LA GLOBULE

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Ebay vient d'annoncer le rachat d'un éditeur d'applications mobiles, Critical Path Software. Les deux entreprises se connaissent déjà bien, puisque c'est Critical Path qui a eu la charge de développer pendant plus de deux ans la version iPhone de l'application eBay.

C'est la seconde acquisition du mois pour eBay, qui s'est offert le 2 décembre dernier Milo, afin de développer son réseau physique aux Etats-Unis. Avec Critical Path, c'est donc sur le segment mobile qu'eBay se renforce. Selon le site de e-commerce, son application pour iPhone a été téléchargée 14 millions de fois, ce qui en fait un outil incontournable dans la stratégie du groupe.

EBay aurait réalisé 600 millions de dollars de ventes sur des appareils nomades en 2009. Un chiffre qu'il estime monter à 1,5 milliard de dollars pour 2010. Un besoin en solutions mobiles qui a donc poussé eBay à internaliser la création de ses applications. Les équipes de Critical Path seront intégrées au groupe, mais aucune autre condition de rachat n'a filtré, que ce soit sur la procédure ou sur le prix proposé.
Voilà une annonce qui risque de faire parler d'elle ! Chez Facebook, on est parti du constat que des milliers d'images sont mis en ligne par les internautes tous les jours. On est également persuadé que c'est la fonction de tag qui donne son intérêt à cette mise en ligne massive de photographies personnelles, puisqu'elle permet de partager souvenirs et autres moments inoubliables.

Mais taguer les photos ça prend du temps, alors pourquoi ne pas le faire automatiquement ? Comme nous l'annonce Justin Mitchell sur le blog de Facebook, le site communautaire aura recours dès la semaine prochaine un outil de reconnaissance faciale. En quoi consiste-t-il exactement ? Lors de l'envoi sur les serveurs du site d'un groupe de photo, une fenêtre vous proposera de marquer les visages détectés (grâce à l'outil de détection de visage introduit l'été dernier). Si certains d'entre eux sont présents sur plusieurs photos, le marquage s'effectuera en masse sur toutes les photos dans lesquelles ces visages apparaissent. Fort d'une base de données qui se constituera ainsi, Facebook sera alors en mesure de vous proposer des choix pour marquer plus facilement les personnes présentes sur vos photos.

Une base de données qui a forcément de quoi inquiéter. Pour éviter toute attaque dont le sujet serait, au hasard, le respect de la vie privée, le site a prévu une option permettant de désactiver cette fonctionnalité sur votre compte. Ceci empêchant Facebook de procéder à la reconnaissance automatique de votre visage. La personne qui voudra marquer votre présence sur l'une de ses photos devra donc le faire manuellement, comme c'est le cas actuellement. Une question cruciale demeure toutefois : comment Facebook va-t-il s'en sortir avec les jumeaux ?
le 16/12/2010 à 00:00
Opera 11 disponible en version finale
Opera 11 est désormais disponible en version finale et en téléchargement sur Clubic pour Windows, Mac et Linux. Cette mise à jour majeure n'est pas avare en nouveautés. Elle inaugure tout d'abord la prise en charge tant attendue d'extensions développée en HTML, CSS et JavaScript. Tout comme ses concurrents Mozilla Firefox, Google Chrome et Safari, le navigateur norvégien dispose enfin d'une bibliothèque officielle et d'un véritable gestionnaire d'extensions intégré. Basées sur les spécifications du W3C, ces extensions pourront être rapidement portées vers, mais aussi importées depuis les navigateurs Google Chrome et Safari partageant la même technologie. Elles peuvent être rapidement installées, configurées, désinstallées sans nécessiter le redémarrage du navigateur, disposeront d'une interface graphique, tourneront en tâche de fond et pourront être désactivées en un clic lors de la consultation de sites sécurisés par une connexion HTTPS. Une nouveauté majeure donc, qui ouvre le navigateur à un public plus large et fera sûrement franchir le pas à ceux qui attendaient l'arrivée d'extensions pour adopter définitivement Opera comme navigateur par défaut.

Du côté de l'interface, l'équipe d'Opera Software innove encore avec l'arrivée d'une évolution dans la gestion des onglets. Il est désormais possible de superposer plusieurs onglets par simples glissés déposés. On pourra les séparer et rassembler en double cliquant dessus, mais aussi afficher des aperçus rapides de chaque onglet en survolant ce nouvel élément avec le curseur souris. L'objectif est bien sûr de faciliter nativement la gestion de nombreux onglets ouverts, mais aussi gagner de l'espace à l'écran, ce qui intéressera sûrement les possesseurs de « Netbooks ».

