LA GLOBULE

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Ses dernières news

Régulièrement soulevée, l'idée de taxer les investissements publicitaires sur Internet n'a toujours pas les faveurs des professionnels du secteur. Dans un communiqué, la branche française de l'IAB (Interactive Advertising Bureau) a dénoncé mardi les conséquences négatives que pourraient selon elle entraîner la future proposition du rapporteur général du budget au Sénat, Philippe Marini. Celui-ci entend en effet déposer dans le cadre de la loi de Finances 2011 un amendement visant à taxer à hauteur de 1% « les achats de publicité en ligne réalisés par les professionnels de droit français ».

Surnommée « taxe Google », la mesure aurait pour effet de compenser le manque à gagner qu'entraîne la domiciliation fiscale de sociétés telles que Google (Irlande), eBay ou Apple (Luxembourg). « Une réaction de défense de l'Etat face à des plate-formes très symboliques de la mondialisation », explique le sénateur, selon qui la taxe pourrait permettre de faire rentrer quelques dizaines de millions d'euros par an dans les finances publiques.

« Si elle était adoptée, cette mesure mettrait gravement en péril l'écosystème innovant mais fragile de l'économie numérique en France », estime pour sa part l'IAB France. L'association fait valoir que les grands groupes n'en subiront pas l'impact, puisqu'ils n'auront aucun mal à déporter leurs achats d'espace vers l'étranger, mais qu'elle aurait pour effet d'oppresser les petits annonceurs. « Même avec un montant symbolique, un tel projet pourrait entraîner la délocalisation d'une partie des acteurs français de l'Internet, leur activité étant, par nature, très mobile », souligne encore l'IAB.
Après avoir lancé la recherche instantanée en septembre dernier, Google vient d'annoncer l'implémentation dans les prochains jours de l'aperçu instantané de sites Web.

Cette nouvelle fonction, conçue pour "faire gagner toujours plus de temps" selon Google, permet de visionner l'aperçu d'un site dans une vignette, qui affiche également l'endroit où se trouvent les mots-clés recherchés dans la page. L'accès à l'aperçu s'effectue en cliquant sur une icône de loupe située à côté de l'étoile permettant d'enregistrer une page en favoris.

Une fonction qui se veut réactive et intuitive et qui permet, selon la firme, non seulement de gagner du temps mais également de retrouver rapidement un site déjà visité, au cas où l'historique ne navigation ne le permettrait pas. Pour faire bon usage de cette nouvelle fonction, il faudra cependant perdre le réflexe de cliquer directement sur un lien pour y accéder… Et retourner à la page précédente si ce n'est pas le résultat escompté.

Instant previews, ou Aperçus instantanés en français devrait apparaître progressivement sur le moteur de recherche Google dans les prochains jours.
Désireux de voir Facebook ouvrir l'accès à ses données, Google a interdit l'accès aux APIs de Gmail au réseau social pour l'empêcher d'utiliser la liste de contacts de ses utilisateurs pour étoffer leur réseau d'amis. Un problème que Facebook n'aura pas tardé à contourner et ce sans partager ses précieuses données.

Le réseau social de Mark Zuckerberg a en effet installé un système permettant d'importer les contacts Gmail par l'intermédiaire d'un fichier CSV que l'utilisateur aura exporté au préalable depuis sa boite mail. Un procédé qui demande une démarche supplémentaire de la part de l'utilisateur, mais Facebook a visiblement pensé à tout puisque le site a mis en place un bouton qui permet l'exportation en un seul clic.

En somme, Facebook profite de la propre politique de Google vis-à-vis des données de ses utilisateurs - qui facilite l'accès à leur liste de contacts et a retourne contre lui pour mieux contourner les contraintes imposées par la firme de Moutain View.

Google a cependant toutes les cartes en main pour colmater la brèche et empêcher Facebook de se servir du fichier CSV pour faire remonter les contacts sur le réseau social. Une manoeuvre néanmoins délicate selon un ingénieur interrogé par TechCrunch qui estime que "Facebook est devenu vraiment agressiff" en agissant ainsi. La guerre semble donc déclarée entre les deux géants du Net.
La firme Google annonce qu'elle va sponsoriser des connexions Internet en Wi-Fi dans trois compagnies aériennes. Le but de la manoeuvre est de promouvoir le navigateur Chrome. Cette année, le géant a passé des partenariats avec AirTran, Delta et Virgin pour fournir une connexion aux passagers sur les vols intérieurs américains.L'opération est largement commerciale puisqu'elle va durer de la journée de Thanksgiving (25 novembre) jusqu'au 2 janvier. Une période de fêtes pendant laquelle les américains se déplacent beaucoup. La page d'accueil du service GoGo fait donc pointer vers plusieurs pages de téléchargement du navigateur Chrome.

