LA GLOBULE

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Ses dernières news

le 12/08/2010 à 23:41
Dolibarr 2.9
La nouvelle version de Dolibarr (logiciel ERP/CRM en PHP), vient de sortir. Cette version améliore et étend les fonctionnalités déjà existantes comme :
- Ajout du tableau de Gant dans les modules
- Amélioration des frais de déplacements et notes de frais
- Evolution des envois avec la mailing list
- Amélioration de l'ensemble des journaux
- Création de documents ODT
- Ajout de nombreux filtres
- Des corrections de bugs
- L'ajout de la TVA par rapport aux régions et pays
- etc

Dolibarr est aussi plus rapide par rapport à la version précédente avec l'amélioration du moteur.

Bien sur, cette nouvelle version propose aussi des kits d'installations propres aux OS (windows, Ubuntu) et optimisé. Comme ceci, aucun paramétrage supplémentaire sera nécessaire et par conséquent vous pouvez vous en servir de suite.

- Dolibar 2.9 en téléchargement
le 12/08/2010 à 23:41
Le langage PHP bien placé
Une étude est été publiée par le site Tiobe, concernant les langages de programmation les plus populaires.

L'étude a été publiée fin juillet 2010 et il était important de le signaler.

Le résultat proposé, est très intéressant, car le site possède l'historique depuis 2001 et ainsi peut proposer différents tableaux, comme une comparaison des langages entre 2005 et 2010

Si vous regardez la répartition sur une période d'1 an, le classement de tête ne change pas, pour retrouver les langages comme Java, C, C++ et PHP. Mais si vous regardez sur une période de 5 ans, le langage PHP prend de plus de plus de place pour se rapprocher un peu plus vers le haut.

Enfin, l'étude montre que les langages à typage dynamique (PHP, Python, Ruby..) prennent plus de place par rapport aux langages à typage statique (Java, C++, C..).

- TIOBE Programming Community Index for August 2010
Plus de cinq ans après le lancement de Solaris 10, le système d'exploitation basé sur UNIX de Sun / Oracle, le vice-président exécutif d'Oracle John Fowler vient d'annoncer la sortie de la version 11 en... 2011.

La prochaine version du système d'exploitation devrait embarquer « une dose importante de mises-à-jour  »pour les composants clés. Selon Fowley, le saut technologique sera aussi important que lors du passage de Solaris 9 à 10 par Sun Microsystems en 2005. Le vice-président explique que tous les aspects du système d'exploitation feront l'objet d'améliorations. Le système de fichiers est revu, les fonctionnalités réseau également. Solaris 11 devrait permettre une meilleure prise en charge de threads multiples et être plus flexible.

Ce qui se dessine avec ces changements, c'est la meilleure prise en compte des volumes de transactions élevés, qu'Oracle espère atteindre avec son serveur basé sur une architecture SPARC d'ici à 2015. Le système développé par Oracle comprendra 64 sockets, 128 coeurs, 16 384 threads et 64To de mémoire principale. Une machine de guerre qui nécessitera un travail de refonte substantiel du système d'exploitation, selon Fowler.

Les mises-à-jour de Solaris 10 se poursuivront cette année, permettant l'ajout de nouvelles prises en charge matérielles, mais un programme pour les early adopters de Solaris 11 va débuter bientôt. La version finale devrait sortir au deuxième semestre 2011, et le rythme de mises-à-jour devrait demeurer annuel. La première version, en 2011, se concentrera sur le réseau, l'extensibilité, la sécurité et la gestion du cycle de vie logiciel. A la fin 2012, la première mise-à-jour étendra la disponibilité, l'extensibilité de la mémoire, et améliorera la virtualisation, tandis que la version prévue pour la fin 2013 reverra la gestion du système. C'est à partir de 2014 qu'Oracle préparera le terrain pour sa future machine SPARC, prévue pour 2015.

Solaris 11 prendra en charge les architectures SPARC et x64, comme les version 8 et 10 du logiciel. La version 9 ne prenait pas en charge le x64, car Sun essayait alors d'emmener ses clients vers des architectures SPARC plus rentables. Côté virtualisation, l'implémentation Oracle VM de l'hyperviseur open source Xen sera maintenue, permettant de faire tourner Solaris 10, Oracle Enterprise Linux, et Windows.

