Depuis la semaine dernière, sur le forum adsl-bc.org, un hacker du nom de Vendetta menace ouvertement le fournisseur d'accès à Internet belge Belgacom. Plus précisément, ce dernier demande au fournisseur de lever les quotas de téléchargement avant le 30 novembre prochain sans quoi il publiera les informations confidentielles de 285 000 abonnés. En effet, si la France dispose d'offre illimitées, Belgacom continue pour sa part d'imposer des limites de 1 Go pour la souscription Internet Budget à 60 Go pour l'offre Internet Plus.Vendetta aurait en effet réussi à pirater la base de données du fournisseur et, en guise d'avertissement, publié 30 identifiants et leurs mots de passe associés. Il explique qu'il existe une faille dans le boitier multimédia BBOX2 permettant d'obtenir n'importe quelle information depuis le routeur. Il précise : "je publierai le hack si les quotas ne sont pas abolis d'ici le 30 novembre 2009". Une semaine plus tard, le hacker refait surface sous le nom xVendettax et publie cette fois 500 identifiants en ajoutant : "ce n'est pas pour blesser les utilisateurs. Nous faisons ça pour eux ».
Interrogé par RTL, Haroun Fenaux, porte-parole du FAI, déclare que les clients dont les comptes ont été piratés ont reçu un nouveau mot de passe : "Ces quotas de téléchargement sont étudiés pour pouvoir correspondre à 99% des demandes des clients", explique-t-il en ajoutant : "il y a moins de 1% des clients qui demandent des quotas supplémentaires". En tout cas la société prend cette affaire au sérieux puisqu'une plainte a été déposée auprès de l'unité informatique de la police fédérale. De son côté le fournisseur d'accès à Internet aurait mobilisé une quinzaine de personnes pour résoudre les failles de sécurité.
Interrogé par RTL, Haroun Fenaux, porte-parole du FAI, déclare que les clients dont les comptes ont été piratés ont reçu un nouveau mot de passe : "Ces quotas de téléchargement sont étudiés pour pouvoir correspondre à 99% des demandes des clients", explique-t-il en ajoutant : "il y a moins de 1% des clients qui demandent des quotas supplémentaires". En tout cas la société prend cette affaire au sérieux puisqu'une plainte a été déposée auprès de l'unité informatique de la police fédérale. De son côté le fournisseur d'accès à Internet aurait mobilisé une quinzaine de personnes pour résoudre les failles de sécurité.
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