C'est donc pendant cette période festive que 700 avions seront équipés. Cette opération de visibilité vise aussi à faire augmenter la part de marché de Chrome. Selon la dernière étude de Net applications reprise par ComputerWorld, le navigateur de Google est utilisé par 8,5% des internautes aux Etats-Unis. Un coup de projecteur serait donc bienvenu.
le 09/11/2010 à 00:00
Innotop 1.8
Innotop est un clone pour MySQL, orienté innoDB. Cette application vous permet d'effectuer de la surveillance. Par ailleurs, ce projet propose plus fonctionnalités et de souplesses par rapport aux autres outils de la même famille.

Cette nouvelle version apporte de nouvelles fonctionnalités, comme : Une interface en plugins entièrement configurableUne surveille du nombre de serveurs avec la possibilité de les regrouperUne trousse d'outils variés comme mytopDe nouvelles fonctionnalités comme l'interrogation de la périodeAnalyse et affiches les informations venant de InnoDB.

- Innotop 1.8
Plusieurs collectifs d'annonceurs contestent la politique de Google en matière de publicité. L'Union des Annonceurs, l'Union des Fabricants, le Syndicat de la presse quotidienne nationale et le Syndicat de la presse magazine affichent leur contestation face à la nouvelle politique d'achat de mots-clés de Google.Pour rappel, depuis le 14 septembre, la firme donne la possibilité d'acheter aux enchères un mot-clé correspondant à une marque dont il n'est pas propriétaire. Des situations parfois conflictuelles comme en atteste le cas Louis Vuitton.

Selon ces collectifs (représentants d'environ 1 000 annonceurs), l'ouverture de ce marché aurait donc comme conséquence de « développer des situations illégales - actes de parasitisme, de concurrence déloyale ou de contrefaçon, risque de confusion pour le consommateur en recherche de références fiables - face auxquelles Google ne peut rester sans réponse ».

Le message envoyé directement à Eric Schmidt, le p-dg de Google, pourrait donc ne pas rester lettre morte. Cependant, il paraît difficile que la firme revienne en arrière et puisse autoriser à nouveau les sociétés à bloquer a priori l'achat de mots clés. Ce contrôle se fait désormais a posteriori.
Un ordinateur ? Oui mais pas sans Internet ! Voilà ce que révèle en substance l'étude "Référence des équipements multimédias" conduite par GfK et Médiamétrie. Au troisième trimestre 2010 en France, plus de 19 millions de foyers possèdent au moins un ordinateur, soit 71,1 % des foyers, la quasi-totalité étant connectés à Internet, c'est-à-dire 67,7 % des foyers. Les premiers ont cru de 7 % en un an, les seconds de 11 %.

L'étude confirme par ailleurs les études précédentes qui se concentraient sur les ventes d'ordinateurs. Avec 2 millions de foyers supplémentaires qui ont opté pour un ordinateur portable en un an, 40 % des foyers en sont équipés, contre seulement 26,7 % il y a deux ans. Un cinquième de ceux-ci sont d'ailleurs équipés d'un netbook, soit 8,4 % des foyers.

Autre tendance de l'année 2010, la multiplication des ordinateurs par foyer. 7,8 millions des foyers sont effectivement désormais équipés de plus d'un ordinateur, c'est-à-dire 28,7 % des foyers, en progression de 27 % sur un an. Autrement dit, ce sont davantage les foyers déjà équipé d'un ordinateur qui ont acheté un ordinateur supplémentaire cette année.
Il est rare que la Marine britannique perde une bataille. Pourtant, le site de la Royal Navy a dû être fermé à cause d'attaques de hackers. A en croire le ministère de la Défense, il s'agirait bien d'un acte malveillant perpétré suite à ses dernières annonces.Voilà quelques semaines, le gouvernement britannique a annoncé qu'1,05 milliards d'euros seraient investis dans un programme national de cyber-sécurité. Le motif aurait été suffisant pour organiser une attaque du site, à en croire la BBC.

