes. D'un côté, le site tente d'apporter plus de transparence (selon les positions prônées par Julian Assange). De l'autre, les Anonymous sont, par principe, un ensemble aux motivations diverses et hétéroclites. Un cocktail visiblement détonnant.Mise à jour : Sur son fil Twitter, Wikileaks vient d'envoyer un communiqué au sujet de la multiplication des attaques distribuées. L'organisation évoque alors clairement les Anonymous et estime que : « ce groupe n'est pas affilié à Wikileaks. Il n'y a eu aucun contact entre notre équipe et ce groupement ». Kristinn Hrafnsson, porte-parole du site donne la position officielle : « Nous ne condamnons ni n'applaudissons ces attaques. Nous pensons simplement qu'il s'agit là d'un miroir de l'opinion publique ». Signe qu'il faut bien faire la différence entre le site de fuites et les Anons...
Chrome OS pourra imprimer avec n'importe quelle imprimante sans aucun pilote. Google a effectivement profité de l'annonce de son futur système d'exploitation pour lancer "Google Cloud Print". Ce nouveau service en ligne propulse pour ce faire l'imprimante dans le nuage.

"Google Cloud Print" repose dans un premier temps sur un ordinateur passerelle, comme aurait du le proposer la fonction AirPrint d'Apple. En revanche, "Cloud Print" dépasse comme son nom l'indique le réseau local. À partir de la version 10, d'ores et déjà disponible dans le canal de développement, le navigateur Internet Google Chrome inclut le Google Cloud Print connector, duquel on connecte au service en ligne l'imprimante reliée à l'ordinateur. La fonction est pour l'heure réservée à Windows mais Mac OS et Linux seront pris en charge ultérieurement.

Un ordinateur ne sera nécessaire qu'en attendant que des imprimantes prenant en charge "Google Cloud Print" de manière autonome ne soient commercialisées. Un service similaire répondant au nom d'ePrint est par exemple intégré à certaines imprimantes HP.

L'imprimante est alors accessible au travers d'Internet. On peut dès lors imprimer non seulement d'un ordinateur fonctionnant sous Chrome OS, mais aussi à terme depuis toutes sortes de dispositifs, à commencer par des smartphones et des tablettes.

"Google Cloud Print" permet donc de se libérer de la rébarbative question des pilotes, au prix d'une concession supplémentaire sur sa vie privée…
Conformément à ses souhaits, le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand a lancé un appel à projets au sujet de la numérisation des contenus « culturels, scientifiques et éducatifs ». Le gouvernement espère ainsi éviter la mainmise d'une société américaine sur des contenus appartenant au patrimoine littéraire français.L'action conjointe de Frédéric Mitterrand, d'Eric Besson (Economie numérique) et de René Ricol, Commissaire général à l'investissement devrait permettre de dégager les meilleurs « projets de collaborations entre fournisseurs de contenus, acteurs technologiques et organismes de recherche, en vue de développer des solutions innovantes pour la numérisation, l'indexation, la gestion et la valorisation de contenus culturels, scientifiques et éducatifs ».

Cette position est logique puisque la semaine dernière, le ministre avait expliqué vouloir revenir sur l'accord passé entre Google et Hachette Livre portant sur la numérisation de livres. Mitterrand avait alors souhaité : « contribuer, en tant que ministre, à la création d'un accord-cadre respectant les droits de tous ».

L'appel concerne les technologies matérielles mais également logicielles tout comme les processus et ingénieries sur la numérisation, la restauration des contenus, leur traitement et leur mise à disposition auprès des utilisateurs. Le texte précise que les dossiers sélectionnés bénéficieront « d'aides portant sur le soutien aux activités de R&D ».
Google a profité mardi d'une conférence de presse à San Francisco pour annoncer "Chrome OS". La firme de Mountain View nous avait quelque peu laissé sur notre faim quant au type d'ordinateur sur lequel il serait proposé. La branche taiwanaise de Google a néanmoins tenu un événement similaire le lendemain, rapporté par notre confrère Digitimes, au cours duquel elle fut un brin plus loquace.