Au cours de la conférence donnée par John Fowler, rien n'a été dit sur OpenSolaris, la version open-source de Solaris. La communauté a plusieurs fois fait part de ses inquiétudes quant au maintien de cette version, mais Oracle reste pour l'heure muet sur ses intentions.
Déployée entièrement depuis une semaine, la nouvelle mouture d'Hotmail ne fait pas que des heureux parmi les 350 millions d'utilisateurs du service : un grand nombre de mécontents se plaignent depuis le 4 août dernier, notamment sur le forum officiel de la messagerie.

Au programme des bémols recensés par les utilisateurs, on trouve des courriels mystérieusement perdus, l'impossibilité de se connecter ou encore des erreurs de script qui empêchent la rédaction de mails.

Une situation qui a poussé le service d'aide d'Hotmail à réagir, mais pas de la façon la plus attendue : « Certains utilisateurs ont indiqué qu'ils n'avaient plus de problème en utilisant Google Chrome pour contrôler leur compte Hotmail » a déclaré Microsoft sur ses forums, en conseillant par la même occasion à ses utilisateurs d'éviter d'utiliser Safari 3 et Firefox 2 pour accéder à leur messagerie. Quid d'Internet Explorer ? Mystère : le navigateur de la firme de Redmond n'est pas cité.

Reste que si la recommandation peut sembler cocasse, elle est loin de satisfaire les foules, d'autant plus que certains utilisateurs ont annoncé rencontrer les mêmes problèmes sous Chrome. Contacté par The Register, Microsoft n'a pas fait de déclaration officielle en rapport aux récentes protestations des utilisateurs d'Hotmail. En attendant sur le forum du service, on fait le ménage[/lien.
Après la Federal Trade Commission (FTC), c'est au tour de la Commission européenne de s'intéresser au comportement présumé anti-compétitif d'Apple. Selon le New York Post, la Commission européenne travaille avec la FTC pour voir si les pratiques d'Apple pourrait le mener à une position de monopole.

Vu de l'extérieur, la Pomme semble en effet avoir une politique restrictive, notamment en matières d'applications sur son iTunes store. Plusieurs cas d'entreprises bannies ont été rapportés, car elles développaient des logiciels qui concurrençaient les propres fonctionnalités de la Pomme. L'affaire Flash et Adobe n'a pas non plus fait beaucoup de bien pour donner une image de neutralité de la part de la validation des applications iTunes.

Rappelons qu'officiellement, c'est parce qu'Apple interdit le portage automatique d'applications multiplateformes que le Flash n'est pas autorisé. Les développeurs ont l'obligation de se baser sur les APIs officielles d'Apple, et sur les langages C, Objective-C, C++ ou JavaScript. Mais voilà, il semblerait que ces règles soient beaucoup plus stricte quand le nom de l'entreprise qui a développé une application contient "adobe". Plusieurs cas ont été rapportés, d'entreprises qui auraient pu porter leurs applications sans connaître la censure de la Pomme, comme Titanium.

Autre règle qui pourrait être au coeur de l'enquête : le bannissement d'applications qui interprètent du code téléchargé, qui a surtout pour but de protéger l'intégration verticale à iTunes Store de l'application. Le développement d'un émulateur permettrait par exemple à n'importe qui de vendre directement ses jeux, ce qu'Apple ne veut surtout pas autoriser.

Pour sa défense, la Pomme clame que son seul intérêt réside dans la préservation de la qualité et de la simplicité pour les utilisateurs. Ce sera à la Commission et à la FTC de décider du bien-fondé de ces arguments, et de trancher pour savoir si cela constitue mise à mal de la compétition. La situation devrait être plus claire d'ici à six mois.
Si le fait que Google réalise une nouvelle acquisition ne relèvera bientôt plus de la nouvelle, celle révélée par TechCrunch prend tout son sens dans la guerre qui semble se préparer entre le géant du web et Facebook : selon le site américain, Google aurait acquis Jambool pour 70 millions de dollars.

