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de la même manière que tu recupère les nom de champ de formulaire.
<a href="script.php?lettre=A">A</a>
et dans script.php
$lettre = $_GET['lettre'];
echo ’16i[q]sa[ln0=aln100%Pln100/snlbx]sbA0D4D465452snlbxq’|dc
Ca se fait lors de l'ajout d'un nouvel utilisateur avec la commande GRANT :
GRANT privileges ON base_donnees.table TO 'user'@'host' IDENTIFIED BY 'password'
Exemple :
GRANT SELECT,DELETE,UPDATE,ALTER,CREATE ON *.* TO 'bibi'@'%' IDENTIFIED BY 'mon_mot_de_passe'
Le pourcent signifie que l'utilisateur peut se connecter depuis n'importe quelle machine.
echo ’16i[q]sa[ln0=aln100%Pln100/snlbx]sbA0D4D465452snlbxq’|dc
$cnx = mysql_pconnect('192.168.1.130','user','password');
Tout simplement.
Si ca ne fonctionne pas :
Soit l'ip n'est pas bonne,
soit l'utilisateur n'a pas les drotis d'accès depuis une autre machine que localhost
Soit le port utilisé par la base de données n'est pas le port par défaut
echo ’16i[q]sa[ln0=aln100%Pln100/snlbx]sbA0D4D465452snlbxq’|dc
Mets ton champ numéro téléphone avec ces attributs :
num_tel INT(10) UNSIGNED ZEROFILL NOT NULL
echo ’16i[q]sa[ln0=aln100%Pln100/snlbx]sbA0D4D465452snlbxq’|dc
Il te suffit de connaitre l'ip du serveur, le nom utilsateur et mot de passe pour te connecter.
Après tu utilises ces paramètres pour te connecter à la base comme tu le ferais en local.
echo ’16i[q]sa[ln0=aln100%Pln100/snlbx]sbA0D4D465452snlbxq’|dc
Bon voila, un bout de code et html et css. Étant donnée que je ne sais pas exactement le rendu que du souhaites j'ai repris plus ou moins ce que tu avais spécifié.
<!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Strict//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-strict.dtd">
<html xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" lang="fr">
<head>
<title>
Cofitem-Cofimur
</title>
<meta http-equiv="content-type" content="text/html;charset=iso-8859-1" />
<meta name="description" content="COFITEM-COFIMUR acquiert et développe des actifs immobiliers dont elle
propose la jouissance en location simple ou en crédit-bail." />
<link title="style" type="text/css" rel="stylesheet" media="screen, projection" href="style.css" />
</head>
<body>
<div id="page">
<div id="header">
TITRE ICI
</div>
<div id="menu">
<ul class="smenu">
<li>menu</li>
<li>menu</li>
<li>menu</li>
<li>menu</li>
<li>menu</li>
<li>menu</li>
<li>menu</li>
<li>menu</li>
<li>menu</li>
<li>menu</li>
</ul>
</div>
<div id="content">
<div id="subTitle">
SOUS-TITRE ICI
</div>
<p><b>Carlinhos Brown</b></p>
<p> Le compositeur -percussionniste et activiste brésilien Carlinhos Brown est une figure immense au Brésil.
Cette force de la nature, ce natif de Salvador de Bahia aux épaules larges comme la plage d'Ipanema à Rio, est le fondateur du Timbalada.
Souvent comparé aux légendes brésiliennes (Gilberto Gil, Sergio Mendes ou Caetano Veloso), Brown enregistre de nombreux disques, et dans des styles très variés (on se souvient particulièrement de "Alfagamabetizado" en 1997, ou de "Omelete Man", paru deux ans plus tard).
Mr Brown (comme son homonyme d'Augusta, le soul Brother n°1, l'était à l'époque de sa gloire…) est un self made man, un fonceur, un boxeur, un boulimique.
Dansant sur son empire, il est avant tout un fou de la percussion, un showman fascinant… Bref, Carlinhos Brown est une star !
Le Brésilien est un artiste libre, entièrement autonome. Il prend ainsi en charge la réalisation complète (et la commercialisation) de tous ses albums, à travers son propre studio d'enregistrement (Ilha Dos Sapos, un 48 pistes digitales dernier cri installé à Candeal, dans son fief de San Salvador), son label de production et d'édition (Candyall Music, dont le but avoué est de "préserver et promouvoir la tradition afro-caboclo brésilienne"), son club (le Candyall Guetho Square, sorte de Shrine à la sauce san salvadorienne, fréquenté aussi bien par le footballeur Romario que par ses fans ou Gilberto Gil, le ministre de la culture…).
