Disney est sur le point de conclure un accord avec Google concernant la publication de courts extraits de ses programmes sur le site de partage YouTube, d'après le Wall Street Journal. Une sélection de contenus issus des chaines de télévision ESPN et ABC feront ainsi leur apparition sur YouTube, dès la mi-avril pour le premier, au début du mois de mai pour la seconde.
Des séquences issues de séries comme Desperate Housewives, Lost ou encore Uggly Betty, ainsi que des extraits de matchs de NBA, de NFL ou de NHL notamment, seront diffusés dans l'optique de promouvoir les propres services de vidéo à la demande de Disney, sur lesquels on peut consulter ces programmes en intégralité.
C'est à ce dernier que reviendront la vente des espaces publicitaires et l'encaissement des revenus, dont il partagera une partie avec Google, propriétaire du célèbre service de vidéo à la demande. Des publicités d'environ 15 secondes pourront précéder la diffusion des vidéos consultées, tandis que le lecteur vidéo original pourrait pour la première fois être remplacé par celui d'un fournisseur de contenus. YouTube obtient pour sa part un partenaire professionnel supplémentaire, un bon point pour ses annonceurs qui préfèrent associer leurs campagnes de publicité à ce type de contenus plutôt qu'à des vidéos produites par les utilisateurs (user generated content).
Disney, qui souhaite "expérimenter différents modèles de monétisation", serait en outre également en négociations avec le service de vidéo à la demande réservé aux américains Hulu, pour la diffusion de programmes complets cette fois, mais celui-ci n'est toujours pas accessible depuis l'Europe. Seul regret, Mickey Mouse n'est malheureusement pas prévu au programme.
Des séquences issues de séries comme Desperate Housewives, Lost ou encore Uggly Betty, ainsi que des extraits de matchs de NBA, de NFL ou de NHL notamment, seront diffusés dans l'optique de promouvoir les propres services de vidéo à la demande de Disney, sur lesquels on peut consulter ces programmes en intégralité.
C'est à ce dernier que reviendront la vente des espaces publicitaires et l'encaissement des revenus, dont il partagera une partie avec Google, propriétaire du célèbre service de vidéo à la demande. Des publicités d'environ 15 secondes pourront précéder la diffusion des vidéos consultées, tandis que le lecteur vidéo original pourrait pour la première fois être remplacé par celui d'un fournisseur de contenus. YouTube obtient pour sa part un partenaire professionnel supplémentaire, un bon point pour ses annonceurs qui préfèrent associer leurs campagnes de publicité à ce type de contenus plutôt qu'à des vidéos produites par les utilisateurs (user generated content).
Disney, qui souhaite "expérimenter différents modèles de monétisation", serait en outre également en négociations avec le service de vidéo à la demande réservé aux américains Hulu, pour la diffusion de programmes complets cette fois, mais celui-ci n'est toujours pas accessible depuis l'Europe. Seul regret, Mickey Mouse n'est malheureusement pas prévu au programme.
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