La chaîne nationale évoque aussi la piste d'hackers roumains. Plus particulièrement, un pirate connu sous le pseudonyme TinKode serait à l'origine d'une injection SQL. Ce dernier a même publié certaines informations qu'il a réussi à intercepter comme des identifiants de connexion à l'administrateur du site. Sur son blog, il dévoile donc quelques mots de passe…

Par contre, un porte-parole du ministère informe qu'« aucun dommage n'a été causé par l'attaque puisque le site a été suspendu temporairement ». Il explique également qu'une enquête est actuellement en cours pour tenter de connaître les auteurs de la cyber-attaque. D'ailleurs, le site n'est toujours pas en ligne, à l'heure actuelle.
Au mois de septembre, l'équipe développant le lecteur de flux RSS Bloglines annonçait la fermeture de son service au premier octobre. Sur son blog officiel, Ask.com expliquait cette initiative par un changement de priorité en misant davantage sur le nouveau service questions / réponses.

Après avoir repoussé plusieurs fois l'échéance au 1er novembre, puis au 15 novembre, Ask.com a annoncé la semaine dernière avoir signé un accord avec MerchantCircle, un site spécialisé dans... la publicité locale. Bientôt doté d'une toute nouvelle interface utilisateur, Bloglines intégrera des flux RSS pré-configurés retournant les offres promotionnelles des 1,4 million d'annonceurs de MerchantCircle. Ces publicités varieront en fonction de la position géographique de l'internaute. Ask.com précise qu'il ne s'agit pas d'une acquisition mais d'un transfert technologique. Concrètement, le service appartient donc toujours à Ask mais c'est MerchantCircle qui mettre à disposition les moyens pour entretenir ce dernier.

Notons que la fonctionnalité Clippings, permettant de sauvegarder un article, disparaîtra. « Les coûts de l'infrastructure sont simplement beaucoup trop élevés pour justifier la maintenance de ce type de fonctionnalité d'archivage », est-il ainsi expliqué dans un email envoyé aux Internautes. Bloglines, qui compterait aujourd'hui 2,7 million de membres, devrait donc renaître de ses cendres au 1er décembre.

Reste à savoir si MerchantCircle saura convaincre les utilisateurs, plusieurs d'entre eux ayant déjà migré vers Google Reader.
Le service de cartographie Google Maps est de nouveau au coeur d'une polémique, non pas pour sa fonctionnalité Street View mais pour les données géographiques retournées. En effet, le Sydney Morning Herald explique que les troupes militaires du Nicaragua ont envahit accidentellement le territoire du Costa Rica la semaine dernière.

Le commandant Eden Pastora rapporte au quotidien La Nacion que l'intrusion n'était pas intentionnelle et résulte d'une erreur présente au sein de Google Maps. Reste que ce "bug" a tout de même fait déplacer Jose Miguel Insulza, secrétaire général de l'organisation des états américains, qui tente de trouver un terrain d'entente entre les deux nations. Si aucune solution n'est trouvée, la présidente du Costa Rica Laura Chinchilla se dit prête à porter l'affaire devant le conseil de sécurité des Nations Unies.

En revenant sur l'historique de la frontière séparant les deux pays, Charlie Hale, de l'équipe de Google Maps, confirme cette erreur et ajoute que les cartes seront bientôt mises à jour. Un traité signé entre les deux contrées en 1858 décrit la frontière actuelle, laquelle fut à nouveau confirmée en 1888 par le président des Etats-Unis Grover Cleveland. Ce dernier demanda tout de même un plan plus détaillé en 1897 afin d'éviter toute confusion. Gauche : données erronées sur Google Maps | Droite : données correctes sur Bing Maps

Finalement cette affaire n'a fait qu'envenimer les tensions entre le Nicaragua et le Costa Rica. Le premier demande en effet à Google de ne pas écouter les demandes du gouvernement costaricain souhaitant voir une modification des cartes. En affirmant qu'il n'y a aucune erreur, Samuel Santos, le ministre des affaires étrangères nicaraguayen déclare à Jeffrey Hardy, porte-parole de Google : « Je demande officiellement que (le marquage de la frontière) ne soit pas modifié ». De son côté, le Costa Rica a envoyé 150 hommes sur les lieux afin d'assurer la sécurité de ses citoyens.

Au mois de février, Google avait également été accusé de n'avoir pas mis sa base de données à jour pour la frontière séparant le Cambodge de la Thaïlande.
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