LA GLOBULE

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Dans l'optique de renforcer le contrôle des vidéos qu'il diffuse, Youtube encourage désormais ses utilisateurs à signaler les contenus faisant la "promotion du terrorisme" en rajoutant une nouvelle option a sa fonction de signalement de vidéos offensantes.

Critiqué depuis longtemps par les législateurs pour son refus fréquent de supprimer des contenus jugés injurieux par certains pays, Youtube fait une nouvelle fois le choix de laisser les utilisateurs décider du caractère offensant ou non des vidéos, et se réserve le droit de les supprimer en cas de signalement massif. Une démarche réalisée au nom de la liberté d'expression.

La question des vidéos prônant le terrorisme sur Youtube fait particulièrement débat depuis quelques semaines : en novembre, le site avait été contraint de supprimer de ses serveurs les vidéos mettant en scène l'imam Anwar al-Awlaki, dont les sermons, en anglais, appellent au djihâd. Des centaines de vidéos ont été supprimées, mais certaines seraient néanmoins toujours disponibles sur le service, dissimulées sous de faux noms et appellations.

Cette nouvelle fonction d'alerte devrait donc permettre à Youtube de conserver ses principes en y voyant plus clair dans le flux continuel de vidéos qu'il accueille : 35 heures de contenu sont uploadées chaque minute sur le site, une performance qui rend difficile, voire même impossible, un contrôle automatique de chaque fichier.
La commission mixte paritaire, chargée lundi d'harmoniser les vues de l'Assemblée nationale et du Sénat autour du budget 2011 de l'Etat, a entériné le principe d'une taxe de 1% portant sur les investissements publicitaires en ligne. Issue de la mission Zelnik, cette proposition défendue par le rapporteur de la commission des Finances du Sénat, Philippe Marini (UMP), vise à compenser la domiciliation fiscale à l'étranger de certaines sociétés spécialisées dans la publicité en ligne, en taxant à la source les sommes qui leur sont confiées.

Parfois surnommée "taxe Google", elle devrait selon son instigateur permettre de faire rentrer de 10 à 20 millions d'euros dans les caisses de l'Etat français. La mesure doit entrer en vigueur le 1er janvier prochain. Lundi, une soixantaine d'entrepreneurs du Net signaient dans les colonnes du quotidien La Tribune un appel dénonçant les effets pervers de cette mesure, dont ils estiment qu'elle entraînera une perte de compétitivité des acteurs français du Web et une incitation à la délocalisation.

« Nous deviendrions le seul pays au monde à envisager de telles taxations et la compétitivité française, ces taxes ne pouvant s'appliquer qu'aux seuls acteurs établis sur notre territoire, s'en trouverait à terme fortement menacée », faisaient valoir courant novembre les professionnels français de la publicité en ligne.

Désormais validé par la CMP, le budget 2011 fera l'objet d'un nouveau vote solennel devant les deux chambres qui composent le Parlement mercredi, avant d'être définitivement adopté. Lundi, cette commission composée de sept sénateurs et de sept députés s'est également prononcée en faveur de l'arrêt total de la publicité sur le réseau France Télévisions au 1er janvier 2016.
La presse s'est déplacée en masse mardi matin à l'occasion de l'événement organisé par le groupe Iliad pour découvrir un Xavier NIel décontracté, en jeans et bras de chemise, venu annoncer le boiter qui selon lui, contribuera à révolutionner les usages numériques : la très attendue Freebox v6.

Après avoir rappelé, non sans railler, le rôle d'innovateur qu'avait joué Iliad dans le domaine des télécoms domestiques, Xavier Niel ouvre le bal des annonces en invitant sur scène le fameux designer Philippe Starck, qui s'est chargé de réaliser l'enveloppe extérieure de la Freebox v6.