Pour le reste, le gestionnaire intégré de courriels profite au passage de quelques améliorations. Outre la correction traditionnelle de bogues du passé, le démarrage du client est plus rapide et les barres de défilement ont été remaniées. La gestion des filtres et les requêtes sauvegardées sont désormais réunies au sein d'une section nommée "Labels". Les champs de recherches ont été quant à eux simplifiés et permettront de créer une règle de tri à partir d'une simple requête. Enfin, on notera une prise en charge toujours plus poussée des standards du web, l'optimisation du moteur JavaScript ainsi que la mise en avant des fonctions Turbo et de raccourcis souris.
Toujours pas d'introduction en Bourse en vue pour Twitter, qui vient de lever 200 nouveaux millions de dollars, dans un tour de table mené par le fonds Kleiner Perkins Caufield & Byers, très connu dans la Silicon Valley.

Kleiner Perkins croit donc en Twitter, vue la taille de l'investissement. De 1 milliard de dollars il y a 15 mois, lors d'un précédent tour de table, Twitter est maintenant valorisé à 3,7 milliards de dollars. Un chiffre dont la pertinence est critiquée, vu que le service n'a toujours pas trouvé l'équilibre, mais la voix de Kleiner Perkins n'est pas négligeable. Rappelons que c'est l'un des fonds qui avaient parié sur Google, ou encore Amazon.

Et le pari de Kleiner Perkins repose sans doute sur cette monétisation possible. Hier, Twitter a fait un nouveau pas dans la construction d'un business model viable, en dévoilant un formulaire d'achat de publicité sur son service de micro-blogging. Ce n'est pour l'heure qu'un formulaire de contact, mais si la création de campagnes publicitaires, cela pourrait ressembler fortement à un AdWords. Et connaître le même succès ?

En tous cas, c'est ce qu'espère Twitter, qui repousse d'autant plus une éventuelle introduction en Bourse. Pour Dick Costolo, le nouveau PDG de Twitter, la nouvelle levée de fonds doit pousser le service « vers l'infini et l'au-delà. » Il n'est cependant pas exclu que cette ascension se solde par un rachat.
Après les PC, les Mac et les smartphones Android, le service mSpot vient de dévoiler la version iPhone de son application. mSpot permet donc désormais de lire sur iPhone la musique stockée sur son espace de stockage en ligne.

En clair, il suffit de télécharger le client de bureau - et de s'inscrire gratuitement au passage - pour disposer d'un espace de 2 Go de données en ligne. Le client permet d'uploader sa musique, et de l'écouter ensuite en streaming sur n'importe quel appareil disposant de l'application.

La musique est donc partagée entre les différents ordinateurs et appareils mobiles de l'utilisateur, avec une bibliothèque qui reste synchronisée en permanence. L'intérêt est évident : mSpot permet de se créer un équivalent de Deezer qui reste privé et toujours à jour. La musique peut ensuite être lue en streaming, par le biais d'une connexion WiFi ou 3G. Les pistes peuvent également être mises en cache pour éviter les désagréments liés à la perte de réseau.

Seul point noir, l'espace de stockage relativement limité. Cela s'explique par le modèle freemium choisi par mSpot : si vous souhaitez obtenir plus d'espace, il faudra souscrire à une option à 3,99 dollars par mois, qui donne accès à 40 Go de disque.
Il fallait suivre de près les débats à l'Assemblée nationale pour connaître l'issue du feuilleton portant sur la taxation de la publicité en ligne. Suite à de fortes critiques, le ministre du budget a expliqué lors des débats que la taxe serait reportée.Pour rappel, la taxe de 1 % sur l'achat de publicité en ligne également appelée taxe Marini ou taxe Google, vise les entreprises qui échappent à la fiscalité française. Les cas de Google, Apple, eBay et Amazon sont évoqués comme étant des exemples de firmes installés au Luxembourg ou en Irlande et qui profitent ainsi de la fiscalité avantageuse de ces Etats.

Lors d'une seconde réunion en commission mixte paritaire, François Baroin a déposé un amendement qui vise à : « l'application au 1er juillet de la taxe appelée Google afin de définir les modalités de l'instruction fiscale ». Conclusion, l'application de la taxe est reportée de six mois. Elle devrait donc entrer en application au 1er juillet 2011… Un délai supplémentaire que s'accorde le gouvernement afin de mieux consulter les professionnels du secteur. Quant au vote de l'amendement déposé par le ministre, il ne devrait être qu'une formalité.

L'impact de la mesure était pourtant estimé entre 10 et 20 millions d'euros annuels. Mais 67 chefs d'entreprises de la « Neteconomie » ont dénoncé la taxe. Ils considéraient qu'elle « fauchait les petits Français » au lieu « des géants américains ».Mise à jour: Cet amendement (n°13) proposé par François Baroin vient d'être adopté après vote. Le ministre souhaite d'ailleurs « faire évoluer les mentalités » sur le sujet.
le 15/12/2010 à 00:00
Fork ou pas fork
Depuis quelques mois l'open source a été au devant de l'actualité avec de nombreux rebondissements, de séparations, rapprochements, etc...