Cette société est spécialisée dans les solutions de monnaie virtuelle. Une acquisition par Google - encore à l'état de rumeur - pourrait signifier une arrivée du géant dans le secteur de la monnaie virtuelle. Ca ressemble presque à une série de Martine, avec Google et Facebook se battent sur le réseau social, Google et Facebook se font concurrence sur les jeux sociaux, et Google et Facebook veulent leur monnaie virtuelle. Tout cela découle évidemment d'une stratégie commune de fidélisation autour d'un marché en vogue.

Prudence, pour autant, tant les intentions de Google sont incertaines. Pour TechCrunch, le prix d'acquisition est de 70 à 75 millions d'euros. Le site parle de plusieurs sources sans les nommer, et l'information n'a été confirmée pour l'instant ni par Google, ni par Jambool. Le produit de ce dernier, Social Gold, permet aux développeurs de créer un système de paiement directement au sein de leurs jeux ou autres applications. L'entreprise a été fondée par des anciens d'Amazon, Vikas Gupta et Reza Hussein, et a levé 6 millions de dollars de fonds.

Google profite au passage de la situation difficile dans laquelle les développeurs de telles solutions ont été mis par le lancement de Facebook Credits. Pour rappel, le réseau social a lancé un système de paiement pour les développeurs d'applications tierces, qui assure à Facebook une commission de 30% sur les revenus générés. Pour l'heure, Google n'a rien annoncé, mais si le système de Jambool n'était pas modifié, ce ne sont que 7 à 10% des revenus qui seraient récupérés par Google, le reste allant dans la poche des développeurs.
Le 19 août, Orange se lance à son tour dans les offres quadruple play. Après Bouygues Telecom et ses forfaits Ideo, Orange proposera une gamme de cinq offres baptisées Orange Open, et intégrant Internet, téléphonie IP, téléphonie et forfait mobile. Comme son concurrent, Orange avance comme principaux avantages contrat, factures et service client uniques.

Quatre offres, qui s'échelonnent de 54,90 euros à 109,90 euros. Ces prix impliquent un engagement sur 24 mois, sur le modèle de ce qui se fait sur les forfaits téléphoniques, et facture 6 euros supplémentaires par mois la possibilité de n'être engagé que 12 mois. La location de la Livebox est également en sus, facturée 3 euros par mois. A noter que cette location reste obligatoire pour Orange Open.Ces offres comprennent des appels illimités depuis le téléphone sur IP vers les fixes, et vers quatre numéros de mobiles tous opérateurs en France métropolitaine. Un forfait 1h est également inclus vers tous les opérateurs mobile. Du côté de l'offre mobile, Orange propose quatre forfaits différents. Pour 54,90 euros, le crédit de temps est de 1h, plus appels illimités le soir après 21h30 ou tout le temps vers trois numéros Orange. Le deuxième forfait, à 69,90 euros, propose 2h de forfaits, et les appels illimités le soir à partir de 19h ou 24h/24 vers les fixes en France et trois numéros mobiles tous opérateurs. Pour le forfait 3h, à 84,90 euros, le forfait illimité du soir commence aussi à 19h, mais est prolongé tout le week-end. L'utilisateur peut aussi choisir de le remplacer par des appels illimités 24h/24 vers les fixes en France et à l'international et cinq numéros de mobiles tous opérateurs. Enfin, le forfait à 109,90 propose des appels illimités toute la semaine et 24h/24 vers les fixes en France, à l'international, et les mobiles tous opérateurs.

A noter que sur tous ces forfaits, les SMS, MMS, mails, WiFi, messagerie vocale visuelle, TV et Internet sont illimités sur les mobiles 24h/24 et 7 jours sur 7. La cinquième offre bénéficie aussi de ces fonctionnalités sur mobile. Baptisée Open mini, permettra aux clients qui souhaitent payer moins cher d'avoir Internet haut débit, TV d'Orange sur PC (avec 30 chaînes et accès à la VOD), téléphonie sur PC en illimité et un forfait mobile 1h avec SMS illimités. Elle sera facturée au prix de 39,90 euros par mois.
A l'image de Facebook, Twitter vient de dédier une page à sa politique en matière de gestion de comptes d'utilisateurs décédés du service. Sujet joyeux au possible, il n'en restait pas moins inabordé jusque-là par le site de microblogging.