Deux boitiers sont toujours proposés : d'un côté, la partie réseau, englobant modem et routage domestique. La v6 sera compatible fibre et DSL, avec la possibilité de passer automatiquement de l'un à l'autre. Côté routeur, quatre ports Ethernet Gigabit seront de la partie. Un contrôleur WiFi 802.11n est également de la partie. La téléphonie DECT reste logiquement intégrée. En façade, un petit afficheur doublé d'une interface de navigation tactile permettent d'accéder aux réglages généraux. Le boitier réseau dispose également de petites enceintes permettant d'écouter la radio, ou de la musique.

Alors que le stockage est traditionnellement proposé dans le boitier qui prend place sous la TV, Free a pris le parti de l'intégrer dans le boitier modem. Ici, 250 Go, avec des fonctionnalités de type NAS et donc, un partage réseau des contenus qui y sont sauvegardés. Un client de téléchargement, compatible avec le progressive download, ainsi qu'un contrôle parental de l'accès à Internet sont intégrés au micrologiciel de la box.

Côté télévision, Xavier NIel annonce l'intégration d'un processeur x86, fourni par Intel, ce qui signifie que le boitier destiné au salon est en théorie capable de faire fonctionner des applications issues des univers PC ou Mac. Iliad embrasse donc le concept de smart TV développé par Intel avec ses processeurs Atom dédié à l'univers de l'électronique grand public. En l'occurrence, il s'agira ici d'un Atom 4100, cadencé à 1,2 GHz : pas un unique processeur x86 donc, mais une puce tout en un de type SoC, munie notamment d'un contrôleur graphique. « Notre équipement est quatre fois plus puissant que le dernier boitier sorti sur le marché », clame fièrement Xavier Niel.

Ce boitier sera piloté par une télécommande conçue en interne, faisant appel à une liaison radio. Sa principale caractéristique, issue de l'univers mobile, c'est l'intégration d'un gyroscope et d'accéléromètres devant favoriser la naissance de nouvelles interactions.Des menus simples, et pas de 3D "inutile" dans l'interface

Du côté de l'interface, Niel indique avoir voulu faire simple et fonctionnel, sans la "3D inutile qui alourdit tout" (une pique qui parait directement adressée à SFR, dont la dernière Neufbox Evolution propose un carrousel en relief. Le guide électronique des programmes offrira de nouvelles possibilités en termes de recherche, en allant par exemple interroger des bases de données en ligne pour trouver le nom des acteurs dans un film. La box pourra également être pilotée depuis des applications tierces utilisées sur un smartphone ou une tablette, comme sur l'actuelle.

Un navigateur Web, complet, est également intégré. La navigation passe alors par un petit clavier virtuel. Clavier et souris pourront toutefois être utilisés facilement, promet Niel.

"On souhaite que sous la TV, vous n'ayez plus qu'une Freebox", embraie le patron d'Iliad. Restait donc à intégrer à la box un lecteur optique. Ici, un lecteur Blu-ray, comme le laissaient entendre certaines rumeurs. Il permettra donc de lire les disques commerciaux, mais aussi et de façon plus large les formats vidéo ou audio les plus courants.Jeux et applications

Ici, Iliad n'y va pas par quatre chemins : l'idée aurait tout simplement été de reproduire la simplicité - et l'efficacité - du modèle App Store développé par Apple sur la box. Le Store d'applications de la Freebox va donc considérablement s'enrichir, avec une offre de logiciels gratuits ou payants, dont des titres tels que le jeu Asphalt 5 de Gameloft. Pour jouer, on n'aura donc qu'à connecter une manette à sa box et l'on profitera bien sûr de possibilités multijoueurs. Gameloft s'engage à fournir cinq titres sur le Store Freebox dès le lancement de la v6, dont son fameux FPS NOVA. Les développeurs auront quant à eux accès à un SDK dédié. Pour l'instant, le modèle économique, et notamment la part prélevée par Free sur les ventes d'application, n'ont pas été précisés.