Trois secteurs ont été plus impactés par rapport aux autres. Il s'agit des bases de données, de la bureautique et des environnements linux.

Le magazine Programmez de décembre 2010 (disponible en librairie), consacre un dossier « enquête » et surtout dresse une situation autour de ces projets par rapport aux forks. Le dossier parle des sujets suivants :
- MySQL menacé par MariaDB et SkySQL
- Les challenges de Mandriva
- LibreOffice veut-il la mort d'OpenOffice ?

Bien sur, l'AFUL (Association Francophone des Utilisateurs de logiciels libres) rentre plus en détails dans la définition du FORK vous permettant de mieux appréhender ce sujet.

- So;;qire ;qgqwine Programmez 136
Comme prévu, l'Arcep a donné des orientations au sujet du déploiement de la fibre optique en dehors des zones considérées comme très denses. Deux décisions ont été adoptées afin de développer le très haut débit. D'un côté, il s'agit d'encourager le co-investissement entre opérateurs. De l'autre, l'objectif est d'octroyer plus rapidement des aides destinées au déploiement.La semaine dernière, l'Arcep avait salué l'accord de co-investissement sur la fibre entre Bouygues et SFR. Il s'agissait alors de « zones très denses » ou ensembles regroupant 146 communes ou communautés urbaines autour des grandes agglomérations françaises. Le régulateur expliquait alors vouloir également définir les règles pour le déploiement en dehors de ces zones très denses.

Dans un =26&cHash=32e1413d12]communiqué l'Arcep explique que : « L'Autorité poursuit activement ses travaux afin de préciser dans les meilleurs délais certaines modalités détaillées de mise en oeuvre des décisions précitées, en particulier les modalités de co-investissement ».

Outre le précédent Bouygues-SFR, cette mesure vise à réduire le poids de l'investissement financier supporté par les opérateurs mais nécessaire au déploiement de la fibre. Ainsi, le président de l'Arcep, Jean-Ludovic Silicani a estimé ce coût à 24 milliards d'euros. La charge pourrait être ainsi répartie sur une base de 50/50 entre privés et l'Etat.

La seconde mesure du régulateur des Télécoms vise à fixer les conditions d'éligibilité au Fonds d'aménagement numérique du territoire (Fant). Par ce biais, les opérateurs vont pouvoir bénéficier d'aides « pour la réalisation d'infrastructures et de réseaux permettant d'offrir du très haut débit ». L'architecture du déploiement se met en place...
Il sera bientôt aussi simple d'acheter de l'espace publicitaire sur Twitter que sur Google AdWords. C'est en tous cas ce qu'a tenté de faire comprendre Twitter en dévoilant une nouvelle version de sa page web dédiée aux annonceurs. Dans le futur, un simple formulaire devrait permettre d'acheter un compte promotionnel, des messages mis en avant, ou une place dans les tendances.

Disponible sur la nouvelle page Start Advertising, le formulaire permet de prévoir des campagnes publicitaires immédiates ou programmées dans le futur. Cinq catégories de prix sont proposées, de 10 000 dollars à 100 000 dollars mensuels.

Pour l'heure, la page dédiée ne sert que de formulaire de contact. Dans le futur, elle devrait devenir une solution de souscription en self-service aux outils publicitaires de Twitter. Mais Twitter ne semble pas vouloir aller trop vite non plus, de peur peut-être de faire un faux pas qui donnerait raison à ceux qui craignent la montée du spam sur son service de micro-blogging.

Le nouveau site dédié aux entreprises ne serait ainsi qu'un premier pas, avec une volonté clairement didactique. On retrouve par exemple des catégories aussi étonnantes que « Qu'est-ce que Twitter ? », des « Pratiques d'Excellence », ou un glossaire... Preuve peut-être que tous les services publicité du monde ne sont peut-être pas au courant de la révolution Twitter ou de la façon de s'en servir. En attendant, pour Twitter, c'est un nouveau pas vers un modèle publicitaire qui se fait attendre.
Ça ne vous aura pas échappé, Free a aujourd'hui annoncé la "Freebox Révolution", aussi appelée "Freebox v6". Plus encore que la "neufbox Evolution", le nouvel équipement de Free, constitué d'un nouveau "Freebox Server" et d'un nouveau "Freebox Player", met l'accent sur un positionnement haut de gamme, avec des fonctionnalités jusqu'à présent réservées à des dispositifs onéreux tels que le lecteur de Blu-ray Google TV de Sony.