Il semblerait que ce soit suite à une discussion entre Doug Bowman, directeur créatif de Twitter, et le webmaster de Death and digital legacy que la page consacrée à la question soit née.

Ainsi, face au compte Twitter d'une personne décédée, le site propose deux choix : la suppression pure et simple du compte, ou bien la récupération d'une archive des tweets par la famille. La démarche peut être effectuée par mail, fax ou courrier.La page dédiée donne la marche à suivre pour alerter le réseau social :

« S'il vous plaît, envoyez-nous les informations suivantes :
- Vos nom et prénom, vos coordonnées (y compris votre adresse e-mail) et votre relation avec l'utilisateur décédé.
- Le nom d'utilisateur du compte Twitter, ou un lien vers la page de profil du compte Twitter.
- Un lien vers un article nécrologique ou un article de journal. »

Un traitement qui permettra par ailleurs d'éviter que le site ne suggère le suivi des tweets d'une personne décédée. On peut également se demander pourquoi Twitter, qui revendique 300 000 nouveaux utilisateurs quotidiens, a attendu plus de 4 ans avant de proposer un tel service.
le 11/08/2010 à 23:33
NuCaptcha
NuCaptcha est un outil anti-spam mais complément différents des captchas classiques. Ce nouveau projet a été lancé sur l'idée que les captchas deviennent de plus en plus complexe pour limiter le déchiffrage du code par les robots, et surtout plus ou moins lisible pour l'oeil humain.

Il se présente sous la forme d'une animation vidéo, comme ceci lors de la saisie d'un formulaire, vous êtes sur de ne pas à avoir des données venant de robots. Le but de ce service proposé par NuCaptcha, consiste de voir apparaître un texte lisible mais animé sous la forme d'un fichier flash.

Une librairie est disponible pour communiquer entre l'animation et le langage PHP. Vous pouvez placer ce filtre dans n'importe quel formulaire puisqu'une seule partie du texte est à saisir.

Bien sur, ce service est disponible avec les autres langages informatiques.

- Nucaptcha site officiel
L'environnement de bureau KDE 4.5 a fait son chemin depuis la première bêta publiée fin mai et nous arrive cette semaine dans sa version finale avec, au programme, bon nombre de nouveautés, principalement situées au niveau du tableau de bord Plasma.

Dans sa version standard, le bureau de KDE reste centré sur les « activités », toujours étroitement liées aux bureaux virtuels, qui permettent d'entretenir plusieurs fenêtres dédiées à des tâches distinctes et de gérer ces dernières très simplement au sein de l'interface. Le gestionnaire de fenêtres KWin profite quant à lui d'un nouveau mode d'affichage qui permet aux fenêtres de se superposer sans jamais se recouvrir complètement.

le bureau propose également une nouvelle zone de notifications, repensée pour plus de clarté, au sein de laquelle on pourra suivre les tâches de fond (téléchargements, etc.) ou prendre connaissance des alertes système. La version netbook n'a enfin pas été oubliée avec, pour elle aussi, un certain nombre d'optimisations diverses, essentiellement au niveau de l'interface.

KDE 4.5 comprend toujours une très riche bibliothèque d'applications, parmi lesquelles on ne note que peu de nouveautés, si ce n'est l'apparition de Kajongg, un client de mahjong codé en Python, alors que la communauté KDE est généralement encline à faire appel au C++.

Pour les utilisateurs avancés, KDE offre également la possibilité d'utiliser Webkit comme moteur de rendu Web par défaut, mais aussi de personnaliser les espaces de travail par le biais de modules JavaScript

Le meilleur moyen de tester KDE 4.5 reste encore d'attendre que les paquets précompilés soient mis à jour pour votre distribution Linux. Ceux qui veulent prendre les devants ou tout simplement en savoir plus sur les nouveautés de cette version trouveront liens de téléchargement et plus amples informations (en anglais) sur le site du projet.
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