Une manette de jeu sera d'ailleurs fournie avec la box, tout comme une paire de boitiers Freeplugs (courant porteur en ligne), pré-associés à la box pour que le paramétrage soit trivial.Services et offres

Longtemps critiqué pour son service après vente, Iliad prend l'engagement de faire intervenir un technicien chez l'abonné en cas de problème en moins de 10 heures. Une promesse alléchante, qu'il convient de financer.

L'offre Freebox de base reste à 29,99 euros par mois. Une mauvaise surprise toutefois : il conviendra maintenant de payer 5,99 euros par mois pour bénéficier du dégroupage total ! Notons que les tarifs sont susceptibles d'évoluer dès que la modification de la TVA associée aux offres triple play aura été avalisée. En revanche, Iliad reste bien sur une formule à prix unique. La Freebox v6 est dès à présent disponible en précommande, les livraions devant débuter à partir du mois de janvier.Appels vers les mobiles intégrés

En attendant 2012 et le lancement de son offre mobile, Iliad annonce l'intégration des appels vers les lignes mobiles dans sa formule à 29,99 euros par mois. Un one more thing qui suscite un certain enthousiasme dans la salle. Pas mécontent de son effet, Xavier Niel invite l'assistance à contacter son opérateur mobile pour réduire son forfait et profiter, à la place, de la Freebox pour passer ses appels.

Pour les abonnés existants, Free indique que la migration sera facturée 90 euros (montant répliqué sur la prochaine facture de l'abonné), auxquels s'ajoutent 29,99 euros supplémentaires et incompressibles. Un tarif dégressif sera toutefois appliqué, tenant compte de l'ancienneté, avec une réduction de 30 euros par tranche de douze mois acquise. S'il a moins d'un an d'ancienneté, le freenaute sera donc facturé 120 euros. Le tarif passe à 90 euros avec un an d'ancienneté, puis 60 avec deux ans.Formulaire de migration, ici pour un abonnement actif depuis 22 mois

La modification des contrats qu'entrainera la réplication de la hausse de la TVA sur les forfaits triple play ne permettra d'ailleurs pas aux abonnés actuels de profiter d'un renouvellement sans frais. Certains imaginaient en effet déjà résilier sans frais suite au changement de contrat pour se réabonner et obtenir la Freebox v6, mais les conditions tarifaires de Free soulignent qu'il n'en ira pas ainsi : la réouverture d'une ligne dans les six mois suivant sa résiliation est facturée 100 euros. A lire aussi : Freebox Révolution : est-ce que ça vaut le coût pour Free ? (màj), La Freebox v6 face à la concurrence
Le site AT Internet a dévoilé hier son baromètre des moteurs de recherche du mois de novembre dernier, par l'intermédiaire d'un graphique qui ne laisse aucun doute quant à la suprématie de Google, non seulement en France mais également en Espagne, au Royaume-Uni et en Allemagne. Si les parts de visites Web du moteur de la firme de Moutain View accusent une infime baisse dans l'hexagone, sa cote ne cesse globalement de monter.

France, les parts de Google chutent de 0,2% par rapport à octobre 2010, passant de 91,6 à 91,4%. Un "score" qui laisse la concurrence loin, très loin, puisqu'en seconde position arrive Bing avec 2,7% de part de marché, puis Yahoo avec 1,7%. En Allemagne et en Grande-Bretagne, Google culmine respectivement à 92,2 et 90,5%. Le pourcentage le plus élevé revient à l'Espagne où les parts de visites de Google atteignent 93,1%.

La domination du géant américain a de quoi laisser songeur, mais elle ne fait clairement pas rêver la concurrence qui, rappelons-le, a récemment déposé plainte auprès de la Commission européenne, motivant cette dernière à ouvrir une enquête à l'encontre de Google pour "abus de position dominante". Cette dernière permettra probablement de savoir si la puissance de Google est due uniquement à sa grande efficacité, ou a des pratiques moins reluisantes… En attendant, il semble bien difficile de le faire chuter de son piédestal.
L'ancien employé de Google Paul Buchneit ne parierait pas sur l'avenir de Chrome OS. Peu médiatisé, il fut cependant chargé du développement du service Gmail. Il fut également à l'origine du modèle Google Adsense et du slogan de la société « Don't be Evil ». En 2007, il lança sa propre startup baptisée FriendFeed, laquelle fut rachetée par Facebook en 2009.

