LA GLOBULE

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L'ancien de The Pirate Bay a tenu un chat avec d'autres spécialistes du web autour d'un nouveau projet. Baptisé P2P DNS, il vise à passer outre les contrôles de ceux qui gèrent les noms de domaines de manière centralisée comme l'Icann. Une manière de redonner la clé du Net aux internautes ?Selon ses statuts, l'Icann est une organisation à but non-lucratif dont la mission est « d'allouer l'espace des adresses de protocole Internet (IP), d'attribuer les identificateurs de protocole et de gérer le système de nom de domaine ». Une organisation trop « centralisée » à en croire Peter Sunde et les tenants d'une nouvelle organisation du DNS.

Concrètement, le DNS (Domain Name System) est utilisé pour faire communiquer une adresse IP et un nom de domaine. La proposition soutenue par Peter Sunde vise à changer la donne en mettant en place un nouveau serveur DNS racine alternatif. Pour ce qui est de la sécurité, la transmission devrait nécessiter une signature. Enfin, ce système DNS distribué devrait avoir pour socle la technologie P2P…

Un site a été crée pour l'occasion afin de recueillir les idées de chacun et de provoquer la discussion. Il explique : « le fond du projet est que nous voulons voir un Internet non-censuré. Avoir un système centralisé qui contrôle le flux d'informations n'est pas acceptable ». Le projet P2P DNS propose donc une forme de décentralisation des réseaux. Ces propositions sont également visibles sur un chat IRC (#dns-p2p sur EfNet).
Le gouvernement chinois vient d'annoncer qu'il comptait inspecter les ordinateurs de ses administrations publiques. L'objectif de la mesure est de repérer ceux qui utilisent des logiciels sans aucune licence officielle. Cette action coup de poing est le point d'orgue d'une campagne « anti-piratage » menée depuis plusieurs années.L'opération devrait durer jusqu'en octobre 2011. Cette annonce coïncide avec l'action menée par le géant Microsoft contre 10 firmes chinoises accusées de vendre des ordinateurs contenants les logiciels non-officiels déjà pré-installés.

Il faut dire que Microsoft a toujours estimé que la Chine est un pays dans lequel ses logiciels pirates sont les plus répandus. « Il s'agit là d'un problème central pour l'industrie du logiciel qui doit être résolu » explique Yu Weidong, le responsable de la propriété intellectuelle chez Microsoft Chine. La Business Software Alliance, estime que 79 % des logiciels utilisés dans le pays n'ont aucune licence officielle…

Ce mouvement initié par l'administration générale chinoise peut donc être interprété comme une réponse à la victoire juridique de Microsoft devant une cour de Shanghai en avril dernier. Un assureur avait enfreint la propriété intellectuelle de Microsoft avec des copies illégales de ses logiciels. De même, au mois d'août 2009, quatre personnes du site Tomato Garden avaient été condamnées pour avoir distribué des versions contrefaites de Windows XP.

Par cet acte, le gouvernement chinois tient donc à rappeler qu'il lutte activement contre la contrefaçon et le piratage de logiciels. Pour preuve, l'Empire du Milieu rappelle qu'entre 2007 et 2009 pas moins de 119 millions de dollars ont été dépensés dans la lutte pour le respect du droit d'auteur.
La société française Linutop lance aujourd'hui une nouvelle version de son ordinateur miniature. En troquant la plateforme à basse consommation de VIA pour celle d'Intel, le "Linutop 3" se modernise et se rapproche ainsi du nettop grand public… Sur le plan matériel.

Associé à une nouvelle version du système d'exploitation, "Linutop 4.0", il assoit effectivement sa vocation de poste de travail en milieu professionnel ou industriel, en banque, ou encore de kiosque d'accès à Internet pour lieu public (hôtel, restaurant, école et université, etc.).Un nettop courant

Le nouveau "Linutop 3" abrite effectivement un Atom N270, une puce graphique GMA 950, 2 Go de mémoire vive DDR2 et autant d'espace de stockage sur mémoire flash. Il adopte donc sans aucune explication la plateforme "Shelton" d'ancienne génération, et non la moderne "Pine Trail", pourtant moins gourmande en énergie. Il est désormais dépourvu de tout ventilateur et restera donc parfaitement silencieux.