Le "trublion de l'Internet" a pourtant choisi une approche similaire à celle de son concurrent. Plutôt que de vendre son équipement une bonne fois pour toute, le FAI a décidé d'augmenter le coût mensuel de l'abonnement. L'abonnement reste en fait à 29,99 euros/mois, auxquels s'ajoutent dorénavant 5,99 euros/mois d'"option de mise à disposition de la boucle locale dédiée", pour les abonnés en dégroupage total, vraisemblablement majoritaires.

En plus de ce coût supplémentaire de 71,88 euros/an, Free facture 119,90 euros "au titre des frais de migration engagés par Free". Ces frais sont dégressifs en fonction de l'ancienneté de l'abonnement, de 30 euros par an. Pour un Freenaute qui s'est abonné ou a remis à zéro son ancienneté (en déménageant, en migrant en dégroupage total et/ou sur un nouvel équipement) il y a moins d'un an, la "Freebox Révolution" coûte donc 191,78 euros sur un an, 263,66 euros sur deux ou encore 335,54 sur trois.Faut-il acheter la Freebox Révolution ?

L'abonné n'est toujours qu'emprunteur du matériel, dont Free reste le propriétaire. Il doit donc le rendre en cas de résiliation ou d'une (future) mise à niveau d'équipement. En cas "de non restitution ou de dégradation", il doit payer une indemnité forfaitaire, ce qu'on pourrait assimiler à un prix de rachat.

Le Freebox Server est ainsi facturé 200 euros, le Freebox Player 200 euros également, soit un coût total conséquent de 400 euros.

Le Freenaute peut donc préférer conserver son équipement actuel et acquérir pour un tarif équivalent un routeur Ethernet Gigabit et Wi-Fi N ainsi qu'un lecteur multimédia offrant les mêmes fonctions. Un dispositif Google TV pourrait par exemple faire l'affaire, si l'offre se développait en France.Combien coûte la "Freebox Révolution" ?

Free aurait-il pu commercialiser son équipement moins cher ?

Pour le savoir, nous avons calculé une approximation du coût de revient minimum du "Freebox Server" et du "Freebox Player". Les montants utilisés ici proviennent pour la plupart de "bills of materials" de dispositifs partageant certains composants présumés, et de sources chez les fabricants impliqués. Ils sont donc exprimés en dollars et ne valent que pour des achats en gros. Certains composants ne sont le cas échéant que des suppositions découlant des usages auxquels ces dispositifs se destinent (voir à titre indicatif un résumé des composants du Server et du Player).

Globalement, les composants cumulés des deux boîtiers représenteraient une facture au moins égale à 200 dollars. À cette somme s'ajoutent les coûts de production et les coûts de licences (en particulier autour du lecteur de Blu-ray du Player), sans oublier la redevance pour copie privée appliquée au disque dur. Enfin, il faudra prendre en compte les accessoires fournis : télécommande, manette de jeu et adaptateurs CPL, que Free référence dans sa brochure tarifaire aux prix respectifs de 20, 20 et 50 euros.

Il n'est par ailleurs pas impossible que la filiale d'Illiad ait passé sous silence certaines fonctionnalités, et donc les composants qui vont avec. Free pourrait tout particulièrement avoir intégré un module femtocell, destiné à augmenter à moindre frais la couverture de son futur réseau 3G.

Notons enfin que Free élabore lui-même ses équipements, contrairement à la plupart de ses concurrents, et qu'il doit aussi rentabiliser ses coûts de développement.

Mais ces tableaux se contentent de donner une idée du coût de revient. S'ils sont approximatifs, ils ont le mérite de mettre en exergue la stratégie du fournisseur d'accès. En fin de compte, Free ne dégage vraisemblablement qu'une marge négligeable sur la mise à disposition de son équipement haut de gamme. Avec la "Freebox Révolution", l'objectif du FAI aux 4,5 millions d'abonnés est double : attiser d'une part la convoitise pour recruter de nouveaux clients avec un équipement attractif, et augmenter d'autre part le revenu moyen par abonné (ARPU) en l'incitant à souscrire à de multiples services annexes, par l'intermédiaire d'une expérience utilisateur satisfaisante.N'hésitez pas également à consulter notre article complet sur le lancement de la Freebox V6 RévolutionMise à jour du 15/12/2010 à 16 h 30 :

De l'aveu même de Xavier Niel, la "Freebox Révolution" coûte "un peu plus de 300 euros". C'est ce qu'a affirmé le fondateur de Free dans un entretien accordé ce matin à la radio BFM, dans le cadre de l'émission Good Morning Business. "Au lancement la Freebox Révolution est un peu moins rentable que la version précédente," a précisé le dirigeant d'Iliad, avant d'ajouter : "Elle s'est lancée à un prix équivalent à la nouvelle, et puis avec le temps on fait des gains de production." La Freebox v5 coûte aujourd'hui 180 euros.Article initialement publié le 14/12/2010 à 18 h 28.
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