"Prédiction : Chrome OS sera tué l'année prochaine (ou combiné avec Android)", tel sont les mots que cet ingénieur a publié il y a quelques heures sur l'un de ses profils. Face aux réactions des internautes, il ajoute : "Chrome OS ne fait rien de mieux que ce qu'Android pourrait accomplir (avec quelques modifications pour que ce dernier prenne en charge les écrans non tactiles) ».

Il faut dire que la stratégie suivie par Google n'est pas très claire. Officieusement Chrome OS serait réservé aux netbooks et Android aux tablettes, cependant les fabricants ne seraient pas du même avis et jonglent avec ces deux systèmes. Certains, comme le français Archos et l'américain Motorola ont dévoilé leurs tablettes sous Android. D'autres, tels que Toshiba et Acer, ont modifié ce même système pour le déployer sur un netbook.
Dans un communiqué, l'Autorité de la concurrence estime que « Google est en position dominante sur le marché de la publicité liée aux moteurs de recherche ». Entre les lignes, elle explique que la firme ne respecterait pas totalement le droit français puisque « le droit de la concurrence peut mettre des bornes aux agissements de Google ». Nul besoin d'une régulation globale du secteur…Suite à la demande formulée par le ministère de l'Economie, des Finances et de l'Emploi, l'autorité rend donc son avis. Elle affirme que certains acteurs s'estiment victimes de comportements déloyaux voire illicites de la part du moteur de recherche. Google est donc sommé de s'expliquer sur des « pratiques de fermeture du marché, des agissements arbitraires et opaques… »

De même, l'Autorité de la Concurrence considère que Google est en position dominante sur le marché de la publicité liée aux moteurs de recherche vu « qu'il n'existe pas d'offre alternative équivalente aux yeux des annonceurs ». Elle met alors en avant de nombreux éléments pour démontrer que Google détient bien une position dominante : part de marché, niveau de prix, nature des relations avec les clients, niveau de marge…

Il est donc rappelé que cette position dominante n'est pas condamnable mais qu'un tel exercice abusif pourrait être sanctionné… L'Autorité explique d'ailleurs que « ces investigations méritent d'être poursuivies ». Elle évoque alors, comme exemple de la marche à suivre, le cas Navx dans lequel l'organisme avait ordonné à Google de mettre en oeuvre une série de mesures conservatoires.

Pour rappel, fin novembre dernier, la Commission européenne avait annoncé l'ouverture d'une enquête sur les pratiques de Google dans la recherche en ligne après des dépôts de plaintes des éditeurs concurrents. L'Europe va donc devoir déterminer si Google a favorisé ses propres services sur les résultats naturels ainsi que sur la mise en avant payante via son programme Adwords.
le 14/12/2010 à 00:00
Tester vos fichier uploads
Lorsque vous souhaitez réaliser un formulaire d'upload en PHP, différentes manières existent. Cependant une question peut se poser si le fichier uploader, est bien disponible sur le serveur.

Pour effectuer la vérification, vous pouvez accéder manuellement sur le serveur. Mais ce n'est pas vraiment une bonne manière car ce test de contrôle peut-être effectuer par l'intermédiaire des tests unitaires.

Le site Qafoo montre les différentes étapes à mettre en place pour effectuer le test avec des scripts exemples en PHP.