Acer et Samsung commercialiseraient ainsi leurs ordinateurs portables fonctionnant sous Chrome OS "dès le premier semestre 2011", ce qui est potentiellement plus optimiste que la "mi-2011" évoquée la veille. Acer aurait retenu un ordinateur en marque blanche du fabricant Quanta Computer, tandis que Samsung concevrait son propre ordinateur.

D'autres partenaires, passés sous silence à San Francisco, travaillent également à l'élaboration d'ordinateurs portables Chrome OS. HP a ainsi annoncé qu'il collaborerait de nouveau avec Inventec, qui fabrique notamment ses netbooks, et qu'il pourrait bien être le premier sur ce marché. Le premier modèle montré à l'occasion de l'annonce arbore d'ailleurs le clavier caractéristique des netbooks d'HP. On compte en outre Asus, Lenovo ou encore Toshiba.

Google a enfin conclu un partenariat avec Freescale et Texas Instruments dans le cadre de Chrome OS. Ces deux sociétés fabriquent notamment des processeurs ARM, tout particulièrement adaptés aux tablettes. Interrogé sur cette question, le géant du Web a répondu qu'"il était trop tôt pour s'exprimer". Affaire à suivre…
Marissa Mayer, vice-présidente des services de recherche locale chez Google revenait hier sur les nouveautés présentées cette semaine et annonçait les initiatives à venir dans le domaine de la recherche et des outils communautaires.

Anciennement vice-présidente du département de la recherche, Mme Mayer travaille désormais avec près d'un millier de personnes notamment sur la nouvelle version 5.0 de Google Maps annoncée lundi dernier. Interrogé par un blogueur de Techcrunch sur les efforts de Google dans le domaine des réseaux communautaires, Marissa Mayer laisse entendre que la société parie sur le web social hyperlocal : « Il s'agit d'un investissement majeur chez Google ».

D'ailleurs, les ingénieurs planchent actuellement sur un dispositif de recherche contextuelle. "Nous souhaitons diffuser auprès des internautes des informations en complément de leur surf », explique Marissa Mayer. Ces résultats se baseront sur l'historique de recherche et sans doute d'autres données par exemple le surf de ses contacts. Elle ajoute que la géo-localisation fait également partie de la donne. Pour illustrer cette idée elle explique : "si vous êtes au restaurant nous pouvons vous présenter automatiquement le menu sur votre téléphone et même ce que vos contacts ont mangé à cet endroit ».Les premiers efforts de la société dans ce domaine restent cependant mitigés. En effet, Google Latitude, désormais implementé au sein de Google Maps, avait soulevé plusieurs problèmes dans le domaine de la vie privée en permettant de suivre à la trace ses contacts ayant choisi de partager leur position. La dirigeante admet que Latitude n'est pas encore au point et avoue qu'elle ne se sent véritablement à l'aise avec cette application qu'en partageant sa position avec un nombre limité de contacts. A l'avenir, de nouvelles couches devraient compléter ce service, notamment une fonctionnalité de check-in similaire à celle de Foursquare.

Dans les six mois à venir, Google devrait également procéder à davantage d'acquisitions. Si Mme Mayer n'a pas souhaité confirmer les supposées discussions avec Groupon, Yelp ou Twitter, elle admet cependant que les rachats sont de plus en plus difficiles au fur et à mesure que la firme de Mountain View grossit sa masse salariale. "Faut-il procéder à une intégration des salariés ? Si oui, dans quel département ? C'est très compliqué et pour chaque affaire nous dessinons une stratégie bien précise ».

Enfin concernant les efforts globaux de Google dans le web social, Marissa Mayer admet également que la firme n'a pas su s'imposer. Elle n'en reste pas moins optimiste : "nous sommes les premiers sur la recherche, sur la publicité » et concernant le web social "nous voulons vraiment faire les choses bien cette fois ».
La migration continue. Sans aucun rapport avec le froid où la neige qui s'abat sur une bonne partie de la France, la part d'utilisateurs sous Windows XP ne cesse de diminuer. En parallèle, Windows 7 connaît un véritable essor en remportant 25 % des parts de marché.A en croire le site d'analyse Statcounter, XP représente à ce jour 50,68 % des utilisateurs en décembre 2010. De son côté, Windows 7 dépasse la barre des 25 % (25,1). Un signe que le changement est clairement plus qu'amorcé et que la tendance devrait continuer. Enfin, le cabinet estime à 15,8 % la part des utilisateurs de Vista, 6,54 % pour Mac OS et 0,78 % pour Linux.