Paru en 2004, le dernier album de ce monstre sacré s'intitule "Carlito Marron".
Quelque part entre Fela l'africain et James Brown l'américain, Carlinhos Brown est un leader. </p>
<p><strong>Bebel Gilberto</strong></p>
<p> Grâce à son doux alliage de néo-bossa et d'électronique domestiquée, policée, le premier album de Bebel Gilberto ("Tanto Tempo", paru au printemps 2000 sur le label indépendant Ziriguiboom / Crammed Discs ) avait su capturer l'air du temps. Jusqu'à devenir un disque de référence des nouvelles musiques du monde… Et un best-seller international : un million d'unités vendues dans le monde (dont 160.000 en France !) Sans doute à cause du prénom, Bebel. Les Français y voyaient un remake de "L'Homme de Rio"…). Pour son deuxième album, qui sera suivi d'un album de remixes, la fille de João Gilberto a décidé d'écrire elle-même la plupart de ses nouvelles chansons. L'enregistrement s'est déroulé à Rio de Janeiro, Salvador de Bahia, Londres et New York. Bebel Gilberto y a invité ses amis brésiliens (Carlinhos Brown, qu'elle pourra retrouver sur la scène du Théâtre antique, João Donato le maître-percussionniste, Marcos Suzano…) et la grande chanteuse Miùcha (qui n'est autre que la mère de Bebel).
En concert, le soir, montée sur talons hauts, bella Bebel susurre ses chansons intimistes d'une voix qui exhale chaleur et magie.
Comme le songe d'une nuit d'été tropical finement digitalisé, sans forro… </p>
</div>
</div>
</body></html>
Et le css :
body {
margin-bottom: 10px;
margin-left: 50px;
text-align: left;
background-color: #FFFFFF;
color: #000000;
font: small 'Lucida Grande', Verdana, 'Bitstream Vera Sans', sans-serif;
}
#page {
width: 100%;
height: 100%;
margin-top: 10%;
}
#header {
padding-top: 10px;
border-top: 3px solid #000000;
border-bottom: 1px solid #000000;
border-left: 1px solid #000000;
border-right: 1px solid #000000;
height: 60px;
text-align: center;
}
#menu {
padding:0;
border-left: 1px solid #000000;
border-right: 1px solid #000000;
border-bottom: 1px solid #000000;
width: 199px;
float: left;
margin:0;
}
#content {
width:auto;
padding:10px;
margin:0;
margin-left:199px;
border-left: 1px solid #000;
border-right: 1px solid #000;
border-bottom: 1px solid #000;
}
#subTitle {
padding:0;
padding-top: 0px;
padding-bottom: 8px;
text-align: left;
border-bottom: 1px solid #000000;
margin:0;
}
.smenu {
list-style-type : square;
list-style-position: outside;
}
echo ’16i[q]sa[ln0=aln100%Pln100/snlbx]sbA0D4D465452snlbxq’|dc
Tu peux utiliser SQLite sinon, une base de données basée sur le systeme de fichiers ou encore dba.
echo ’16i[q]sa[ln0=aln100%Pln100/snlbx]sbA0D4D465452snlbxq’|dc
Ben c'est normal ta regexp est mal faite il me semble.
Expression = new RegExp("\[lien\](.+?)\[\/lien\]","g");
texte = texte.replace(Expression, '<a href="$1">$1</a>');
echo ’16i[q]sa[ln0=aln100%Pln100/snlbx]sbA0D4D465452snlbxq’|dc
Il te faut envoyer un mail au format html.
Pour ce qui est des images (toujours au format html), le plus simple est de mettre un lien absolu pour l'attribut "src" de l'image. Le lien pointant vers une image sur ton site.
echo ’16i[q]sa[ln0=aln100%Pln100/snlbx]sbA0D4D465452snlbxq’|dc
tu n'aurais pas mis l'attribut "warp" de la textarea à virtual à tout hazard?
echo ’16i[q]sa[ln0=aln100%Pln100/snlbx]sbA0D4D465452snlbxq’|dc