- Testing file uploads with PHP
le 13/12/2010 à 00:00
Twitter fait aussi son Zeitgeist
A l'image de Google et de sa revue des recherches les plus « tendances » de l'année, le service de micro-blogging Twitter a fait son classement. Un site dédié consacre non seulement les personnes connues mais aussi les actualités les plus suivies ou encore les sujets technologiques les plus abordés.Si en matière de People c'est Justin Bieber qui trône loin devant Julian Assange (4ème de la rubrique), les tendances globales suivent plutôt l'actualité de cette année. Parmi les 25 milliards de messages envoyés avec seulement 140 caractères, le sujet le plus récurrent fut donc la marée noire dans le golfe du Mexique suivie de près par la Coupe du Monde de football puis le film Inception. Enfin suivent les sujets évoquant le tremblement de terre en Haïti et la Vuvuzela. L'iPad d'Apple arrive en 6ème position, talonné par… Google Android.

Sur les sujets technologiques, Twitter a également réalisé un classement des sujets les plus tweetés. L'iPad arrive donc en tête devant l'Android de Google et Apple iOS. L'iPhone se positionne en quatrième position confirmant ainsi la suprématie de la firme à la pomme dans les discussions sur Twitter.

Le classement ne s'arrête pas là puisqu'en 5ème position on retrouve le jeu Call of Duty Black Ops suivi par « New Twitter », HTC, RockMelt, MacBook Air et Google Instant. Par contre aucun classement ne figure sur les tweets sponsorisés ou « Promoted Tweets », censés faire venir des revenus publicitaires dans les poches du petit oiseau.
Faire un copier-coller, faire un blog, consulter ses emails depuis son mobile, optimiser la sécurité de son mot de passe… Autant d'activités dont la pratique est tellement évidente pour le geek de base que l'expliquer simplement à ses parents, parfois récalcitrants, tient du sacerdoce. Heureusement, Google est là pour prêcher la bonne parole, et accessoirement promouvoir ses produits, de Gmail à Android, en passant par Blogger.

La firme de Moutain View est, en effet, en train de lancer Tech parent tech, un service destiné comme son nom l'indique aux parents désireux de s'éduquer en matière de nouvelles technologies. Google prend visiblement comme prétexte les fêtes de fin d'année, et le retour du nerd prodigue dans le cocon familial, lieu où il se fera bien entendu harceler de questions concernant l'ordinateur et ses mystères, une situation qui rappellera sans doute des souvenirs à certains lecteurs…

Si le site en lui-même est à l'heure actuelle toujours en construction, une page Youtube révèle depuis ce week-end 54 vidéos didactiques de moins d'une minute, mettant en scène des employés de Google expliquant le fonctionnement des services de la firme, ou encore des fonctions pratiques comme le transfert de fichiers sur une clé USB, ou le changement d'un fond d'écran sur Mac ou PC. A l'heure actuelle, ces vidéos ne sont proposées qu'en anglais, mais on imagine que des sous-titres seront proposés une fois le site lancé officiellement. Il ne restera plus alors qu'a montrer aux parents comment utiliser Youtube…
L'allemand Xing a annoncé le 9 décembre dernier l'acquisition prochaine de son compatriote Amiando, spécialisé dans la gestion d'évènements en ligne. La transaction, qui sera effective au 1er janvier prochain, porte sur un montant initial de 5,1 millions d'euros, auxquels pourront s'ajouter jusqu'à 5,25 millions supplémentaires d'ici 2013, en fonction de la réalisation de certains objectifs.

Amiando, décliné en français, propose notamment aux organisateurs d'évènements de gérer leur billetterie de façon centralisée, quelles qu'en soient les modalités d'accès. Très populaire dans le milieu des nouvelles technologies, le service d'Amiando a par exemple été utilisé pour la conférence LeWeb qui se tenait à Paris les 8 et 9 décembre dernier. Proposé en mode Saas (software as a service), il permet de gérer l'inscription, l'émission d'un billet et la facturation.

Dans un communiqué (anglais), Xing indique que l'acquisition d'Amiando lui permettra de couvrir l'intégralité de la chaîne de valeur de la gestion d'évènements en ligne. Basé à Munic, Amiando emploie aujourd'hui quelque 35 salariés.
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