Annoncé pour la fin juillet, l'appel à candidatures permettant de déposer un dossier pour acquérir la 4ème licence 3G vient finalement d'être lancé.
Bercy a publié ce matin au "Journal officiel" le décret fixant les modalités financières nécessaires pour s'en porter acquéreur. Et comme le conseillait la Commission des participations et des transferts (CPT), son prix est sans surprise de 240 millions d'euros. Sur les 3 blocs de fréquence de 5 Mhz, dont l'un est donc réservé à un nouvel entrant, seul ce dernier est aujourd'hui mis en vente.
Pour rappel, Orange, Bouygues Telecom et SFR ont consacré un budget unitaire de 619 millions d'euros pour acquérir leur propre licence 3G au début des années 2000. L'arrivée d'un nouvel entrant dans le monde des opérateurs mobiles ne semble donc pas du goût de France Telecom qui a déjà annoncé sa volonté de saisir la Commission européenne pour contester son prix de vente, jugé trop peu élevé. Pourtant, si les 3 opérateurs historiques possèdent une licence 3G "complète" via un bloc de fréquence 15 Mhz, il semblait naturel de proposer une licence "lite" de 5 Mhz à un prix divisé par trois.
Les sociétés intéressées par cette nouvelle licence mobile ont jusqu'au 29 octobre à midi pour déposer leur dossier de candidature. La licence sera quant à elle attribuée huit mois plus tard. Iliad - maison mère de Free -, Kertel, Virgin Mobile, Orascom, Hutchinson, Numericable ou encore Bolloré semblent "suivre de près" le dossier de la 4ème licence mobile.
Le 4ème opérateur mobile devrait, en plus du prix de la licence, investir près d'un milliard d'euros pour créer un réseau de téléphonie mobile. Ses premières offres commerciales ne sont pas attendues avant 2011. Pour son appel à candidatures, l'Arcep gardera les mêmes critères que pour le précédent appel d'offres, à savoir une obligation de couverture d'au minimum 25% du territoire au bout de 2 ans et une crédibilité financière du projet. Une plus grande ouverture aux opérateurs mobiles virtuels (MVNO) semble en revanche oubliée, ce que déplore Tele 2 mobile dans un communiqué de presse.
Bercy a publié ce matin au "Journal officiel" le décret fixant les modalités financières nécessaires pour s'en porter acquéreur. Et comme le conseillait la Commission des participations et des transferts (CPT), son prix est sans surprise de 240 millions d'euros. Sur les 3 blocs de fréquence de 5 Mhz, dont l'un est donc réservé à un nouvel entrant, seul ce dernier est aujourd'hui mis en vente.
Pour rappel, Orange, Bouygues Telecom et SFR ont consacré un budget unitaire de 619 millions d'euros pour acquérir leur propre licence 3G au début des années 2000. L'arrivée d'un nouvel entrant dans le monde des opérateurs mobiles ne semble donc pas du goût de France Telecom qui a déjà annoncé sa volonté de saisir la Commission européenne pour contester son prix de vente, jugé trop peu élevé. Pourtant, si les 3 opérateurs historiques possèdent une licence 3G "complète" via un bloc de fréquence 15 Mhz, il semblait naturel de proposer une licence "lite" de 5 Mhz à un prix divisé par trois.
Les sociétés intéressées par cette nouvelle licence mobile ont jusqu'au 29 octobre à midi pour déposer leur dossier de candidature. La licence sera quant à elle attribuée huit mois plus tard. Iliad - maison mère de Free -, Kertel, Virgin Mobile, Orascom, Hutchinson, Numericable ou encore Bolloré semblent "suivre de près" le dossier de la 4ème licence mobile.
Le 4ème opérateur mobile devrait, en plus du prix de la licence, investir près d'un milliard d'euros pour créer un réseau de téléphonie mobile. Ses premières offres commerciales ne sont pas attendues avant 2011. Pour son appel à candidatures, l'Arcep gardera les mêmes critères que pour le précédent appel d'offres, à savoir une obligation de couverture d'au minimum 25% du territoire au bout de 2 ans et une crédibilité financière du projet. Une plus grande ouverture aux opérateurs mobiles virtuels (MVNO) semble en revanche oubliée, ce que déplore Tele 2 mobile dans un communiqué de presse.
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