La connectique reste quant à elle strictement identique. On retrouve donc un port Ethernet Gigabit, adapté à sa vocation de client léger, des sorties vidéo DVI et VGA, des entrées et sorties audio analogiques, six ports USB 2.0 et un port série, pour les applications industrielles. En interne, un emplacement PCI Express, deux connecteurs Serial ATA et autant d'emplacements 2,5 pouces permettent d'en étendre les capacités.Un système d'exploitation multi-spécialités

Le système d'exploitation "Linutop 4.0" repose sur Ubuntu 10.04 "Lucid Lynx", la dernière version LTS (long term support) en date. Au premier démarrage, le "Linutop Setup Menu" permet une configuration simple et rapide du système.

Il permet tout particulièrement de paramétrer :l'application à lancer au démarrage, telle qu'un kiosque Internet ou une présentation à afficher en boucle (document Impress, vidéo dans VLC media player, animation Flash, page Internet)
le niveau de sécurité, d'un mode persistant à un mode en lecture seule
une sauvegarde ou une restauration sur une clé USB, en vue d'une réplication sur plusieurs ordinateurs


Le "Web Kiosk Linutop" bénéficie enfin d'un panneau de paramétrage dédié, duquel on peut notamment paramétrer une liste noire ou une liste blanche de sites Internet.

Le "Linutop 3" en configuration Atom est commercialisé dès à présent, il reste au même prix de 340 euros HT (407 euros TTC) que son prédécesseur. Si son tarif relativement élevé pouvait jusqu'à présent se justifier par une approche inédite, le Linutop 3 s'inscrit désormais sur le marché concurrentiel du nettop sur lequel il semble quelque peu surévalué. D'autant que le système d'exploitation est vendu nu 79 euros et qu'il peut fonctionner sur n'importe quel ordinateur.
Chris Hughes, co-fondateur du géant communautaire Facebook, a dévoilé hier un nouveau réseau social baptisé Jumo. Plutôt que de se positionner face aux autres services de la Toile, Jumo a pour ambition de sensibiliser les internautes aux oeuvres caritatives.

En répertoriant quelque 3500 organisations, les philanthropiques peuvent alors spécifier leurs intérêts et les causes pour lesquelles ils souhaitent s'investir. En revanche, plutôt que de faire appel à des dons ponctuels, par exemple au lendemain d'une catastrophe naturelle, Chris Hughes souhaite mettre en place des outils permettant de favoriser les échanges avec un flux d'information continue ; cela permet donc de fidéliser les internautes . "Notre vraie mission est d'aider autant que possible les internautes à rechercher ces organisations pour les connecter de manière permanente », explique-t-il. Pour l'utilisateur, Jumo apportera donc davantage de transparence et il sera en mesure de savoir plus précisément à quoi serviront les dons effectués. Pour les organisations, il s'agit également d'une opportunité pour recruter plusieurs bénévoles pour différentes missions humanitaires à travers le monde.

Notez que l'utilisation de Jumo nécessite d'authentifier son compte Facebook afin de retrouver facilement des contacts. Après avoir sélectionné le type d'oeuvres caritatives auxquelles il est le plus sensible, l'internaute accédera à sa page d'accueil comportant les mises à jours des différentes organisations ainsi que de ses contacts. L'influence de Facebook ne s'arrête pas là puisque chaque association possède sa propre page agrémentée du fameux bouton Like. Chris Hughes conclut : "Tout a été mis en oeuvre pour répondre à la question : qu'est-ce (insérer votre nom) prend à coeur ? ».
Initialement prévue pour cet été, la librairie numérique de Google baptisée Google Editions pourrait finalement être lancée aux USA d'ici à fin décembre. Une information dévoilée par le Wall Street Journal, qui rapporte des propos tenus par Scott Dougall, le directeur de la gestion des produits de la firme de Moutain View.