Pour rappel, les résultats de Statcounter sont le fruit de l'analyse de trois millions de sites surveillés par la société. Elle enregistre ainsi pas moins de 15 milliards de connexions tous les mois. Une bonne base pour comparer la progression de Windows 7 par rapport à celle de Vista.

Vista est sorti en 2007 soit cinq années après XP. Pourtant, une année après son lancement, les utilisateurs de Windows Vista ne représentaient que 14 % du marché. Windows 7, lui, a été dévoilé en 2009 et regroupe déjà 25 % des utilisateurs. Des résultats bien différents, signe d'une certaine satisfaction des utilisateurs mais aussi de la maturité du marché pour réaliser sa migration.
"Jolicloud 1.1" est disponible depuis mardi. Avec cette mise à jour moins mineure que la numérotation ne le laisse transparaitre, le système d'exploitation prend un tournant en ne se destinant plus seulement aux netbooks. Désormais, il a effectivement vocation a réhabiliter tout type d'ordinateur : "des ordinateurs inutilisés pourraient bénéficier d'une meilleure interface vers l'Internet".

Jolicloud n'en demeure pas moins un système d'exploitation tourné vers Internet et l'informatique dans le nuage (cloud computing), en mêlant indifféremment services en ligne et véritables logiciels.

"Jolicloud 1.1" repose dorénavant comme prévu sur Ubuntu 10.04, en remplacement de la précédente version offrant un support étendu. Pour commencer, il bénéficie ainsi mécaniquement d'un temps de démarrage et de reprise raccourci à 10 à 20 secondes. De l'optimisation des performances découle en outre une hausse d'autonomie de 15 % par rapport à la version 1.0, ainsi que la prise en charge de vidéos Full HD 1080p ou YouTube 720p dès le processeur Atom N550.

L'interface améliorée accueille quant à elle une fonction de fond d'écran, un accès simplifié aux paramètres de l'ordinateur, la possibilité d'ajouter n'importe quel logiciel au lanceur ainsi qu'une souscription ou identification accélérée par le biais de Facebook Connect.

"Jolicloud 1.1" est disponible dès à présent. Les utilisateurs de la version 1.0 sont invités à procéder à une mise à jour. Les nouveaux utilisateurs peuvent quant à eux se procurer la distribution Linux depuis son site Internet, ou bien découvrir le lanceur au format HTML5 au travers du Chrome Web Store.
Iliad / Free vient de faire parvenir à la presse une invitation relative à un évènement qui se tiendra le mardi 14 décembre prochain, à Paris. Aucune indication précise n'est donnée quant à la teneur des sujets qui seront abordés à cette occasion, mais il est difficile de ne pas penser à la fameuse Freebox v6 (sixième génération), censée remplacer les vieillissants boîtiers que Free met actuellement à la disposition de ses abonnés.

Maxime Lombardini, directeur général de l'opérateur, a au cours de l'année évoqué à plusieurs reprises l'arrivée d'une innovation "majeure" chez Free avant la fin de l'année 2010 et admis que celle-ci tournerait autour de l'univers des box.

Alors que SFR vient de lancer sa Neufbox Evolution, Free pourrait donc attaquer l'année avec un nouveau boitier, dédié aussi bien aux fonctions de routage voix et accès à Internet qu'à la réception de services connectés sur la télévision. Objet de nombreuses rumeurs parfois farfelues, la Freebox v6 constitue l'un des secrets les mieux gardés de l'opérateur, puisqu'aucune information tangible n'a encore vraiment filtré à son sujet.

A nouvelle box, nouveaux forfaits ? Free profitera peut-être de cet évènement pour lancer de nouveaux forfaits triple play et préciser quelles seront les modalités d'adaptation à la hausse de la TVA décidée par le gouvernement (voir l'émission 56K de la semaine, dont le dossier est consacré à cette problématique). Rendez-vous est donc pris, sur Clubic, pour le 14 décembre !
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