"En raison de la complexité de ce projet, nous ne voulions pas sortir quelque chose qui n'avait pas été approfondi" a expliqué ce dernier pour justifier le retard pris par ce nouveau service. Il faut dire que l'ambition dudit projet est conséquente, puisque Google compte bouleverser la tendance en proposant un service accessible depuis n'importe quel terminal connecté à Internet, en passant par Google ou d'autres vendeurs partenaires permettant de lier les e-book a achetés au compte Google de l'utilisateur. Ce dernier pourra ensuite accéder à ses livres électroniques depuis un navigateur Web sur un ordinateur, un téléphone ou une tablette : en ne se liant pas à un dispositif spécifique, Google Editions ouvre le champ de ses perspectives, ce qui peut s'avérer être un intéressant avantage.

Un modèle bien différent de celui proposé par la concurrence, comme Amazon et son Kindle, au fonctionnement propriétaire. Le site d'e-commerce de Jeff Bezos aurait, selon le WLS, la main sur 65% du marché actuel, et se placerait donc ainsi comme le principal concurrent de Google Editions.

Même si l'arrivée d'un nouveau service axé autour du livre numérique chez Google semble se préciser fortement, de nombreux mystères subsistent à l'heure actuelle concernant son fonctionnement, les partenariats effectués et son modèle économique. Selon l'association des libraires américains, plus de 200 libraires indépendants pourrait collaborer avec Google Editions à son lancement, mais rien n'est confirmé à l'heure actuelle. Les petits acteurs du marché semblent néanmoins enthousiastes vis-à-vis de l'arrivée de la plateforme : "Google va transformer chaque page Internet qui parle d'un livre en un endroit où vous pouvez acheter ce livre" commente ainsi un libraire indépendant de Naperville, dans l'Illinois.

Scott Dougall a également indiqué que le service devrait arriver à l'étranger durant "le premier trimestre de l'année prochaine", sans néanmoins préciser quels pays seraient concernés. A l'heure où un grand nombre de librairies en ligne sortent leurs propres liseuses numériques, Google pourrait bien, une fois encore, changer la donne dans un domaine où la concurrence est déjà rude.
Dans une interview accordée au site Computerworld, Tom Rizzo, le directeur Online Services de Microsoft, revient sur la rivalité entre Microsoft et Google dans le monde de l'entreprise. Et pour lui, le constat est clair : Google est en situation d'échec dans l'entreprise.

Et le principal problème de Google serait la question de la confidentialité des informations. Avec une logique apparemment implacable : « Les gens comme Google, du moment qu'ils essaient de vous vendre des pubs, doivent scanner vos données et les conserver. Nous ne scannons pas vos données, nous ne les gardons pas. Si vous faites une comparaison, nous comprenons le business. »

Ainsi, pour Tom Rizzo - dont l'interview, selon Computerworld, a été relue avant publication, ce qui garantit l'autorisation de Microsoft a priori, « Google ne comprend pas les affaires commerciales. » Pour lui, en se spécialisant d'abord dans la délivrance de services aux consommateurs finaux, Google s'est habitué à une certaine flexibilité sur les données privées.

Il resterait donc une vingtaine d'années d'expérience à acquérir pour que Google acquiert les mêmes connaissances que Microsoft. Rappelant que selon Gartner, Google n'a que 1% du marché de l'email d'entreprise après quatre ans, Tom Rizzo n'hésite ainsi pas à conclure : « Google est en échec. Les résultats n'ont pas montré qu'ils réussissaient. Nous avons des clients qui sont partis chez Google, et qui sont finalement revenus chez Microsoft. »

Mais Google n'a probablement pas dit son dernier mot. Il avait d'ailleurs lui-même attaqué Microsoft sur sa nouvelle stratégie cloud récemment. Inatteignable, selon Mountain View, qui estimait alors que Microsoft était bien trop en retard pour espérer le rattraper.
L'éditeur de logiciels Red Hat vient d'annoncer l'acquisition de Makara, un spécialiste des technologies de Platform-as-a-Service (PaaS). Le portefeuille de Makara permet notamment aux entreprises de gérer et déployer des applications dans le cloud.

Red Hat souhaite ainsi développer sa propre solution de PaaS, au sein de son portefeuille Cloud Foundations. « Clouds Foundations permet aux clients et aux développeurs d'avoir un accès facile au cloud. Avec l'ajout de Makara, nous visions à simplifier encore plus le déploiement et la gestion d'applications, » explique Paul Cormier, le président Produits et Technologies de Red Hat. « Nous accueillons l'équipe Makara et cherchons à accélérer le déploiement de nos solutions PaaS sur le marché. »

Lancé en juin 2010, Cloud Foundations est construit autour du middleware JBoss Enterprise Middleware. Red Hat espère en faire la solution préférée des fournisseurs de services pour le déploiement et la gestion de leurs applications dans les clouds, qu'ils soient privés ou publics. En intégrant JBoss Enterprise Middleware et la Cloud Application Platform de Makara, Red Hat souhaite rendre transparente et simple la migration d'un type de cloud à l'autre.

Red Hat n'a pas communiqué le montant déboursé pour l'acquisition de Makara.
Après des mois de développement, Microsoft annonçait la semaine dernière supprimer une fonctionnalité majeure de la prochaine version de son système d'exploitation à destination des serveurs domestiques, le bien nommé Windows Home Server, nom de code "Vail" (voir Fin du Drive Extender pour Windows Home Server). Les motifs invoqués par Microsoft ont provoqué la colère des utilisateurs et de la communauté d'utilisateurs alors que la décision a été critiqué par l'ensemble de la presse. Il faut dire que Microsoft nous a fait un numéro de mauvaise foi qu'on avait pas vu depuis Windows Vista. Car si la technologie Drive Extender est retirée ce n'est pas à cause des disques durs de 2 To mais bien à cause de bugs non résolus à ce jour et d'une volonté de Microsoft d'aligner le code entre ses déclinaisons du système d'exploitation qui pour la première fois sera proposé aux entreprises.

Hier, on apprenait que Microsoft Press, la maison d'édition de Microsoft annulait un de ses ouvrages prévu pour la prochaine version de Windows Home Server (voir Windows Home Server: si même Microsoft Press n'y croit plus !). Preuve s'il en est que même chez Microsoft on ne croit guère à l'avenir de Windows Home Server sur le marché grand public !

Mais les déconvenues ne s'arrêtent pas là ! HP, partenaire de la première heure de Microsoft sur Windows Home Server annonce son retrait pur et simple du marché des solutions Windows Home Server. La compagnie aurait invoquée ses développements autour de WebOS et insiste sur le fait que la récente décision de Microsoft de retirer Drive Extender de Windows Home Server n'a bien sûr rien à voir avec sa décision. Naturellement la réalité est vraisemblablement toute autre. Quoi qu'il en soit HP va continuer d'écouler les stocks de ses serveurs MediaSmart mais ne développera plus aucun produit autour de Windows Home Server. Et ce alors même que les ingénieurs de HP ont travaillé toute l'année autour de "Vail". Reste donc à savoir maintenant ce que feront Acer et Asus notamment qui risquent fort de se retrouver seuls sur ce marché... Visiblement, l'annonce de cette défection est suffisament importante pour faire réagir Microsoft qui se fend d'un nouveau billet sur son blog dédié à Windows Home Server.
Le site 'admixweb' propose une petite trousse à outils MySQL pour améliorer vos développements.

L'article explique que si vous travaillez énormément avec une base de données en utilisant l'interface PHPmyAdmin, vous perdez du temps à cause des temps de rafraichissement des pages et par conséquent de la productivité.

Mais il existe des outils bureautiques gratuits pour vous permettre de manipuler la base de données, qui sont :
- MySQL Workbench
- Spotlight
- Toad for MySQL
- wwwsqldesigner
- MyDB Studio
- HeidiSQL

- Free MySQL Tools to Improve your Productivity
le 01/12/2010 à 00:00
Plugins WordPress
Wordpress est une application en PHP,  énormément utilisée pour les blogs. Cependant les bonnes pratiques ne sont toujours pas utilisées et peut poser certains problèmes.

Pour éviter d'avoir de mauvaises surprises, le site Wpzine a publié une liste de plugins à installer pour résoudre les principaux problèmes (entre autre de sécurité), comme :
- Sécuriser la connexion
- Scanner votre site
- Antivirus pour Wordpress
- Backup
- Limiter certains accès
- Ajouter des logs
- Limitation de connexion

- WordPress Security Plugins
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